mercredi 6 avril 2016

Projet Justine / Déborah / Julie – phrases 499-510

Primero sentimos una fuerte sacudida que nos botó al suelo. Luego todo empezó a volar por los aires mientras intentábamos salir del hospital. Lo logramos justo a tiempo para apreciar una marea de fuego extendiéndose por un costado del cilindro central, a nuestra derecha. Todo se inflamó a nuestro alrededor y en un segundo pudimos ver las estrellas a través de una enorme ventana que se estaba abriendo donde antes sólo existían paredes curvadas llenas de calles y edificios. De pronto dejamos de sentir el piso bajo nuestros pies a medida que perdíamos la gravedad artificial producida por la rotación de la estación. No era lo único que perdíamos. Un instante después comenzamos a sofocarnos.
No intentamos hacer mucho. Sabíamos que no había mucho que hacer. En cosa de segundos el brusco descenso de la presión hizo que se escapara el poco aire que quedaba en nuestros pulmones. Casi al mismo tiempo sentimos frío y ardor en todo nuestro cuerpo. Fue sólo un segundo, justo antes de perder la conciencia. Nuestra última imagen fue la de centenares de cuerpos flotando a la deriva, iluminados por el Sol, mientras los dos principales fragmentos de la colonia terminaban de separarse entre fugaces llamaradas y comenzaban a alejarse el uno del otro. Ese fue el momento en que morimos.

Traduction temporaire :
D'abord, une forte secousse nous projeta à terre. Puis, tout se mit à voler dans les airs alors que nous tentions de quitter l'hôpital. Juste à temps pour voir une marée de feu s'étendre sur un côté du cylindre central, à notre droite. Le feu se propagea autour de nous et, en une seconde, nous aperçûmes les étoiles à travers une énorme fenêtre, en train de s'ouvrir, là où avant n'existaient que des murs courbes abritant beaucoup de rues et de bâtiments. Aussitôt, le sol se déroba sous nos pieds, à mesure que nous perdions la gravité artificielle produite par la rotation de la station. Ce n'était pas notre seule perte. Un instant plus tard, nous commençâmes à suffoquer. Nous ne tentâmes pas grand-chose. Nous savions qu'il n'y avait pas grand-chose à faire. En l'espace de quelques secondes, sous l'effet de la brusque dépressurisation, le peu d'air qui restait dans nos poumons s'échappa. Presque simultanément, nous eûmes froid, et extrêmement chaud dans tout le corps. Subitement, juste avant de basculer dans l'inconscience. Notre dernier souvenir : des centaines de corps flottant à la dérive, éclairés par le Soleil, tandis que les deux principaux fragments de la colonie achevaient de se séparer au milieu de feux fugaces et s'éloignaient l'un de l'autre. Là, nous mourûmes.

8 commentaires:

Justine a dit…

D'abord, une forte secousse nous projeta au sol. Puis, les éléments se mirent à voler dans les airs alors que nous tentions de quitter l'hôpital. Nous atteignîmes notre objectif juste à temps pour apprécier une marée de feu qui s'étendait sur un côté du cylindre central, à notre droite. Tout s'enflamma autour de nous et, en une seconde, nous pûmes apercevoir les étoiles à travers une énorme fenêtre, qui était en train de s'ouvrir, là où n'existaient avant que des murs courbes abritant beaucoup de rues et de bâtiments. Aussitôt, le sol se déroba sous nos pieds, à mesure que nous perdions la gravité artificielle produite par la rotation de la station. Ce n'était pas notre seule perte. Un instant plus tard, nous commençâmes à suffoquer. Nous ne tentâmes pas grand-chose. Nous savions qu'il n'y avait pas grand-chose à faire. En l'espace de quelques secondes, sous l'effet de la brusque dépressurisation, le peu d'air qui restait dans nos poumons s'échappa. Presque simultanément, nous eûmes froid puis extrêmement chaud dans tout le corps. À peine une seconde, juste avant de tomber dans l'inconscience. Notre dernier souvenir : des centaines de corps flottant à la dérive, illuminés par le Soleil, tandis que les deux principaux fragments de la colonie terminaient de se séparer au milieu de feux fugaces et s'éloignaient l'un de l'autre.
Là, nous mourûmes.

Tradabordo a dit…

D'abord, une forte secousse nous projeta au sol. Puis, les éléments [?] se mirent à voler dans les airs alors que nous tentions de quitter l'hôpital. Nous atteignîmes notre objectif [besoin de tout ça ?] juste à temps pour apprécier [bof] une marée de feu qui s'étendait sur un côté du cylindre central, à notre droite. Tout s'enflamma autour de nous et, en une seconde, nous pûmes [pas besoin] apercevoir les étoiles à travers une énorme fenêtre, qui était [nécessaire ?] en train de s'ouvrir, là où n'existaient avant que des murs courbes abritant beaucoup de rues et de bâtiments. Aussitôt, le sol [déjà à la première ligne] se déroba sous nos pieds, à mesure que nous perdions la gravité artificielle produite par la rotation de la station. Ce n'était pas notre seule perte. Un instant plus tard, nous commençâmes à suffoquer. Nous ne tentâmes pas grand-chose. Nous savions qu'il n'y avait pas grand-chose à faire. En l'espace de quelques secondes, sous l'effet de la brusque dépressurisation, le peu d'air qui restait dans nos poumons s'échappa. Presque simultanément, nous eûmes froid [virgule] puis [déjà au début] extrêmement chaud dans tout le corps. À peine une seconde, juste avant de tomber dans l'inconscience. Notre dernier souvenir : des centaines de corps flottant à la dérive, illuminés [« éclairés » ? Comme tu veux] par le Soleil, tandis que les deux principaux fragments de la colonie terminaient [avec « achever » ? Vois ce qui est mieux] de se séparer au milieu de feux fugaces et s'éloignaient l'un de l'autre.
Là, nous mourûmes.

Justine a dit…

D'abord, une forte secousse nous projeta à terre. Puis, les éléments [? / pour éviter un « tout », qu'on a en dessous] se mirent à voler dans les airs alors que nous tentions de quitter l'hôpital. juste à temps pour admirer une marée de feu qui s'étendait sur un côté du cylindre central, à notre droite. Tout s'enflamma autour de nous et, en une seconde, nous aperçûmes les étoiles à travers une énorme fenêtre, en train de s'ouvrir, là où n'existaient avant que des murs courbes abritant beaucoup de rues et de bâtiments. Aussitôt, le sol se déroba sous nos pieds, à mesure que nous perdions la gravité artificielle produite par la rotation de la station. Ce n'était pas notre seule perte. Un instant plus tard, nous commençâmes à suffoquer. Nous ne tentâmes pas grand-chose. Nous savions qu'il n'y avait pas grand-chose à faire. En l'espace de quelques secondes, sous l'effet de la brusque dépressurisation, le peu d'air qui restait dans nos poumons s'échappa. Presque simultanément, nous eûmes froid, et extrêmement chaud dans tout le corps. À peine une seconde, juste avant de basculer dans l'inconscience. Notre dernier souvenir : des centaines de corps flottant à la dérive, éclairés par le Soleil, tandis que les deux principaux fragments de la colonie achevaient de se séparer au milieu de feux fugaces et s'éloignaient l'un de l'autre.
Là, nous mourûmes.

Tradabordo a dit…

D'abord, une forte secousse nous projeta à terre. Puis, les éléments [? / pour éviter un « tout », qu'on a en dessous //// oui, je sais… mais ça ne va pas] se mirent à voler dans les airs alors que nous tentions de quitter l'hôpital. juste [maj.] à temps pour admirer [non] une marée de feu qui s'étendait sur un côté du cylindre central, à notre droite. Tout s'enflamma autour de nous et, en une seconde, nous aperçûmes les étoiles à travers une énorme fenêtre, en train de s'ouvrir, là où n'existaient avant [mets-le avant] que des murs courbes abritant beaucoup de rues et de bâtiments. Aussitôt, le sol se déroba sous nos pieds, à mesure que nous perdions la gravité artificielle produite par la rotation de la station. Ce n'était pas notre seule perte. Un instant plus tard, nous commençâmes à suffoquer. Nous ne tentâmes pas grand-chose. Nous savions qu'il n'y avait pas grand-chose à faire. En l'espace de quelques secondes, sous l'effet de la brusque dépressurisation, le peu d'air qui restait dans nos poumons s'échappa. Presque simultanément, nous eûmes froid, et extrêmement chaud dans tout le corps. À peine une seconde [on l'a déjà avant, au fait ; essaie de ne pas répéter], juste avant de basculer dans l'inconscience. Notre dernier souvenir : des centaines de corps flottant à la dérive, éclairés par le Soleil, tandis que les deux principaux fragments de la colonie achevaient de se séparer au milieu de feux fugaces et s'éloignaient l'un de l'autre.
Là, nous mourûmes.

Justine a dit…

D'abord, une forte secousse nous projeta à terre. Puis, tout se mit à voler dans les airs alors que nous tentions de quitter l'hôpital. Juste à temps pour voir une marée de feu s'étendre sur un côté du cylindre central, à notre droite. Tout s'enflamma autour de nous et, en une seconde, nous aperçûmes les étoiles à travers une énorme fenêtre, en train de s'ouvrir, là où avant n'existaient que des murs courbes abritant beaucoup de rues et de bâtiments. Aussitôt, le sol se déroba sous nos pieds, à mesure que nous perdions la gravité artificielle produite par la rotation de la station. Ce n'était pas notre seule perte. Un instant plus tard, nous commençâmes à suffoquer. Nous ne tentâmes pas grand-chose. Nous savions qu'il n'y avait pas grand-chose à faire. En l'espace de quelques secondes, sous l'effet de la brusque dépressurisation, le peu d'air qui restait dans nos poumons s'échappa. Presque simultanément, nous eûmes froid, et extrêmement chaud dans tout le corps. Subitement, juste avant de basculer dans l'inconscience. Notre dernier souvenir : des centaines de corps flottant à la dérive, éclairés par le Soleil, tandis que les deux principaux fragments de la colonie achevaient de se séparer au milieu de feux fugaces et s'éloignaient l'un de l'autre.
Là, nous mourûmes.

Tradabordo a dit…

D'abord, une forte secousse nous projeta à terre. Puis, tout se mit à voler dans les airs alors que nous tentions de quitter l'hôpital. Juste à temps pour voir une marée de feu s'étendre sur un côté du cylindre central, à notre droite. Tout s'enflamma autour de nous [« Le feu se propagea autour de nous »] et, en une seconde, nous aperçûmes les étoiles à travers une énorme fenêtre, en train de s'ouvrir, là où avant n'existaient que des murs courbes abritant beaucoup de rues et de bâtiments. Aussitôt, le sol se déroba sous nos pieds, à mesure que nous perdions la gravité artificielle produite par la rotation de la station. Ce n'était pas notre seule perte. Un instant plus tard, nous commençâmes à suffoquer. Nous ne tentâmes pas grand-chose. Nous savions qu'il n'y avait pas grand-chose à faire. En l'espace de quelques secondes, sous l'effet de la brusque dépressurisation, le peu d'air qui restait dans nos poumons s'échappa. Presque simultanément, nous eûmes froid, et extrêmement chaud dans tout le corps. Subitement, juste avant de basculer dans l'inconscience. Notre dernier souvenir : des centaines de corps flottant à la dérive, éclairés par le Soleil, tandis que les deux principaux fragments de la colonie achevaient de se séparer au milieu de feux fugaces et s'éloignaient l'un de l'autre.
Là, nous mourûmes.

Justine a dit…

D'abord, une forte secousse nous projeta à terre. Puis, tout se mit à voler dans les airs alors que nous tentions de quitter l'hôpital. Juste à temps pour voir une marée de feu s'étendre sur un côté du cylindre central, à notre droite. Le feu se propagea autour de nous et, en une seconde, nous aperçûmes les étoiles à travers une énorme fenêtre, en train de s'ouvrir, là où avant n'existaient que des murs courbes abritant beaucoup de rues et de bâtiments. Aussitôt, le sol se déroba sous nos pieds, à mesure que nous perdions la gravité artificielle produite par la rotation de la station. Ce n'était pas notre seule perte. Un instant plus tard, nous commençâmes à suffoquer. Nous ne tentâmes pas grand-chose. Nous savions qu'il n'y avait pas grand-chose à faire. En l'espace de quelques secondes, sous l'effet de la brusque dépressurisation, le peu d'air qui restait dans nos poumons s'échappa. Presque simultanément, nous eûmes froid, et extrêmement chaud dans tout le corps. Subitement, juste avant de basculer dans l'inconscience. Notre dernier souvenir : des centaines de corps flottant à la dérive, éclairés par le Soleil, tandis que les deux principaux fragments de la colonie achevaient de se séparer au milieu de feux fugaces et s'éloignaient l'un de l'autre.
Là, nous mourûmes.

Tradabordo a dit…

D'abord, une forte secousse nous projeta à terre. Puis, tout se mit à voler dans les airs alors que nous tentions de quitter l'hôpital. Juste à temps pour voir une marée de feu s'étendre sur un côté du cylindre central, à notre droite. Le feu se propagea autour de nous et, en une seconde, nous aperçûmes les étoiles à travers une énorme fenêtre, en train de s'ouvrir, là où avant n'existaient que des murs courbes abritant beaucoup de rues et de bâtiments. Aussitôt, le sol se déroba sous nos pieds, à mesure que nous perdions la gravité artificielle produite par la rotation de la station. Ce n'était pas notre seule perte. Un instant plus tard, nous commençâmes à suffoquer. Nous ne tentâmes pas grand-chose. Nous savions qu'il n'y avait pas grand-chose à faire. En l'espace de quelques secondes, sous l'effet de la brusque dépressurisation, le peu d'air qui restait dans nos poumons s'échappa. Presque simultanément, nous eûmes froid, et extrêmement chaud dans tout le corps. Subitement, juste avant de basculer dans l'inconscience. Notre dernier souvenir : des centaines de corps flottant à la dérive, éclairés par le Soleil, tandis que les deux principaux fragments de la colonie achevaient de se séparer au milieu de feux fugaces et s'éloignaient l'un de l'autre.
Là, nous mourûmes.

OK.