mercredi 13 avril 2016

Projet Justine / Marion – phrases 170-179

No le dijo nada a su papá sobre el Diablo y los Domínguez. Hablaron de la escuela, que empezaba en dos semanas, y del verano, que se terminaba. “Si tu mamá está mejor”, dijo su padre, “el verano que viene nos vamos al mar”.
Al día siguiente, volvió a la casa de Mariela. La abuela estaba sentada en el patio, peinándose, con un camisón blanco y las piernas hinchadas. El pelo le llegaba casi hasta el suelo. Los perros estaban sentados a su lado: parecían sus custodios. Los Domínguez la recibieron con la alegría de siempre. Y, durante la cena, la invitaron por primera vez al Culto.
Verónica dijo, rápidamente, que tenía que pedir permiso en su casa, aunque no iba a hacerlo: sus padres no podían enterarse. Le hubieran prohibido ir. Solían decir que los religiosos eran ignorantes, y peligrosos.

Traduction temporaire :
Elle ne raconta rien à son père concernant le Diable ni les Domínguez. Ils abordèrent le sujet de l'école qui reprenait d'ici deux semaines et de l'été qui s'achevait. « Si ta maman va mieux, l'année prochaine, nous irons à la mer », annonça-t-il.
Le lendemain, elle retourna chez Mariela. La grand-mère était dans le patio, elle se coiffait, vêtue d'une chemise de nuit blanche, les jambes gonflées. Ses cheveux touchaient presque par terre. Les chiens étaient assis à ses côtés : on aurait dit ses gardiens. Les Domínguez la reçurent avec leur joie coutumière. Et, au cours du repas, ils l'invitèrent pour la première fois au Culte.
Rapidement, Verónica répondit qu'elle devait demander la permission à ses parents, même si elle ne le ferait pas : ils ne l'apprendraient pas. Ils lui auraient interdit d'y aller. Ils avaient l'habitude d'affirmer que les pratiquants étaient des gens ignorants et dangereux.

6 commentaires:

Justine a dit…

Elle ne révéla rien à son père concernant le Diable ni les Domínguez. Ils abordèrent le sujet de l'école qui reprenait [pour contourner « commencer »] dans deux semaines et de l'été qui s'achevait. « Si ta maman va mieux, l'année prochaine, nous irons à la mer », annonça-t-il.
Le lendemain, elle retourna chez Mariela. La grand-mère était assise dans le patio, elle se coiffait, vêtue d'une chemise de nuit blanche, elle avait les jambes gonflées. Ses cheveux touchaient presque par terre. Les chiens étaient assis à ses côtés : on aurait dit ses gardiens. Les Domínguez la reçurent avec leur joie coutumière. Et, au cours du repas, ils l'invitèrent pour la première fois au Culte.
Rapidement, Verónica répondit qu'elle devait demander la permission à ses parents, même si elle ne le ferait pas : ils ne comprendraient pas. Ils lui auraient interdit d'y aller. Ils avaient l'habitude d'affirmer que les pratiquants étaient des gens ignorants et dangereux.

Tradabordo a dit…

Elle ne révéla rien à [ou avec « raconter » ? Pas plus naturel ?] son père concernant le Diable ni les Domínguez. Ils abordèrent le sujet de l'école qui reprenait dans [« d'ici » ? Je te laisse trancher…] deux semaines et de l'été qui s'achevait. « Si ta maman va mieux, l'année prochaine, nous irons à la mer », annonça-t-il.
Le lendemain, elle retourna chez Mariela. La grand-mère était assise dans le patio, elle se coiffait, vêtue d'une chemise de nuit blanche, elle avait [nécessaire ?] les jambes gonflées. Ses cheveux touchaient presque par terre. Les chiens étaient assis [un moyen de ne pas répéter ?] à ses côtés : on aurait dit ses gardiens. Les Domínguez la reçurent avec leur joie coutumière. Et, au cours du repas, ils l'invitèrent pour la première fois au Culte.
Rapidement, Verónica répondit qu'elle devait demander la permission à ses parents, même si elle ne le ferait pas : ils ne comprendraient [FS ?] pas. Ils lui auraient interdit d'y aller. Ils avaient l'habitude d'affirmer que les pratiquants étaient des gens ignorants et dangereux.

Justine a dit…

Elle ne raconta rien à son père concernant le Diable ni les Domínguez. Ils abordèrent le sujet de l'école qui reprenait d'ici deux semaines et de l'été qui s'achevait. « Si ta maman va mieux, l'année prochaine, nous irons à la mer », annonça-t-il.
Le lendemain, elle retourna chez Mariela. La grand-mère était installée dans le patio, elle se coiffait, vêtue d'une chemise de nuit blanche, les jambes gonflées. Ses cheveux touchaient presque par terre. Les chiens étaient assis à ses côtés : on aurait dit ses gardiens. Les Domínguez la reçurent avec leur joie coutumière. Et, au cours du repas, ils l'invitèrent pour la première fois au Culte.
Rapidement, Verónica répondit qu'elle devait demander la permission à ses parents, même si elle ne le ferait pas : ils ne seraient pas au courant. Ils lui auraient interdit d'y aller. Ils avaient l'habitude d'affirmer que les pratiquants étaient des gens ignorants et dangereux.

Tradabordo a dit…

Elle ne raconta rien à son père concernant le Diable ni les Domínguez. Ils abordèrent le sujet de l'école qui reprenait d'ici deux semaines et de l'été qui s'achevait. « Si ta maman va mieux, l'année prochaine, nous irons à la mer », annonça-t-il.
Le lendemain, elle retourna chez Mariela. La grand-mère était installée dans le patio, elle se coiffait, vêtue d'une chemise de nuit blanche, les jambes gonflées. Ses cheveux touchaient presque par terre. Les chiens étaient assis à ses côtés : on aurait dit ses gardiens. Les Domínguez la reçurent avec leur joie coutumière. Et, au cours du repas, ils l'invitèrent pour la première fois au Culte.
Rapidement, Verónica répondit qu'elle devait demander la permission à ses parents, même si elle ne le ferait pas : ils ne seraient pas au courant [« ne l'apprendraient pas » ?]. Ils lui auraient interdit d'y aller. Ils avaient l'habitude d'affirmer que les pratiquants étaient des gens ignorants et dangereux.

Justine a dit…

Elle ne raconta rien à son père concernant le Diable ni les Domínguez. Ils abordèrent le sujet de l'école qui reprenait d'ici deux semaines et de l'été qui s'achevait. « Si ta maman va mieux, l'année prochaine, nous irons à la mer », annonça-t-il.
Le lendemain, elle retourna chez Mariela. La grand-mère était dans le patio, elle se coiffait, vêtue d'une chemise de nuit blanche, les jambes gonflées. Ses cheveux touchaient presque par terre. Les chiens étaient assis à ses côtés : on aurait dit ses gardiens. Les Domínguez la reçurent avec leur joie coutumière. Et, au cours du repas, ils l'invitèrent pour la première fois au Culte.
Rapidement, Verónica répondit qu'elle devait demander la permission à ses parents, même si elle ne le ferait pas : ils ne l'apprendraient pas. Ils lui auraient interdit d'y aller. Ils avaient l'habitude d'affirmer que les pratiquants étaient des gens ignorants et dangereux.

Tradabordo a dit…

Elle ne raconta rien à son père concernant le Diable ni les Domínguez. Ils abordèrent le sujet de l'école qui reprenait d'ici deux semaines et de l'été qui s'achevait. « Si ta maman va mieux, l'année prochaine, nous irons à la mer », annonça-t-il.
Le lendemain, elle retourna chez Mariela. La grand-mère était dans le patio, elle se coiffait, vêtue d'une chemise de nuit blanche, les jambes gonflées. Ses cheveux touchaient presque par terre. Les chiens étaient assis à ses côtés : on aurait dit ses gardiens. Les Domínguez la reçurent avec leur joie coutumière. Et, au cours du repas, ils l'invitèrent pour la première fois au Culte.
Rapidement, Verónica répondit qu'elle devait demander la permission à ses parents, même si elle ne le ferait pas : ils ne l'apprendraient pas. Ils lui auraient interdit d'y aller. Ils avaient l'habitude d'affirmer que les pratiquants étaient des gens ignorants et dangereux.

OK.