vendredi 30 mai 2014

Projet Hélène 2 – phrases 45-46

Fue apenas su muerte, esa fría conveniencia que me había permitido canalizarla como él mejor lo hubiera hecho, es decir, trabajando. Por fin, de pie frente al ataúd que cuatro horas antes había ayudado a cerrar, pude llorar a solas, extenuado y vencido por mis propias fuerzas.

Traduction temporaire :
Sa mort fut à peine cette froide convenance qui m’avait permis de la canaliser, comme, lui, l'aurait fait le mieux, à savoir en travaillant. Debout, devant le cercueil que j’avais aidé à fermer quatre heures plus tôt, je pus enfin pleurer seul, exténué et vaincu par mes propres forces.

8 commentaires:

Hélène a dit…

Sa mort fut à peine cette froide convenance qui m’avait permis de me maîtriser, tel que, lui, l’aurait mieux fait, à savoir en travaillant. Debout, face au cercueil que j’avais aidé à fermer quatre heures plus tôt, je pus enfin pleurer seul, exténué et vaincu par mes propres forces.

Tradabordo a dit…

Sa mort fut à peine cette froide convenance qui m’avait permis de me maîtriser [pourquoi tu changes ?], tel que, lui, l’aurait mieux fait, à savoir en travaillant. Debout, face au cercueil que j’avais aidé à fermer quatre heures plus tôt, je pus enfin pleurer seul, exténué et vaincu par mes propres forces.

Hélène a dit…

Sa mort fut à peine cette froide convenance qui m’avait permis de la canaliser, tel que, lui, l’aurait mieux fait, à savoir en travaillant. Debout, face au cercueil que j’avais aidé à fermer quatre heures plus tôt, je pus enfin pleurer seul, exténué et vaincu par mes propres forces.

Je suis revenue à une traduction plus littérale, mais ce début de phrase ne me paraît pas très clair. Qu'en penses-tu ?

Tradabordo a dit…

Sa mort fut à peine cette froide convenance qui m’avait permis de la canaliser, tel que [est-ce que ce ne serait pas plus clair avec « comme » ?], lui, l’aurait mieux fait, à savoir en travaillant. Debout, face au cercueil que j’avais aidé à fermer quatre heures plus tôt, je pus enfin pleurer seul, exténué et vaincu par mes propres forces.

Hélène a dit…

Sa mort fut à peine cette froide convenance qui m’avait permis de la canaliser, comme, lui, l’aurait mieux fait, à savoir en travaillant. Debout, face au cercueil que j’avais aidé à fermer quatre heures plus tôt, je pus enfin pleurer seul, exténué et vaincu par mes propres forces.

OK

Tradabordo a dit…

Sa mort fut à peine cette froide convenance qui m’avait permis de la canaliser, comme, lui, l’aurait mieux fait [ou : « l'aurait fait le mieux » ?], à savoir en travaillant. Debout, face [ou « devant » ? Comme tu veux…] au cercueil que j’avais aidé à fermer quatre heures plus tôt, je pus enfin pleurer seul, exténué et vaincu par mes propres forces.

Hélène a dit…

Sa mort fut à peine cette froide convenance qui m’avait permis de la canaliser, comme, lui, l'aurait fait le mieux, à savoir en travaillant. Debout, devant le cercueil que j’avais aidé à fermer quatre heures plus tôt, je pus enfin pleurer seul, exténué et vaincu par mes propres forces.

Il faudra voir à la relecture, mais ça me semble bien comme ça. J'avais du mal au début avec le premier morceau de phrase.

Tradabordo a dit…

Sa mort fut à peine cette froide convenance qui m’avait permis de la canaliser, comme, lui, l'aurait fait le mieux, à savoir en travaillant. Debout, devant le cercueil que j’avais aidé à fermer quatre heures plus tôt, je pus enfin pleurer seul, exténué et vaincu par mes propres forces.

OK.