mercredi 6 avril 2016

Projet Sonita / Élise 3 – phrases 716-731

—¡Basta! —gritó Zebrel con su voz prestada—. Recuperaremos la tierra y el aire. Nadie podrá detenernos. Saldremos de este lugar y nunca regresaremos.
—¡Tormento eterno para los que ofenden a Dios! —dijeron juntos la mujer y el hombre. Nadie les prestó atención. De pronto, las avispas callaron. Por primera vez en mucho tiempo el silencio fue tan espeso que Zebrel temió que las profecías se cumplieran, que ellos fueran, finalmente, los dueños de la razón.
—Tu temor es infundado —dijo la voz en su mente—. Estamos cerca.
Zebrel sintió los labios de Milena buscando su boca. También oyó un sonido de trueno rasgando las paredes como si fuesen de papel.
—Ya termina —susurró Milena.
Los primeros guardias de la Iglesia irrumpieron en la sala, pero al mismo tiempo, como caballos de ajedrez tridimensionales, llegaron otros guerreros, saltando desde ángulos imposibles.
—Son tan reales como tus muñones, Guido —dijo la voz en la mente—; duros, materiales. Son abejas de acero fraguadas en el ardor de nuestra furia. ¿Dónde están los ángeles ahora? ¿Dónde están los dioses?

Traduction temporaire :
— Assez ! cria Zebrel avec sa voix d'emprunt. Nous récupérerons la terre et l’air. Personne ne pourra nous arrêter. Nous sortirons d’ici et jamais nous n’y reviendrons.
— Tourment éternel pour ceux qui offensent Dieu ! condamnèrent ensemble l’homme et la femme.
Personne ne fit attention à eux. Soudain, les guêpes se turent. Pour la première fois depuis longtemps, le silence fut tellement épais que Zebrel craignit que les prophéties ne s’accomplissent, qu'ils étaient les véritables receleurs de la raison.
— Ta crainte est infondée, intervint la voix dans sa tête. On y est presque.
Zebrel sentit les lèvres de Milena qui cherchaient sa bouche. Il entendit aussi le bruit d’un coup de tonnerre déchirant les murs comme s’ils étaient en papier.
— C’est bientôt fini, murmura Milena.
Les premiers gardiens de l’Église firent irruption dans la salle, mais en même temps, tels des cavaliers tridimensionnels de jeu d’échecs, d’autres guerriers arrivèrent, apparaissant depuis des angles impossibles.
— Guido, ils sont aussi réels que tes moignons, dit la voix dans sa tête. Durs, tangibles. Ce sont des abeilles en acier, forgées dans le feu de notre furie. Où sont les anges, maintenant ? Où sont les dieux ?

7 commentaires:

Sonita a dit…

— C’en est assez ! cria Zebrel avec sa voix prêtée. On récupérera la terre et l’air. Personne ne pourra nous arrêter. On sortira d’ici et jamais nous n’y reviendrons.
— Tourment éternel pour ceux qui offensent Dieu ! condamnèrent ensemble, l’homme et la femme. Personne ne les écouta. Soudain, les guêpes se turent. Pour la première fois depuis longtemps, le silence fut tellement épais que Zebrel craignit que les prophéties ne s’accomplissent, qu’eux, ils étaient réellement, les propriétaires de la raison.
— Ta crainte est infondée, le tranquillisa la voix dans sa tête. On y est presque.
Zebrel sentit les lèvres de Milena qui cherchaient sa bouche. Il entendit aussi le bruit d’un coup de tonnerre déchirant les murs comme s’ils étaient en papier.
— C’est bientôt fini, murmura Milena.
Les premiers gardes de l’Église firent irruption dans la salle, mais en même temps, tels de chevaux tridimensionnels d’un jeu d’échecs, d’autres guerriers arrivèrent, apparaissant depuis des angles impossibles.
— Ils sont aussi réels que tes moignons, Guido, dit la voix dans sa tête. Durs, tangibles. Ce sont des abeilles en acier, forgées dans le feu de notre furie. Où sont les anges, maintenant ? Où sont les dieux ?

Sonita a dit…

et moi, et moi ? :)

Tradabordo a dit…

— C’en est [supprime] assez ! cria Zebrel avec sa voix prêtée [mal dit]. On [laisse le « nous », pour lever toute ambiguïté] récupérera la terre et l’air. Personne ne pourra nous arrêter. On [idem] sortira d’ici et jamais nous n’y reviendrons.
— Tourment éternel pour ceux qui offensent Dieu ! condamnèrent ensemble, [la virgule ?] l’homme et la femme.
Personne ne les écouta [littéral ou tu cherches à éviter une répétition ?]. Soudain, les guêpes se turent. Pour la première fois depuis longtemps, le silence fut tellement épais que Zebrel craignit que les prophéties ne s’accomplissent, qu’eux [à partir de là, ça n'est pas très clair], ils étaient réellement, les propriétaires de la raison.
— Ta crainte est infondée, le tranquillisa [tu changes ; « intervint »] la voix dans sa tête. On y est presque.
Zebrel sentit les lèvres de Milena qui cherchaient sa bouche. Il entendit aussi le bruit d’un coup de tonnerre déchirant les murs comme s’ils étaient en papier.
— C’est bientôt fini, murmura Milena.
Les premiers gardes [« gardiens » ?] de l’Église firent irruption dans la salle, mais en même temps, tels de [« des »] chevaux [mal dit] tridimensionnels d’un [« de »] jeu d’échecs, d’autres guerriers arrivèrent, apparaissant depuis des angles impossibles.
— Ils sont aussi réels que tes moignons, Guido [ou placé devant ?], dit la voix dans sa tête. Durs, tangibles. Ce sont des abeilles en acier, forgées dans le feu de notre furie. Où sont les anges, maintenant ? Où sont les dieux ?

Sonita a dit…

— Assez ! cria Zebrel avec sa voix empruntée. Nous récupérerons la terre et l’air. Personne ne pourra nous arrêter. Nous sortirons d’ici et jamais nous n’y reviendrons.
— Tourment éternel pour ceux qui offensent Dieu ! condamnèrent ensemble l’homme et la femme.
Personne ne fit attention à eux. Soudain, les guêpes se turent. Pour la première fois depuis longtemps, le silence fut tellement épais que Zebrel craignit que les prophéties ne s’accomplissent, que les détenteurs de la raison étaient réellement eux.
— Ta crainte est infondée, intervint la voix dans sa tête. On y est presque.
Zebrel sentit les lèvres de Milena qui cherchaient sa bouche. Il entendit aussi le bruit d’un coup de tonnerre déchirant les murs comme s’ils étaient en papier.
— C’est bientôt fini, murmura Milena.
Les premiers gardiens de l’Église firent irruption dans la salle, mais en même temps, tels des cavaliers tridimensionnels de jeu d’échecs, d’autres guerriers arrivèrent, apparaissant depuis des angles impossibles.
— Guido, ils sont aussi réels que tes moignons, dit la voix dans sa tête. Durs, tangibles. Ce sont des abeilles en acier, forgées dans le feu de notre furie. Où sont les anges, maintenant ? Où sont les dieux ?

Tradabordo a dit…

— Assez ! cria Zebrel avec sa voix empruntée [« d'emprunt »]. Nous récupérerons la terre et l’air. Personne ne pourra nous arrêter. Nous sortirons d’ici et jamais nous n’y reviendrons.
— Tourment éternel pour ceux qui offensent Dieu ! condamnèrent ensemble l’homme et la femme.
Personne ne fit attention à eux. Soudain, les guêpes se turent. Pour la première fois depuis longtemps, le silence fut tellement épais que Zebrel craignit que les prophéties ne s’accomplissent, que les détenteurs de la raison étaient [grammaire + pas plus clair] réellement eux.
— Ta crainte est infondée, intervint la voix dans sa tête. On y est presque.
Zebrel sentit les lèvres de Milena qui cherchaient sa bouche. Il entendit aussi le bruit d’un coup de tonnerre déchirant les murs comme s’ils étaient en papier.
— C’est bientôt fini, murmura Milena.
Les premiers gardiens de l’Église firent irruption dans la salle, mais en même temps, tels des cavaliers tridimensionnels de jeu d’échecs, d’autres guerriers arrivèrent, apparaissant depuis des angles impossibles.
— Guido, ils sont aussi réels que tes moignons, dit la voix dans sa tête. Durs, tangibles. Ce sont des abeilles en acier, forgées dans le feu de notre furie. Où sont les anges, maintenant ? Où sont les dieux ?

Sonita a dit…

— Assez ! cria Zebrel avec sa voix d'emprunt. Nous récupérerons la terre et l’air. Personne ne pourra nous arrêter. Nous sortirons d’ici et jamais nous n’y reviendrons.
— Tourment éternel pour ceux qui offensent Dieu ! condamnèrent ensemble l’homme et la femme.
Personne ne fit attention à eux. Soudain, les guêpes se turent. Pour la première fois depuis longtemps, le silence fut tellement épais que Zebrel craignit que les prophéties ne s’accomplissent, qu'ils étaient les véritables receleurs de la raison.
— Ta crainte est infondée, intervint la voix dans sa tête. On y est presque.
Zebrel sentit les lèvres de Milena qui cherchaient sa bouche. Il entendit aussi le bruit d’un coup de tonnerre déchirant les murs comme s’ils étaient en papier.
— C’est bientôt fini, murmura Milena.
Les premiers gardiens de l’Église firent irruption dans la salle, mais en même temps, tels des cavaliers tridimensionnels de jeu d’échecs, d’autres guerriers arrivèrent, apparaissant depuis des angles impossibles.
— Guido, ils sont aussi réels que tes moignons, dit la voix dans sa tête. Durs, tangibles. Ce sont des abeilles en acier, forgées dans le feu de notre furie. Où sont les anges, maintenant ? Où sont les dieux ?

Tradabordo a dit…

— Assez ! cria Zebrel avec sa voix d'emprunt. Nous récupérerons la terre et l’air. Personne ne pourra nous arrêter. Nous sortirons d’ici et jamais nous n’y reviendrons.
— Tourment éternel pour ceux qui offensent Dieu ! condamnèrent ensemble l’homme et la femme.
Personne ne fit attention à eux. Soudain, les guêpes se turent. Pour la première fois depuis longtemps, le silence fut tellement épais que Zebrel craignit que les prophéties ne s’accomplissent, qu'ils étaient les véritables receleurs de la raison.
— Ta crainte est infondée, intervint la voix dans sa tête. On y est presque.
Zebrel sentit les lèvres de Milena qui cherchaient sa bouche. Il entendit aussi le bruit d’un coup de tonnerre déchirant les murs comme s’ils étaient en papier.
— C’est bientôt fini, murmura Milena.
Les premiers gardiens de l’Église firent irruption dans la salle, mais en même temps, tels des cavaliers tridimensionnels de jeu d’échecs, d’autres guerriers arrivèrent, apparaissant depuis des angles impossibles.
— Guido, ils sont aussi réels que tes moignons, dit la voix dans sa tête. Durs, tangibles. Ce sont des abeilles en acier, forgées dans le feu de notre furie. Où sont les anges, maintenant ? Où sont les dieux ?

OK.