lundi 26 octobre 2015

Projet Nancy 5 – phrases 12-19

CUentos de la oficina (1925) | 173 Este hombre está ahora en el suelo; tiene inmediatamente, instantáneamente, la visión del ridículo antes que la percepción del dolor físico; eso explica la coloración sanguínea que se pintó en sus mejillas. El hombre siente ahora el escozor en la lesión. La breve intensidad del dolor ya desapareció, pero persiste en la región golpeada, un hormigueo intenso. El hombre se incorpora; tiene entre sus labios, a medio abrir, una blasfemia de arrabal; se sacude con las manos el polvo del traje y echa a caminar nuevamente. ¿Creéis que antes de recomenzar a andar hubiese arrojado a la calle la cáscara de fruta, origen y ocasión de su caída? No. Y allí está, en medio de la vereda, avizora y vigilante, al acecho del transeunte*; aguardando una nueva víctima, la cáscara de fruta. El hombre.

Traduction temporaire :

Histoires du bureau (1925) | 173 Cet homme est maintenant par terre : il voit aussitôt, instantanément, le ridicule de la situation, avant de percevoir la douleur physique ; cela explique la coloration sanguine de ses joues. Il sent ensuite la brûlure de la lésion. La brève intensité de la douleur a déjà disparu, mais, dans la zone touchée, un fourmillement intense persiste. L'homme se redresse et retient entre ses lèvres entrouvertes un blasphème vulgaire. Il secoue la poussière de ses vêtements et poursuit son chemin. Croyez-vous qu'avant de repartir il ait jeté dans la rue la coque de fruit à l'origine et cause de sa chute ? Non. La coque est donc là, au milieu du trottoir, sur ses gardes et vigilante, aux aguets du passant, attendant une nouvelle victime. L'homme.

8 commentaires:

Nancy a dit…

Histoires du bureau (1925) | 173 Cet homme est alors par terre : aussitôt, instantanément, sa vision du ridicule précède sa perception de la douleur physique ; cela explique la coloration sanguine de ses joues. Il sent ensuite la brûlure de la lésion. La brève intensité de la douleur a déjà disparu, mais, dans la zone touchée, un fourmillement intense persiste. L'homme se redresse et retient entre ses lèvres entrouvertes, un blasphème de banlieue. Il secoue la poussière de ses vêtements et poursuit son chemin. Croyez-vous qu'avant de recommencer à marcher il ait jeté dans la rue la coque de fruit, l'origine et la cause de sa chute ? Non. La coque est donc là, au milieu du trottoir, sur ses gardes et vigilante, aux aguets du passant, attendant une nouvelle victime. L'homme.

Tradabordo a dit…

Histoires du bureau (1925) | 173 Cet homme est alors [sûre ?] par terre : aussitôt, instantanément, sa [sûre de l'interprétation ? J'hésite…] vision du ridicule précède [essaie quand même d'être plus près de la V.O.… en tout cas pour un premier passage…] sa perception de la douleur physique ;

cela explique la coloration sanguine de ses joues. Il sent ensuite la brûlure de la lésion. La brève intensité de la douleur a déjà disparu, mais, dans la zone touchée, un fourmillement intense persiste. L'homme se redresse et retient entre ses lèvres entrouvertes, un blasphème de banlieue. Il secoue la poussière de ses vêtements et poursuit son chemin. Croyez-vous qu'avant de recommencer à marcher il ait jeté dans la rue la coque de fruit, l'origine et la cause de sa chute ? Non. La coque est donc là, au milieu du trottoir, sur ses gardes et vigilante, aux aguets du passant, attendant une nouvelle victime. L'homme.

Nancy a dit…

Histoires du bureau (1925) | 173 Cet homme est maintenant par terre : il voit aussitôt, instantanément, le ridicule de la situation, avant de percevoir la douleur physique ; cela explique la coloration sanguine apparente sur ses joues. Il sent ensuite la brûlure de la lésion. La brève intensité de la douleur a déjà disparu, mais, dans la zone touchée, un fourmillement intense persiste. L'homme se redresse et retient entre ses lèvres entrouvertes, un blasphème de banlieue. Il secoue la poussière de ses vêtements et poursuit son chemin. Croyez-vous qu'avant de recommencer à marcher il ait jeté dans la rue la coque de fruit, l'origine et la cause de sa chute ? Non. La coque est donc là, au milieu du trottoir, sur ses gardes et vigilante, aux aguets du passant, attendant une nouvelle victime. L'homme.

Tradabordo a dit…

Histoires du bureau (1925) | 173 Cet homme est maintenant par terre : il voit aussitôt, instantanément, le ridicule de la situation, avant de percevoir la douleur physique ; cela explique la coloration sanguine apparente [plus près de la V.O. ; au moins avec un verbe] sur ses joues. Il sent ensuite la brûlure de la lésion. La brève intensité de la douleur a déjà disparu, mais, dans la zone touchée, un fourmillement intense persiste. L'homme se redresse et retient entre ses lèvres entrouvertes, [la virgule ?] un blasphème de banlieue [naturel ? J'hésite…]. Il secoue la poussière de ses vêtements et poursuit son chemin. Croyez-vous qu'avant de recommencer à marcher [naturel ?] il ait jeté dans la rue la coque de fruit, [la virgule ?] l'origine et la cause de sa chute ? Non. La coque est donc là, au milieu du trottoir, sur ses gardes et vigilante, aux aguets du passant, attendant une nouvelle victime. L'homme.

Nancy a dit…

Histoires du bureau (1925) | 173 Cet homme est maintenant par terre : il voit aussitôt, instantanément, le ridicule de la situation, avant de percevoir la douleur physique ; cela explique la coloration sanguine peinte sur ses joues. Il sent ensuite la brûlure de la lésion. La brève intensité de la douleur a déjà disparu, mais, dans la zone touchée, un fourmillement intense persiste. L'homme se redresse et retient entre ses lèvres entrouvertes un blasphème vulgaire. Il secoue la poussière de ses vêtements et poursuit son chemin. Croyez-vous qu'avant de repartir il ait jeté dans la rue la coque de fruit à l'origine et cause de sa chute ? Non. La coque est donc là, au milieu du trottoir, sur ses gardes et vigilante, aux aguets du passant, attendant une nouvelle victime. L'homme.

Tradabordo a dit…

Histoires du bureau (1925) | 173 Cet homme est maintenant par terre : il voit aussitôt, instantanément, le ridicule de la situation, avant de percevoir la douleur physique ; cela explique la coloration sanguine peinte [nécessaire ?] sur ses joues. Il sent ensuite la brûlure de la lésion. La brève intensité de la douleur a déjà disparu, mais, dans la zone touchée, un fourmillement intense persiste. L'homme se redresse et retient entre ses lèvres entrouvertes un blasphème vulgaire. Il secoue la poussière de ses vêtements et poursuit son chemin. Croyez-vous qu'avant de repartir il ait jeté dans la rue la coque de fruit à l'origine et cause de sa chute ? Non. La coque est donc là, au milieu du trottoir, sur ses gardes et vigilante, aux aguets du passant, attendant une nouvelle victime. L'homme.

Nancy a dit…

Histoires du bureau (1925) | 173 Cet homme est maintenant par terre : il voit aussitôt, instantanément, le ridicule de la situation, avant de percevoir la douleur physique ; cela explique la coloration sanguine de ses joues. Il sent ensuite la brûlure de la lésion. La brève intensité de la douleur a déjà disparu, mais, dans la zone touchée, un fourmillement intense persiste. L'homme se redresse et retient entre ses lèvres entrouvertes un blasphème vulgaire. Il secoue la poussière de ses vêtements et poursuit son chemin. Croyez-vous qu'avant de repartir il ait jeté dans la rue la coque de fruit à l'origine et cause de sa chute ? Non. La coque est donc là, au milieu du trottoir, sur ses gardes et vigilante, aux aguets du passant, attendant une nouvelle victime. L'homme.

Tradabordo a dit…

Histoires du bureau (1925) | 173 Cet homme est maintenant par terre : il voit aussitôt, instantanément, le ridicule de la situation, avant de percevoir la douleur physique ; cela explique la coloration sanguine de ses joues. Il sent ensuite la brûlure de la lésion. La brève intensité de la douleur a déjà disparu, mais, dans la zone touchée, un fourmillement intense persiste. L'homme se redresse et retient entre ses lèvres entrouvertes un blasphème vulgaire. Il secoue la poussière de ses vêtements et poursuit son chemin. Croyez-vous qu'avant de repartir il ait jeté dans la rue la coque de fruit à l'origine et cause de sa chute ? Non. La coque est donc là, au milieu du trottoir, sur ses gardes et vigilante, aux aguets du passant, attendant une nouvelle victime. L'homme.

OK.