samedi 9 avril 2016

Projet Justine / Déborah / Julie – phrases 511-520

Un río ardiente recorría cada centímetro de nuestra piel y desembocaba en medio de nuestro pecho haciendo que el universo entero explotara y que volviera a nacer, todo en un caleidoscopio de sensaciones y emociones, un remolino de pasión y deseo. Eso era ser joven, estar enamorado, y ser hombre por primera vez. Su hermoso cuerpo acurrucado junto al mío, siendo uno, siendo ambos. La ternura de sus caricias, su mirada temerosa y expectante, caprichosa. La vergüenza, la torpeza, la inocencia, todo iba quedando atrás y sólo quedaba la certeza de que en ese momento y en ese lugar había ocurrido algo que perduraría por siempre.
Allí, bajo la luz de la luna y rodeados por el suave sonido de las olas, ya sospechábamos que el destino existe y que es una fuerza inexorable.

6

Era temprano en la madrugada y caminábamos por la Ocean Drive disfrutando de la fresca brisa marina y la prístina luminosidad del día que nacía. Por doquier sólo observábamos calles vacías y bares cerrados que parecía que en cualquier momento iban abrir sus puertas llenándose de turistas ansiosos por vivir la vida loca de Miami. Pero no. Aquello era solo una ilusión inducida por nuestros recuerdos de juventud.

Traduction temporaire :

Une rivière ardente parcourait chaque centimètre de notre peau et débouchait au milieu de notre poitrine, faisant exploser, puis renaître l'univers entier dans un kaléidoscope de sensations et d'émotions, un tourbillon de passion et de désir. C'était cela être jeune, être amoureux et devenir un homme pour la première fois. Son beau corps blotti contre le mien, faisant un ou deux. La tendresse de ses caresses, son regard craintif et dans l'attente, capricieux. La honte, la maladresse, l’innocence, tout était relégué au second plan, et il ne restait que la certitude qu'ici et maintenant s'était passé quelque chose qui durerait toujours. Là, sous la lumière de la lune et bercés par le doux clapotis des vagues, nous nous doutions déjà que le destin existe et est une puissance inexorable.

6

Il était tôt, le matin, et nous marchions sur Ocean Drive, profitant de la fraîche brise marine et de la première luminosité du jour naissant. Partout, nous n'observions que des rues désertes, des bars fermés, dont on avait l'impression qu'à n'importe quel moment, ils allaient ouvrir leur portes pour se remplir de touristes impatients de vivre la folle vie de Miami. Mais non. Juste une illusion induite par nos souvenirs de jeunesse.

6 commentaires:

Justine a dit…

Une rivière ardente parcourait chaque centimètre de notre peau et débouchait au milieu de notre poitrine, faisant exploser l'univers entier, avant que tout ne renaisse dans un kaléidoscope de sensations et d'émotions, un tourbillon de passion et de désir. C'était cela être jeune, être amoureux et devenir un homme pour la première fois. Son beau corps blotti contre le mien, qu'on fasse un, ou qu'on fasse deux. La tendresse de ses caresses, son regard craintif et dans l'attente, capricieux. La honte, la maladresse, l’innocence, restaient en retrait pour laisser place à la certitude qu'ici et maintenant s'était passé quelque chose qui durerait toujours. Là, sous la lumière de la lune et bercés par le doux clapotis des vagues, nous nous doutions déjà que le destin existe et est une puissance inexorable.

6
Il était tôt le matin et nous marchions sur Ocean Drive, profitant de la fraîche brise marine et de la première luminosité du jour naissant. Partout, nous n'observions que des rues désertes, des bars fermés, dont on avait l'impression qu'à n'importe quel moment, ils allaient ouvrir leur portes pour se remplir de touristes désireux de vivre la folle vie de Miami. Mais non. Juste une illusion induite par nos souvenirs de jeunesse.

Tradabordo a dit…

Une rivière ardente parcourait chaque centimètre de notre peau et débouchait au milieu de notre poitrine, faisant exploser l'univers entier, avant que tout [on dirait que ça se fait tout seul alors que c'est la suite…] ne renaisse dans un kaléidoscope de sensations et d'émotions, un tourbillon de passion et de désir. C'était cela être jeune, être amoureux et devenir un homme pour la première fois. Son beau corps blotti contre le mien, qu'on fasse un, ou qu'on fasse deux. La tendresse de ses caresses, son regard craintif et dans l'attente, capricieux. La honte, la maladresse, l’innocence, restaient en retrait pour laisser place à la certitude qu'ici et maintenant s'était passé quelque chose qui durerait toujours. Là, sous la lumière de la lune et bercés par le doux clapotis des vagues, nous nous doutions déjà que le destin existe et est une puissance inexorable.

6
Il était tôt le matin et nous marchions sur Ocean Drive, profitant de la fraîche brise marine et de la première luminosité du jour naissant. Partout, nous n'observions que des rues désertes, des bars fermés, dont on avait l'impression qu'à n'importe quel moment, ils allaient ouvrir leur portes pour se remplir de touristes désireux de vivre la folle vie de Miami. Mais non. Juste une illusion induite par nos souvenirs de jeunesse.

Justine a dit…

Une rivière ardente parcourait chaque centimètre de notre peau et débouchait au milieu de notre poitrine, faisant exploser, puis renaître l'univers entier dans un kaléidoscope de sensations et d'émotions, un tourbillon de passion et de désir. C'était cela être jeune, être amoureux et devenir un homme pour la première fois. Son beau corps blotti contre le mien, qu'on fasse un, ou qu'on fasse deux. La tendresse de ses caresses, son regard craintif et dans l'attente, capricieux. La honte, la maladresse, l’innocence, restaient en retrait pour laisser place à la certitude qu'ici et maintenant s'était passé quelque chose qui durerait toujours. Là, sous la lumière de la lune et bercés par le doux clapotis des vagues, nous nous doutions déjà que le destin existe et est une puissance inexorable.

6
Il était tôt le matin et nous marchions sur Ocean Drive, profitant de la fraîche brise marine et de la première luminosité du jour naissant. Partout, nous n'observions que des rues désertes, des bars fermés, dont on avait l'impression qu'à n'importe quel moment, ils allaient ouvrir leur portes pour se remplir de touristes désireux de vivre la folle vie de Miami. Mais non. Juste une illusion induite par nos souvenirs de jeunesse.

Tradabordo a dit…

Une rivière ardente parcourait chaque centimètre de notre peau et débouchait au milieu de notre poitrine, faisant exploser, puis renaître l'univers entier dans un kaléidoscope de sensations et d'émotions, un tourbillon de passion et de désir. C'était cela être jeune, être amoureux et devenir un homme pour la première fois. Son beau corps blotti contre le mien, qu'[?]on fasse un, ou qu'[?]on fasse deux. La tendresse de ses caresses, son regard craintif et dans l'attente, capricieux. La honte, la maladresse, l’innocence, [« todo » ?] restaient en retrait [FS ?] pour [idée de but ?] laisser place à la certitude qu'ici et maintenant s'était passé quelque chose qui durerait toujours. Là, sous la lumière de la lune et bercés par le doux clapotis des vagues, nous nous doutions déjà que le destin existe et est une puissance inexorable.

6

Il était tôt [virgule ?] le matin [virgule ?] et nous marchions sur Ocean Drive, profitant de la fraîche brise marine et de la première luminosité du jour naissant. Partout, nous n'observions que des rues désertes, des bars fermés, dont on avait l'impression qu'à n'importe quel moment, ils allaient ouvrir leur portes pour se remplir de touristes désireux de [pas plus fort ? J'hésite…] vivre la folle vie de Miami. Mais non. Juste une illusion induite par nos souvenirs de jeunesse.

Justine a dit…

Une rivière ardente parcourait chaque centimètre de notre peau et débouchait au milieu de notre poitrine, faisant exploser, puis renaître l'univers entier dans un kaléidoscope de sensations et d'émotions, un tourbillon de passion et de désir. C'était cela être jeune, être amoureux et devenir un homme pour la première fois. Son beau corps blotti contre le mien, faisant un ou deux. La tendresse de ses caresses, son regard craintif et dans l'attente, capricieux. La honte, la maladresse, l’innocence, tout était relégué au second plan, et il ne restait que la certitude qu'ici et maintenant s'était passé quelque chose qui durerait toujours. Là, sous la lumière de la lune et bercés par le doux clapotis des vagues, nous nous doutions déjà que le destin existe et est une puissance inexorable.

6

Il était tôt, le matin, et nous marchions sur Ocean Drive, profitant de la fraîche brise marine et de la première luminosité du jour naissant. Partout, nous n'observions que des rues désertes, des bars fermés, dont on avait l'impression qu'à n'importe quel moment, ils allaient ouvrir leur portes pour se remplir de touristes impatients de vivre la folle vie de Miami. Mais non. Juste une illusion induite par nos souvenirs de jeunesse.

Tradabordo a dit…

Une rivière ardente parcourait chaque centimètre de notre peau et débouchait au milieu de notre poitrine, faisant exploser, puis renaître l'univers entier dans un kaléidoscope de sensations et d'émotions, un tourbillon de passion et de désir. C'était cela être jeune, être amoureux et devenir un homme pour la première fois. Son beau corps blotti contre le mien, faisant un ou deux. La tendresse de ses caresses, son regard craintif et dans l'attente, capricieux. La honte, la maladresse, l’innocence, tout était relégué au second plan, et il ne restait que la certitude qu'ici et maintenant s'était passé quelque chose qui durerait toujours. Là, sous la lumière de la lune et bercés par le doux clapotis des vagues, nous nous doutions déjà que le destin existe et est une puissance inexorable.

6

Il était tôt, le matin, et nous marchions sur Ocean Drive, profitant de la fraîche brise marine et de la première luminosité du jour naissant. Partout, nous n'observions que des rues désertes, des bars fermés, dont on avait l'impression qu'à n'importe quel moment, ils allaient ouvrir leur portes pour se remplir de touristes impatients de vivre la folle vie de Miami. Mais non. Juste une illusion induite par nos souvenirs de jeunesse.

OK.