mercredi 13 avril 2016

Projet Hélène 5 – phrases 223-233

Algunas manos le palmearon la espalda con aprobación. Él seguía fascinado por esa tensión que había cedido sin ceder, por la electricidad de los gestos y miradas que lo rodeaban. Las voces y los brazos seguían levantándose, como intentando arrancar algo a la noche. Una voz entonaba un monocorde rap improvisado que daba cuenta de la situación extraña que todos vivían. Muchas de las sombras miraban las nubes que dejaba filtrar la luz de la luna, como si el cielo tuviera que rendir cuentas a esa humanidad que ahora parecía querer danzar y que poco antes él había visto armada de botellas, de trozos de madera y fierros viejos. La elasticidad e incoherencia de los pasos de la danza de guerra que intentaban algunos lo fascinaba. Se preguntó si algo malo iba a ocurrir allí, si a los prisioneros, a esos dos pobres diablos tirados a unos pasos de donde él estaba, los iban a castigar aún más. El no quería ser cómplice. Mirando esos pies que danzaban, vio que muchos de esos hombres estaban descalzos, o que sólo llevaban medias. Se decidió por hablarle con claridad al gigante, y carraspeó.
—Disculpa, Clyde…

Traduction temporaire :
Quelques mains lui tapèrent dans le dos en signe d’adhésion. Lui était toujours fasciné par cette tension qui avait cédé sans céder, par l’électricité des visages et des regards qui l’entouraient. Les voix et les bras continuaient de se lever, donnant l'impression d’arracher quelque chose à la nuit. Quelqu’un entonnait un rap monocorde improvisé qui racontait l’étrange situation que tout le monde vivait. De nombreuses ombres contemplaient les nuages qui laissaient filtrer la lumière de la lune, comme si le ciel devait rendre des comptes à cette humanité qui, à présent, semblait vouloir danser, et qu’il avait vue, peu de temps auparavant, armée de bouteilles, de bouts de bois et de vieilles barres de fer. L’élasticité et l’incohérence des pas de la danse de guerre à laquelle s’essayaient certains l’émerveillaient. Il se  demanda si un malheur allait arriver, si les prisonniers, ces deux pauvres diables jetés à quelques mètres de lui, allaient être davantage punis. Lui ne voulait pas être complice. En regardant ces mouvements de danse, il s’aperçut que la plupart de ces hommes étaient pieds nus ou portaient seulement des chaussettes. Ayant décidé de parler franchement au géant, il se racla la gorge.
— Excuse-moi, Clyde…

4 commentaires:

Hélène a dit…

Quelques mains lui tapèrent dans le dos en signe d’adhésion. Lui était toujours fasciné par cette tension qui avait cédé sans céder, par l’électricité des gestes et des regards qui l’entouraient. Les voix et les bras continuaient de se lever, essayant d’arracher quelque chose à la nuit. Quelqu’un entonnait un rap monocorde improvisé qui racontait l’étrange situation que tout le monde vivait. De nombreuses ombres observaient les nuages qui laissaient filtrer la lumière de la lune, comme si le ciel devait rendre des comptes à cette humanité qui, à présent, semblait vouloir danser, et qu’il avait vue, peu de temps auparavant, armée de bouteilles, de bouts de bois et de vieux fers. L’élasticité et l’incohérence des pas de la danse de guerre à laquelle s’essayaient certains l’émerveillaient. Il se demanda si un malheur allait arriver, si les prisonniers, ces deux pauvres diables jetés à quelques mètres d’où il se trouvait, allaient être davantage punis. Lui ne voulait pas être complice. En regardant ces pieds qui dansaient, il s’aperçut que la plupart de ces hommes étaient pieds nus et portaient seulement des chaussettes. Il se décida à parler franchement au géant, puis il se racla la gorge.
— Excuse-moi, Clyde…

Tradabordo a dit…

Quelques mains lui tapèrent dans le dos en signe d’adhésion. Lui était toujours fasciné par cette tension qui avait cédé sans céder, par l’électricité des gestes [sûre ici ?] et des regards qui l’entouraient. Les voix et les bras continuaient de se lever, essayant [« donnant l'impression de » ?] d’arracher quelque chose à la nuit. Quelqu’un entonnait un rap monocorde improvisé qui racontait l’étrange situation que tout le monde vivait. De nombreuses ombres observaient [pas exactement ce que dit la V.O.] les nuages qui laissaient filtrer la lumière de la lune, comme si le ciel devait rendre des comptes à cette humanité qui, à présent, semblait vouloir danser, et qu’il avait vue, peu de temps auparavant, armée de bouteilles, de bouts de bois et de vieux fers [« barres de fer » ?]. L’élasticité et l’incohérence des pas de la danse de guerre à laquelle s’essayaient certains l’émerveillaient. Il se demanda si un malheur allait arriver, si les prisonniers, ces deux pauvres diables jetés à quelques mètres d’où il se trouvait [« de lui » ?], allaient être davantage punis. Lui ne voulait pas être complice. En regardant ces pieds qui dansaient, il s’aperçut que la plupart de ces hommes étaient pieds [un moyen de ne pas répéter ?] nus et [« o » en esp.] portaient seulement des chaussettes. Il se décida à [« Ayant décidé……… »] parler franchement au géant, puis [tu peux supprimer, du coup] il se racla la gorge.
— Excuse-moi, Clyde…

Hélène a dit…

Quelques mains lui tapèrent dans le dos en signe d’adhésion. Lui était toujours fasciné par cette tension qui avait cédé sans céder, par l’électricité des visages et des regards qui l’entouraient. Les voix et les bras continuaient de se lever, donnant l'impression d’arracher quelque chose à la nuit. Quelqu’un entonnait un rap monocorde improvisé qui racontait l’étrange situation que tout le monde vivait. De nombreuses ombres contemplaient les nuages qui laissaient filtrer la lumière de la lune, comme si le ciel devait rendre des comptes à cette humanité qui, à présent, semblait vouloir danser, et qu’il avait vue, peu de temps auparavant, armée de bouteilles, de bouts de bois et de vieilles barres de fer. L’élasticité et l’incohérence des pas de la danse de guerre à laquelle s’essayaient certains l’émerveillaient. Il se demanda si un malheur allait arriver, si les prisonniers, ces deux pauvres diables jetés à quelques mètres de lui, allaient être davantage punis. Lui ne voulait pas être complice. En regardant ces mouvements de danse, il s’aperçut que la plupart de ces hommes étaient pieds nus ou portaient seulement des chaussettes. Ayant décidé de parler franchement au géant, il se racla la gorge.
— Excuse-moi, Clyde…

Tradabordo a dit…

Quelques mains lui tapèrent dans le dos en signe d’adhésion. Lui était toujours fasciné par cette tension qui avait cédé sans céder, par l’électricité des visages et des regards qui l’entouraient. Les voix et les bras continuaient de se lever, donnant l'impression d’arracher quelque chose à la nuit. Quelqu’un entonnait un rap monocorde improvisé qui racontait l’étrange situation que tout le monde vivait. De nombreuses ombres contemplaient les nuages qui laissaient filtrer la lumière de la lune, comme si le ciel devait rendre des comptes à cette humanité qui, à présent, semblait vouloir danser, et qu’il avait vue, peu de temps auparavant, armée de bouteilles, de bouts de bois et de vieilles barres de fer. L’élasticité et l’incohérence des pas de la danse de guerre à laquelle s’essayaient certains l’émerveillaient. Il se demanda si un malheur allait arriver, si les prisonniers, ces deux pauvres diables jetés à quelques mètres de lui, allaient être davantage punis. Lui ne voulait pas être complice. En regardant ces mouvements de danse, il s’aperçut que la plupart de ces hommes étaient pieds nus ou portaient seulement des chaussettes. Ayant décidé de parler franchement au géant, il se racla la gorge.
— Excuse-moi, Clyde…

OK.