lundi 11 avril 2016

Projet Sonita / Élise 3 – phrases 732-746

Zebrel asistió encantado al festival de miedo sobrenatural que la sola presencia de los guerreros provocaba en los guardias armados de la Iglesia. Hubo unos pocos disparos, pero la fuerza abrumadora de los invasores estaba en la capacidad para echar contra los creyentes sus propios mitos inoperantes.
—¿Dónde están los dioses ahora? —bramó la voz, ahora amplificada por una nube de abejas de hierro que devoraban a las avispas de oro como si se tratara de migas de pan—. ¿Es esto una nueva prueba a la que los dioses someten a los creyentes?
—Sólo Dios salva y sana como sanó y salvó a tantos... —Era la voz del instructor de la Iglesia, arrastrándose sin fuerza entre los espantados guardias que intentaban enfrentar a los guerreros.
—¡Se terminó! —tronó la voz—. Esta gente ha sido liberada. Nuestro ejército ha pasado al ataque. ¡Nunca más!
Zebrel sintió los dedos de Milena acariciándole la mejilla y no trató de detener las lágrimas. Pronto, muy pronto, pensó, yo podré hacer lo mismo. Milena captó los pensamientos de Guido y sólo dijo sí.
Sin recato, la voz volvió a rugir en la sala, ya vacía de acólitos. —Un final de novela rosa, quizá —dijo mientras los guerreros se desvanecían en el aire—. Pero alguna vez nos tenía que tocar a nosotros. Y por otra parte, esto no es el final de nada; esto acaba de empezar, ahora.

Traduction temporaire :
Subjugué, Zebrel assista au festival de peur surnaturelle que la seule présence des guerriers provoquait chez les gardiens armés de l’Église. Il y eut quelques coups de feu, mais la force écrasante des envahisseurs avait la capacité de jeter à la figure des croyants leurs propres mythes inopérants.
— Où sont les dieux, maintenant ? hurla la voix, à présent amplifiée par un nuage d’abeilles en fer qui dévoraient les guêpes en or comme si c’était des miettes de pain. Est-ce qu’il s’agit-là d’une nouvelle épreuve que les dieux font subir aux croyants ?
— Seul Dieu sauve et guérit, de la même façon qu'il a guéri et sauvé autant de personnes… C’était la voix de l’instructeur de l’Église, rampant, à bout de forces, parmi les gardiens épouvantés qui essayaient de faire face aux guerriers.
— C’est fini ! tonna la voix. Ces gens ont été libérés. Notre armée est passée à l’attaque. Plus jamais !
Zebrel sentit les doigts de Milena caresser sa joue et il n’essaya pas de retenir ses larmes. Bientôt, très bientôt, pensa-t-il, je pourrai faire la même chose. Milena capta les pensées de Guido et dit tout simplement oui.
La voix impudente rugit à nouveau dans la salle, désormais vide d’acolytes.
— Une fin de roman à l’eau de rose, peut-être, déclara-t-elle, tandis que les guerriers se volatilisaient dans l’air. Mais il fallait bien qu'une fois, ce soit notre tour. Et d’autre part, ça, ce n’est la fin de rien. Ça vient juste de commencer.

15 commentaires:

Sonita a dit…

Zebrel assista subjugué au festival de peur surnaturelle que la seule présence des guerriers provoquait chez les gardes armés de l’Église. Il y eut quelques coups de feu, mais la force écrasante des envahisseurs avait la capacité de renvoyer aux croyants leurs propres mythes inopérants.
— Où sont les dieux, maintenant ? hurla la voix désormais amplifiée par un nuage d’abeilles en fer qui dévoraient les guêpes en or comme si c’était des mies de pain. Est-ce qu’il s’agit-là d’une nouvelle épreuve que les dieux font subir aux croyants ?
— Seul Dieu sauve et guérit comme il a guérit et sauvé autant de personnes… C’était la voix de l’instructeur de l’Église, rampant, à bout de forces, parmi les gardes épouvantés qui essayaient de faire face aux guerriers.
— C’est fini ! tonna la voix. Ces gens ont été libérés. Notre armée est passée à l’attaque. Plus jamais !
Zebrel sentit les doigts de Milena qui caressaient sa joue et il n’essaya pas de retenir ses larmes. Bientôt, très bientôt, pensa-t-il, je pourrais faire la même chose. Milena capta les pensées de Guido et dit tout simplement oui.
La voix rugit à nouveau dans la salle, sans pudeur, vide d’acolytes, à présent.
— Une fin de roman à l’eau de rose, peut-être, dit-elle tandis que les guerriers se volatilisaient dans l’air. Mais il fallait bien que ce soit notre tour, au moins une fois. Et d’autre part, ça, ce n’est la fin de rien. Ça vient juste de commencer.

Tradabordo a dit…

Zebrel assista subjugué [mets ça au début] au festival de peur surnaturelle que la seule présence des guerriers provoquait chez les gardes [on les a pas appelés des « gardiens » avant ? Vérifie] armés de l’Église. Il y eut quelques coups de feu, mais la force écrasante des envahisseurs avait la capacité de renvoyer [sûre ?] aux croyants leurs propres mythes inopérants.
— Où sont les dieux, maintenant ? hurla la voix [virgule] désormais [mal dit ici] amplifiée par un nuage d’abeilles en fer qui dévoraient les guêpes en or comme si c’était des mies [mal dit] de pain. Est-ce qu’il s’agit-là d’une nouvelle épreuve que les dieux font subir aux croyants ?
— Seul Dieu sauve et guérit [virgule] comme [tu en as un dans la phrase précédente ; vois celui qu'il faut garder et change l'autre] il a guérit [grammaire] et sauvé autant de personnes… C’était la voix de l’instructeur de l’Église, rampant, à bout de forces, parmi les gardes [idem ?] épouvantés qui essayaient de faire face aux guerriers.
— C’est fini ! tonna la voix. Ces gens ont été libérés. Notre armée est passée à l’attaque. Plus jamais !
Zebrel sentit les doigts de Milena qui caressaient [infinitif] sa joue et il n’essaya pas de retenir ses larmes. Bientôt, très bientôt, pensa-t-il, je pourrais [temps / grammaire] faire la même chose. Milena capta les pensées de Guido et dit tout simplement oui.
La voix rugit à nouveau dans la salle, sans pudeur, vide d’acolytes, à présent [gros pbs de syntaxe dans cette phrase].
— Une fin de roman à l’eau de rose, peut-être, dit [tu en as un juste avant]-elle [virgule] tandis que les guerriers se volatilisaient dans l’air. Mais il fallait bien que ce soit notre tour, au moins [texte ?] une fois. Et d’autre part, ça, ce n’est la fin de rien. Ça vient juste de commencer.

Sonita a dit…

Subjugué, Zebrel assista au festival de peur surnaturelle que la seule présence des guerriers provoquait chez les gardiens armés de l’Église. Il y eut quelques coups de feu, mais la force écrasante des envahisseurs avait la capacité de mettre les croyants contre leurs propres mythes inopérants.
— Où sont les dieux, maintenant ? hurla la voix, à présent amplifiée par un nuage d’abeilles en fer qui dévoraient les guêpes en or comme si c’était des miettes de pain. Est-ce qu’il s’agit-là d’une nouvelle épreuve que les dieux font subir aux croyants ?
— Seul Dieu sauve et guérit, de la même façon qu'il a guéri et sauvé autant de personnes… C’était la voix de l’instructeur de l’Église, rampant, à bout de forces, parmi les gardiens épouvantés qui essayaient de faire face aux guerriers.
— C’est fini ! tonna la voix. Ces gens ont été libérés. Notre armée est passée à l’attaque. Plus jamais !
Zebrel sentit les doigts de Milena caresser sa joue et il n’essaya pas de retenir ses larmes. Bientôt, très bientôt, pensa-t-il, je pourrai faire la même chose. Milena capta les pensées de Guido et dit tout simplement oui.
Sans pudeur, la voix rugit à nouveau dans la salle, désormais vide d’acolytes.
— Une fin de roman à l’eau de rose, peut-être, déclata-t-elle, tandis que les guerriers se volatilisaient dans l’air. Mais il fallait bien qu'une fois, ce soit notre tour. Et d’autre part, ça, ce n’est la fin de rien. Ça vient juste de commencer.

Tradabordo a dit…

Subjugué, Zebrel assista au festival de peur surnaturelle que la seule présence des guerriers provoquait chez les gardiens armés de l’Église. Il y eut quelques coups de feu, mais la force écrasante des envahisseurs avait la capacité de mettre les croyants contre [je ne pense pas que ça fonctionne… Quelle est l'idée ?] leurs propres mythes inopérants.
— Où sont les dieux, maintenant ? hurla la voix, à présent amplifiée par un nuage d’abeilles en fer qui dévoraient les guêpes en or comme si c’était des miettes de pain. Est-ce qu’il s’agit-là d’une nouvelle épreuve que les dieux font subir aux croyants ?
— Seul Dieu sauve et guérit, de la même façon qu'il a guéri et sauvé autant de personnes… C’était la voix de l’instructeur de l’Église, rampant, à bout de forces, parmi les gardiens épouvantés qui essayaient de faire face aux guerriers.
— C’est fini ! tonna la voix. Ces gens ont été libérés. Notre armée est passée à l’attaque. Plus jamais !
Zebrel sentit les doigts de Milena caresser sa joue et il n’essaya pas de retenir ses larmes. Bientôt, très bientôt, pensa-t-il, je pourrai faire la même chose. Milena capta les pensées de Guido et dit tout simplement oui.
Sans pudeur, la voix rugit à nouveau dans la salle, désormais vide d’acolytes [pas génial].
— Une fin de roman à l’eau de rose, peut-être, déclata[?]-t-elle, tandis que les guerriers se volatilisaient dans l’air. Mais il fallait bien qu'une fois, ce soit notre tour. Et d’autre part, ça, ce n’est la fin de rien. Ça vient juste de commencer.

Sonita a dit…

Je me suis laissée porter par le "echar contra" de la V.O. dans un premier temps, mais en y réfléchissant, je crois que ça a plutôt le sens de "mettre face à". Tu ne crois pas ?

***

Subjugué, Zebrel assista au festival de peur surnaturelle que la seule présence des guerriers provoquait chez les gardiens armés de l’Église. Il y eut quelques coups de feu, mais la force écrasante des envahisseurs avait la capacité de mettre les croyants face à leurs propres mythes inopérants.
— Où sont les dieux, maintenant ? hurla la voix, à présent amplifiée par un nuage d’abeilles en fer qui dévoraient les guêpes en or comme si c’était des miettes de pain. Est-ce qu’il s’agit-là d’une nouvelle épreuve que les dieux font subir aux croyants ?
— Seul Dieu sauve et guérit, de la même façon qu'il a guéri et sauvé autant de personnes… C’était la voix de l’instructeur de l’Église, rampant, à bout de forces, parmi les gardiens épouvantés qui essayaient de faire face aux guerriers.
— C’est fini ! tonna la voix. Ces gens ont été libérés. Notre armée est passée à l’attaque. Plus jamais !
Zebrel sentit les doigts de Milena caresser sa joue et il n’essaya pas de retenir ses larmes. Bientôt, très bientôt, pensa-t-il, je pourrai faire la même chose. Milena capta les pensées de Guido et dit tout simplement oui.
La voix impudente rugit à nouveau dans la salle, désormais vide d’acolytes.
— Une fin de roman à l’eau de rose, peut-être, déclara-t-elle, tandis que les guerriers se volatilisaient dans l’air. Mais il fallait bien qu'une fois, ce soit notre tour. Et d’autre part, ça, ce n’est la fin de rien. Ça vient juste de commencer.

Tradabordo a dit…

Regarde sur Google – avec les guillemets – pour voir dans quel sens cela est employé. Avec différents contextes, tu pourras certainement comprendre.

Sonita a dit…

Je ne trouve que 2 occurrences avec l'expression "echar contra".
La première dans un fragment d'une lettre de Fidel Castro à Celia Sánchez en 1958 :
"Cuando esta guerra acabe, empezará para mí una guerra mucho más larga y grande. La guerra que voy a echar contra ellos. Me doy cuenta que ese va a ser mi destino verdadero. Fidel."

Je le comprends dans le sens de "mener contre eux / à leur encontre".

La deuxième dans le livre "la Tribuna" de Emilia Pardo Bazán, qui date de 1883, et elle apparaît entre guillemets dans son texte :
"A despecho de la acusación de «echar contra Dios» lanzada por las campesinas a las ciudadanas, la verdad es que, con contadísimas excepciones, todas las cigarreras se manifestaban acordes y unánimes en achaques de devoción."

Et là, je le comprends dans le sens de "médire"...

J'ai envie de revenir à ma proposition "mettre les croyants contre leurs propres mythes inopérants", car je pense que c'est celui-là le sens.

Je vais quand-même demander à Elena :-)

Tradabordo a dit…

Dans ce cas, mieux vaut demander à Elena. Elle est tjs de bon conseil pour ce genre de pb. Je lui demande de venir ici.

Elena a dit…

C'est dans le sens de "balancer".

Sonita a dit…

Subjugué, Zebrel assista au festival de peur surnaturelle que la seule présence des guerriers provoquait chez les gardiens armés de l’Église. Il y eut quelques coups de feu, mais la force écrasante des envahisseurs avait la capacité de balancer aux croyants leurs propres mythes inopérants.
— Où sont les dieux, maintenant ? hurla la voix, à présent amplifiée par un nuage d’abeilles en fer qui dévoraient les guêpes en or comme si c’était des miettes de pain. Est-ce qu’il s’agit-là d’une nouvelle épreuve que les dieux font subir aux croyants ?
— Seul Dieu sauve et guérit, de la même façon qu'il a guéri et sauvé autant de personnes… C’était la voix de l’instructeur de l’Église, rampant, à bout de forces, parmi les gardiens épouvantés qui essayaient de faire face aux guerriers.
— C’est fini ! tonna la voix. Ces gens ont été libérés. Notre armée est passée à l’attaque. Plus jamais !
Zebrel sentit les doigts de Milena caresser sa joue et il n’essaya pas de retenir ses larmes. Bientôt, très bientôt, pensa-t-il, je pourrai faire la même chose. Milena capta les pensées de Guido et dit tout simplement oui.
La voix impudente rugit à nouveau dans la salle, désormais vide d’acolytes.
— Une fin de roman à l’eau de rose, peut-être, déclara-t-elle, tandis que les guerriers se volatilisaient dans l’air. Mais il fallait bien qu'une fois, ce soit notre tour. Et d’autre part, ça, ce n’est la fin de rien. Ça vient juste de commencer.

Tradabordo a dit…

Subjugué, Zebrel assista au festival de peur surnaturelle que la seule présence des guerriers provoquait chez les gardiens armés de l’Église. Il y eut quelques coups de feu, mais la force écrasante des envahisseurs avait la capacité de balancer [registre ?] aux croyants leurs propres mythes inopérants.
— Où sont les dieux, maintenant ? hurla la voix, à présent amplifiée par un nuage d’abeilles en fer qui dévoraient les guêpes en or comme si c’était des miettes de pain. Est-ce qu’il s’agit-là d’une nouvelle épreuve que les dieux font subir aux croyants ?
— Seul Dieu sauve et guérit, de la même façon qu'il a guéri et sauvé autant de personnes… C’était la voix de l’instructeur de l’Église, rampant, à bout de forces, parmi les gardiens épouvantés qui essayaient de faire face aux guerriers.
— C’est fini ! tonna la voix. Ces gens ont été libérés. Notre armée est passée à l’attaque. Plus jamais !
Zebrel sentit les doigts de Milena caresser sa joue et il n’essaya pas de retenir ses larmes. Bientôt, très bientôt, pensa-t-il, je pourrai faire la même chose. Milena capta les pensées de Guido et dit tout simplement oui.
La voix impudente rugit à nouveau dans la salle, désormais vide d’acolytes.
— Une fin de roman à l’eau de rose, peut-être, déclara-t-elle, tandis que les guerriers se volatilisaient dans l’air. Mais il fallait bien qu'une fois, ce soit notre tour. Et d’autre part, ça, ce n’est la fin de rien. Ça vient juste de commencer.

Sonita a dit…

Subjugué, Zebrel assista au festival de peur surnaturelle que la seule présence des guerriers provoquait chez les gardiens armés de l’Église. Il y eut quelques coups de feu, mais la force écrasante des envahisseurs avait la capacité de jeter à la figure des croyants leurs propres mythes inopérants.
— Où sont les dieux, maintenant ? hurla la voix, à présent amplifiée par un nuage d’abeilles en fer qui dévoraient les guêpes en or comme si c’était des miettes de pain. Est-ce qu’il s’agit-là d’une nouvelle épreuve que les dieux font subir aux croyants ?
— Seul Dieu sauve et guérit, de la même façon qu'il a guéri et sauvé autant de personnes… C’était la voix de l’instructeur de l’Église, rampant, à bout de forces, parmi les gardiens épouvantés qui essayaient de faire face aux guerriers.
— C’est fini ! tonna la voix. Ces gens ont été libérés. Notre armée est passée à l’attaque. Plus jamais !
Zebrel sentit les doigts de Milena caresser sa joue et il n’essaya pas de retenir ses larmes. Bientôt, très bientôt, pensa-t-il, je pourrai faire la même chose. Milena capta les pensées de Guido et dit tout simplement oui.
La voix impudente rugit à nouveau dans la salle, désormais vide d’acolytes.
— Une fin de roman à l’eau de rose, peut-être, déclara-t-elle, tandis que les guerriers se volatilisaient dans l’air. Mais il fallait bien qu'une fois, ce soit notre tour. Et d’autre part, ça, ce n’est la fin de rien. Ça vient juste de commencer.

Tradabordo a dit…

Subjugué, Zebrel assista au festival de peur surnaturelle que la seule présence des guerriers provoquait chez les gardiens armés de l’Église. Il y eut quelques coups de feu, mais la force écrasante des envahisseurs avait la capacité de jeter à la figure des croyants leurs propres mythes inopérants.
— Où sont les dieux, maintenant ? hurla la voix, à présent amplifiée par un nuage d’abeilles en fer qui dévoraient les guêpes en or comme si c’était des miettes de pain. Est-ce qu’il s’agit-là d’une nouvelle épreuve que les dieux font subir aux croyants ?
— Seul Dieu sauve et guérit, de la même façon qu'il a guéri et sauvé autant de personnes… C’était la voix de l’instructeur de l’Église, rampant, à bout de forces, parmi les gardiens épouvantés qui essayaient de faire face aux guerriers.
— C’est fini ! tonna la voix. Ces gens ont été libérés. Notre armée est passée à l’attaque. Plus jamais !
Zebrel sentit les doigts de Milena caresser sa joue et il n’essaya pas de retenir ses larmes. Bientôt, très bientôt, pensa-t-il, je pourrai faire la même chose. Milena capta les pensées de Guido et dit tout simplement oui.
La voix impudente rugit à nouveau dans la salle, désormais vide d’acolytes.
— Une fin de roman à l’eau de rose, peut-être, déclara-t-elle, tandis que les guerriers se volatilisaient dans l’air. Mais il fallait bien qu'une fois, ce soit notre tour. Et d’autre part, ça, ce n’est la fin de rien. Ça vient juste de commencer.

OK.

Tradabordo a dit…

Si je ne me trompe pas, c'est terminé. Tu peux relire… alors là, pour le coup, vu la longueur, etc., prends bien le temps de relire, car il y aura probablement besoin d'un sérieux lissage + harmonisation, etc. Et fais bien attention que tout le texte y soit… Compare avec la V.O. + remets la mise en page initiale.

Sonita a dit…

D'accord, je m'y mets !