mardi 27 mai 2014

Projet Élise 3 – phrases 97-102

Negro. Oscuridad. Tinieblas. Zebrel no sabía cuando había dejado de gritar. Las sensaciones dolorosas habían cedido su lugar a otras, más precisas, de horror, de espanto, que sólo contenían vagos vestigios de lo ocurrido en el callejón. Eso era real, lo podía recordar, pero luego se imponía un vacío sin fondo, un hueco con más ausencia que profundidad.

Traduction temporaire :
Noir. Obscurité. Ténèbres. Zebrel ignorait à quel moment il avait arrêté de crier. Les sensations douloureuses avaient cédé la place à d'autres, plus précises, d'horreur, de terreur, contenant uniquement des vestiges flous de ce qui s'était passé dans la ruelle. Ça, c'était réel, il pouvait s'en souvenir, mais ensuite, il ne restait qu'un vide sans fond, un trou avec plus d'absence que de profondeur.

4 commentaires:

Unknown a dit…

Noir. Obscurité. Ténèbres. Zebrel ignorait à quel moment il avait arrêté de crier. Les sensations douloureuses avaient cédé la place à d'autres, plus précises, d'horreur, de terreur, qui ne contenaient que des vestiges flous de ce qui s'était passé dans la ruelle. Ça, c'était réel, il pouvait s'en rappeler, mais ensuite, il ne restait qu'un vide sans fond, un trou avec plus d'absence que de profondeur.

Tradabordo a dit…

Noir. Obscurité. Ténèbres. Zebrel ignorait à quel moment il avait arrêté de crier. Les sensations douloureuses avaient cédé la place à d'autres, plus précises, d'horreur, de terreur, qui ne contenaient que [ou « contenant uniquement » ?] des vestiges flous de ce qui s'était passé dans la ruelle. Ça, c'était réel, il pouvait s'en rappeler [grammaire], mais ensuite, il ne restait qu'un vide sans fond, un trou avec plus d'absence que de profondeur.

Unknown a dit…

Noir. Obscurité. Ténèbres. Zebrel ignorait à quel moment il avait arrêté de crier. Les sensations douloureuses avaient cédé la place à d'autres, plus précises, d'horreur, de terreur, contenant uniquement des vestiges flous de ce qui s'était passé dans la ruelle. Ça, c'était réel, il pouvait s'en souvenir, mais ensuite, il ne restait qu'un vide sans fond, un trou avec plus d'absence que de profondeur.

Tradabordo a dit…

Noir. Obscurité. Ténèbres. Zebrel ignorait à quel moment il avait arrêté de crier. Les sensations douloureuses avaient cédé la place à d'autres, plus précises, d'horreur, de terreur, contenant uniquement des vestiges flous de ce qui s'était passé dans la ruelle. Ça, c'était réel, il pouvait s'en souvenir, mais ensuite, il ne restait qu'un vide sans fond, un trou avec plus d'absence que de profondeur.

OK.