mardi 26 octobre 2010

Tchat de traduction… C'est parti !

« Avisada la familia de la enferma por la dirección del centro, dos individuos de avanzada edad, que dijeron ser hermanos de sor Consuelo, llegaron aquella misma tarde, en el momento en que ella exhalaba el último suspiro. »

15h01 :
Leslie nous propose sa traduction :

Une fois la famille de la malade avertie par la direction du centre, deux individus d'un certain âge, qui dirent être des frères de soeur Consuelo, arrivèrent cet après-midi-là, au moment où elle exhalait le dernier soupir.

15h02 :
- le "une fois" est-il vraiment utile ?
- pourquoi avoir changé "avanzada edad" ?
- le "dirent" ne peut-il pas être un peu enrichi ?
- "des" frères ?
- "le" dernier soupir ?

15h05 :
Annabelle nous propose sa traduction :

Une fois la famille de la malade avertie par la direction du centre, deux individus d'âge avancé, qui dirent être frères de sœur Consuelo, arrivèrent le soir même, au moment où elle rendait son dernier soupir.

15h07 :
- idem pour le "une fois".
- idem pour le "dirent".
- rien devant "frères " ? Un peu curieux, non ?
- Bien pour "rendait son dernier soupir"… mais est-ce qu'on n'est pas un peu en-dessous de "exhalaba" ?

15h09 :
Clarisse :
pour "edad avanzada", je n'aurais pas mis "certain âge", car je ne trouve pas que cela reflète le texte mais plutôt "d'un âge avancé".
et pour la fin de la phrase j'aurais mis un possessif "son" dernier soupir.

15h10 :
- surtout, pour "avanzada edad", il n'y a pas de raison de s'éloigner du texte…
- oui pour le possessif.

15h11 :
Amélie :
J'aurais plutôt choisi le participe présent : "La famille de la malade ayant été avertie"
J'aurais gardé : "deux individus d'un certain âge"
Je pensais modifier le verbe "dire" par "se présenter", qui a l'avantage d'éviter de doubler les verbes : qui se présentèrent comme les frères de soeur Consuelo"
J'aurais ajouté "juste" pour mieux rendre la fatalité (c'est un ajout, je l'avoue, qui n'est sans doute pas nécessaire).
Je pense qu'il vaut mieux mettre : "son dernier soupir".

Ma proposition:

La famille de la malade ayant été avertie, deux individus d'un certain âge - qui se présentèrent comme les frères de soeur Consuelo - arrivèrent cet après-midi là, juste au moment où elle rendait son dernier souffle.

15h12 :
- est-ce qu'on ne peut pas faire l'impasse pour "ayant été" ?
- "se présentèrent"… il vaut mieux un verbe synonyme.
- Tu introduis des tirets, c'est un peu embêtant, car c'est quand même une modification dans la hiérarchie de la phrase.
- ton "juste" est une bonne idée.

15h14 :
Amélie :
Si, effectivement, pour "rendre son dernier soupir", on est en-dessous de "exhalaba". Mais "rendre son dernier soupir" n'est-elle pas l'expression consacrée en français ?

15h14 :
C'est exactement la question que je me pose : fidélité au texte ou français standard ?

15h15 :
Benoît :
Bonjour à tous !!

Je pensais également mettre le "une fois" car je trouve qu'il permet de mieux introduire la phrase.
j'aurai plutôt mit à la place de dire : "s'annoncèrent comme étant des frères de Soeur Consuelo"

15h15 :
- Mais regarde, n'est-ce pas plus léger de dire : « La famille de la malade avertie, »
- Pour le "dirent"… il faut s'interroger sur ce que l'auteur cherche à faire passer et pas seulement essayer de trouver un substitut. Je vous écoute.

15h17 :
Leslie :
La famille de la malade avertie par la direction du centre, deux individus d'un âge avancé, qui prétendirent être les frères de soeur Consuelo, arrivèrent cet après-midi-là, au moment où elle exhalait son dernier soupir.

15h17 :
- pourquoi "UN âge avancé" ?
- "prétendirent" est trop fort… on remet trop en cause leurs propos, mais c'est en tout cas dans cette direction qu'il faut chercher.

15h18 :
Florian :
Je n'ai pas d'idée pour le "une fois", qui me paraissait pas mal ; par contre, j'aurais mis "prétendant être les frères.." et, sans doute qu'on pouvait laisser "exhalait son dernier soupir".

15h18 :
- Je pense vraiment qu'on peut faire l'économie du "une fois".
- pour "prétendre" : cf Leslie.
- oui, je crois qu'il faut garder exhalait… plus dramatique, précisément parce qu'on sort de la manière classique de le dire.

15h20 :
Amélie :
Oui, pour les tirets j'ai hésité, effectivement, c'est une erreur.
C'est vrai que c'est assez lourd le participe présent.
Nouvelle proposition :

La famille de la malade avertie, deux individus d'un certain âge, qui se firent connaître comme les frères de soeur Consuelo, arrivèrent cet après-midi-là, juste au moment où elle rendait son dernier souffle.

- pour l'âge, donc, on garde "avancé".
- "se firent connaître" est une bonne idée, mais je ne crois pas qu'on rende l'idée du narrateur… N'oublie pas qu'on ne les connaît pas, précisément parce qu'il y a une coupure complète entre la novice et sa famille quand elle entre dans les ordres.
- de même, on garde définitivement "exhalait"… pour les raisons exposées.

15h22 :
Clarisse :

pour "que dijeron" ne peux t-on pas penser à "qui se présentèrent comme étant son frère et sa soeur"

15h23 :
- CS pour "son frère et sa sœur"…
- pour "se présentèrent", j'ai déjà répondu.

15h23 :
Amélie :

Dilemme...
"Exhaler son dernier souffle", 1870 occurrences sur google : ce n'est donc pas une expression totalement incongrue non plus. (Je ne sais pas si j'avais le droit d'aller chercher ce renseignement ?)
Peut-être vaut-il mieux conserver le texte original dans ce cas ?

15h24 :
Oui, et puis l'argument que j'ai donné me semble convaincant ;-)))

15:24 :
Annabelle :
On pourrait mettre "prétendirent", mais ça ajoute un sous-entendu.

15h25 :
trop fort… ça suggère qu'ils mentent, ou presque.

15h25 :
Jean-Baptiste :
J'opterais pour le français standard, "rendre son dernier soupir", qui est comme vous l'avez dit, l'expression utilisée en français.
Sinon, pour le "dijeron", je propose "affirmèrent être les frères".

15h25 :
- Je m'en tiens à l'argument que garder "exhaler" renforce le tragique de la situation.
- Oui, c'est bien "affirmèrent".

15h26 :
Vous êtes nombreux à me proposer "prétendirent"… J'ai donc répondu et je ne publie plus…

15h27 :
Leslie :
La famille de la malade avertie par la direction du centre, deux individus d'âge avancé, qui se dirent être les frères de soeur Consuelo, arrivèrent cet après-midi-là, au moment où elle exhalait son dernier soupir.

15h27 :
- on est en train de travailler sur le "dire"
- "cet après-midi-là" n'est pas vraiment adapté… Il faut montrer qu'ils arrivent tout de suite.

17h29 :
Annabelle :

La famille de la malade avertie par la direction du centre, deux individus d'âge avancé, qui se présentèrent comme des frères de sœur Consuelo, arrivèrent le soir même, juste au moment où elle exhalait son dernier soupir.

15h29 :
- "des" frères ???????
- Du coup, suivant l'idée d'Amélie, est-ce qu'on ne devrait pas faire un effort sur le "au moment où" ?

15h30 :
Amélie :
La famille de la malade avertie par la direction du centre, deux individus d'âge avancé, qui déclarèrent être les frères de soeur Consuelo, arrivèrent cet après-midi-là, juste au moment où elle exhalait son dernier soupir.

15h30 :
- "cet après-midi-là"… on peut faire mieux (cf réponse précédente à Annabelle)
- même remarque sur "moment".

15h31 :
Florian :
La famille de la malade avertie par la direction du centre, deux individus d'âge avancé, s'annonçant comme étant les frères de soeur Consuelo, arrivèrent cet après-midi-là, au moment où elle exhalait son dernier soupir.

15h31 :
- "s'annonçant"… Non, il vaut mieux la proposition de Jean-Baptiste ; on a l'idée et l'intention.
- idem pour "cet après-midi-là"
- idem pour "moment".

15h33 :
Jean-Nicolas :
Je propose: "se dirent être les frères de..." au lieu de prétendirent.

15h33 :
Non, puisque le but est précisément de contourner "dire.

15h34 :
Benoît :
Effectivement, après relecture, le "une fois" n'est pas indispensable
Je trouve le "affirmèrent" pas trop mal, dans le sens ou il est quand même assez neutre.

La famille de la malade avertie, deux individus d'âge avancé, qui affirmèrent être des frères de soeur Consuelo, arrivèrent cet après-midi-là, juste au moment où elle exhalait son dernier souffle.

15h34 :
tout à fait d'accord pour les deux arguments.
sinon :
- "des frères"… suppose qu'elle en a des tas d'autres.
- idem pour "cet après-midi-là"
- idem pour "moment"

15h35 :
Amélie :
l'après-midi même ?

15h35 :
parfait… ça, on garde…
Voyons les dernières petites choses.

15h36 :
Amélie :
Mes vieux démons reviennent :

"alors qu'elle exhalait son dernier soupir" ?

15h36 :
non, là, il faut – toujours pour renforcer le tragique de la situation – exprimer qu'ils arrivent pile quand elle passe de vie à trépas (j'aime bien cette expression, donc je l'ai casée pour le plaisir)

16h38 :
pour faciliter les choses, quand je valide une trad, je ne publie pas les autres qui me font les mêmes propositions, d'accord ?

16h39 :
Benoît :
J'ai un doute "tarde" = dans ce cas ce serait plus après-midi ou soir ??

"arrivèrent dans l'après-midi, alors qu' elle exhalait son dernier soupir."

16h39 :
Ah ce fameux "tarde"…
Voici ce que dit la Real :

(Del lat. tarde).

1. f. Tiempo que hay desde mediodía hasta anochecer.

2. f. Últimas horas del día.

3. adv. t. A hora avanzada del día o de la noche. Cenar tarde. Levantarse tarde.

4. adv. t. Fuera de tiempo, después de haber pasado el oportuno, conveniente o acostumbrado para algún fin, o en tiempo futuro relativamente lejano.

15h40 :
Clarisse :
et à la place de "frères" des "parents"??

15h40 :
Pourquoi ????????

15h41 :
Annabelle :
"à l'intant où"?

15h41 :
Exactement ! Je crois que maintenant, on a tous les morceaux… Quelqu'un s'occupe du puzzle ?

15h42 :
Leslie :
La famille de la malade avertie par la direction du centre, deux individus d'âge avancé, déclarant être les frères de soeur Consuelo, arrivèrent l'après-midi même, au moment où elle exhalait son dernier soupir.

15h42 :
- "déclarant"… non, pas de raison.

15h43 :
Amélie :
Je propose à nouveau : "juste au moment où", mais je trouve ça un peu long.

15h44 :
on a validé "juste à l'instant où".

15h44 :
Jean-Baptiste :
"à l'instant où elle exhalait son dernier soupir", peut-être est-ce un peu plus dramatique ?

15h45 ;
non, non, c'est parfait… Arrêtons maintenant avec cette phrase, qui est bonne… J'attends juste que quelqu'un me la fasse parvenir en entier et on passera à la suivante.
Justement, vous vous y collerez, vous et Jeanne.

15h46 :
Amélie :
La famille de la malade avertie par la direction du centre, deux individus d’âge avancé, qui affirmèrent être les frères de sœur Consuelo, arrivèrent l’après-midi même, à l’instant où elle exhalait son dernier souffle.

15h46 :
Rien à redire !

(merci à Clarisse et Benoît pour l'envoi de la phrase complète)

15h48 :
Jean-Baptiste :
Annabelle avait proposé "le soir-même" pour "tarde", ce qui me semble bien, car généralement lorsqu'on apprend un décès, en m'imaginant la scène, la famille arrive en début de soirée, voire fin d'après-midi, le temps de faire le trajet par exemple...

15h49 :
certes, mais là, l'argument ne vaut pas, puisqu'on ignore à quelle heure les frères arrivent…

***

Nous attendons les propositions de traduction de Jeanne et Jean-Baptiste.

Al doctor Suñé, que acudió a darles el pésame, le dijeron que habían dejado de ver a su hermana mucho tiempo atrás, cuando ella, siendo aún una niña, había abandonado la casa paterna para ingresar en el noviciado ; al entrar en religión había cortado todo vínculo con la familia, dijeron ; desde entonces sólo se habían producido entre ellos cuatro a cinco reencuentros espaciados, fugaces y siempre por motivos luctuosos.

15h53 :
Manifestement, la phrase pose des problèmes à nos deux amis… Je publie la première traduction que je reçois – mais vous ne gagnerez rien ;-)))))

15h55 :
Ah, des nouvelles de Jean-Baptiste :

Ils informèrent le Docteur Suñé, qui vint leur souhaiter ses condoléances, qu'ils ne venaient plus voir leur soeur depuis très longtemps, à l'époque où elle, étant encore enfant, avait quitté la maison paternelle pour intégrer le couvent.

15h55 :
Comme la phrase est longue, je vous propose qu'on fonctionne section par section… D'abord le début, jusqu'à la première virgule. Des commentaires sur la proposition de Jean-Baptiste ?

15h57 :
Jeanne :
Ils dirent au docteur Suñé, qui arriva pour présenter ses condoléances, qu’ils avaient cessé de voir leur sœur il y’a fort longtemps, quand elle avait abandonné la maison familiale, pour intégrer le noviciat, étant encore une enfant;

(voici la première partie de la phrase)

15h57 :
De même, nous nous intéressons exclusivement au tout début…

15h58 :
Pour l'un comme l'autre, je ne comprends pas pourquoi vous n'avez pas traduit littéralement le début…

15h59 :
dans la mesure du possible – et ça l'est ici – conservez la syntaxe de la V.O.

16h00 :
Annabelle :
Présenter ses condoléances

16h00 :
Tout à fait d'accord – une première correction indispensable… mais revenons au tout début, comme demandé.

16h01 :
nous sommes tous d'accord (Clarisse et Leslie ont réagi sur-le-champ) pour "présenter ses condoléances.

16h02 :
Benoît :
Je trouve le "informèrent" un peu bizarre,

"Ils commentèrent au docteur Suñé"

16h02 :
- un hispanisme cette utilisation de "commentèrent"… mais moi, ma question renvoie plus au fond : pourquoi ne pas traduire exactement dans l'ordre de la phrase espagnole ?

16h03 :
Amélie :
Pour Jean-Baptiste, je pense qu'il y a un CS : ce n'est pas qu'ils ne venaient plus voir leur soeur, c'est qu'ils ne la voyaient plus. Ils n'étaient jamais venu la voir, je pense.

16h04 :
on laisse ça en suspens, jusqu'à ce qu'on ait réglé la question du début…

16h05 :
Amélie :
Je dois m'en aller et c'est bien dommage!
Bonne continuation, amusez-vous bien!
J'espère que cela se renouvellera.

16h05 :
À bientôt !

16h05 :
donc, vous allez recommencer tout ça, en conservant exactement la syntaxe espagnole… Allez !

16h06 :
Leslie :
Au docteur Suñé, qui arriva pour leur présenter ses condoléances, ils dirent qu'ils n'avaient pas revu leur soeur depuis très longtemps

16h07 :
- "Au docteur Suñé", oui… on garde
- "qui arriva"… Non.
- toujours le problème de "dire". Que fait-on ici ?
- "qu'ils n'avaient pas revu leur soeur depuis très longtemps" = à peu près un CS

16h09 :
Jean-Nicolas :
Je trouve la répétition du "qui" lourde. On pourrait remplacer le premier "qui" par "lequel".

16h09 :
nous sommes en train de reprendre la phrase… et je ne doute pas que ça s'arrange, point de vue lourdeur.

16h10 :
Jeanne :
Je ne vois pas d'autres tournures pour le début...

16h10 :
La question est maintenant réglée… Le mieux est souvent de rester près de la V.O. CQFD !

16h11 :
Clarisse :
le docteur Suné, qui venait pour présenter ses condoléances, ils lui dirent que...

16h11 :
La question a été réglée depuis… mais là, dans votre phrase, attention, c'est du charabia (pb de grammaire, etc.)

16h12 :
Florian :
Ils précisèrent au docteur Suñé, qui était venu leur présenter ses condoléances, qu'ils n'avaient plus vu leur sœur depuis très longtemps, lorsqu'encore enfant, elle avait abandonné la maison paternelle pour renter au couvent; en s'adonnant à la religion, elle avait coupé tous les liens avec sa famille, rajoutèrent-ils; depuis lors, c'était seulement quatre ou cinq rencontres, éparses, brèves et toujours pour de tristes motifs, qui s'étaient organisées entre eux,

16h12 :
de bonnes idées qu'on garde en stock… car je n'en démords pas : on conserve la syntaxe de la V.O. : « Au docteur Suñé… »

16h13 :
Annabelle :
Au docteur Suñé, qui vint leur présenter ses condoléances, ils dirent qu'ils avaient cessé de voir leur sœur depuis très longtemps

16h13 :
- "qui vint"… On ne peut pas faire plus simple ?
- "dire" , toujours le même problème
- pour la suite : ok. Un petit effort quand même sur le "très" ?

16h15 :
Leslie :
Jean-Nicolas : "ils ne venaient plus" alors que le verbe espagnol est au plus-que-parfait.

16h15 :
Jean-Nicolas :
Au lieu d' "il y a fort longtemps" (proposition de Jeanne), je propose "il y a belle lurette"

16h15 :
Ah non, cela crée une grosse rupture de registre… Ce n'est pas du tout le ton du texte…

16h16 :
Florian :
Au docteur Suñé, qui était venu leur présenter ses condoléances, ils ajoutèrent qu'ils n'avaient plus vu leur sœur depuis très logntemps,

16h16 :
- "qui était venu"… même remarque que précédemment. Possibilité d'alléger.
- « Au docteur Suñé » + « ils ajoutèrent » ??????????? Pas de sens !

16h18 :
Jeanne :
Au docteur Suñé, qui arriva pour présenter ses condoléances, ils dirent qu’ils avaient cessé de voir leur sœur….

16h18 :
- "qui arriva" : idem
- "dire"

16h19 :
Jean-Baptiste :
Au Docteur Suñé, qui vint leur présenter ses condoléances, ils lui indiquèrent qu'ils ne voyaient plus leur soeur depuis très longtemps, à l'époque où elle, étant encore enfant, avait abandonné la maison familiale pour intégrer le noviciat.

16h19 :
- "qui vint"
- incorrection grave : "au docteur Suñé" + "il lui"
- "qu'ils avaient cessé de voir"… est définitif.
- un effort à faire sur le "très longtemps"
- pour le reste, on verra après.

16h20 :
Benoît :
"Ce fut au docteur Suñé, qui vint leur présenter ses condoléances, qu'ils annoncèrent ..."

Je trouve ça un peu bancal, mais je ne vois pas comment introduire la phrase autrement en gardant le même ordre.

16h20 :
non, là, on a l'impression qu'on suggère que c'est à lui et à personne d'autre… Définitivement, la phrase commence par "au docteur Suñé"

16h22 :
Leslie :
"ils déclarèrent" plutôt que "dirent"

16h22 :
je crois que c'est le verbe qu'on a utilisé dans la phrase précédente. Attention aux répétions quand il n'y en a pas en espagnol !

16h23 :
Jeanne :
Au docteur Suñé, lequel vint pour présenter ses condoléances, ils racontèrent qu’ils avaient cessé de voir leur sœur….

16h23 :
- lourd et à peu près du charabia pour "lequel"
- racontèrent… oui, mais là, il vaudrait mieux un verbe plus précis.

16h24 :
Annabelle :
Au docteur Suñé, venu leur présenter ses condoléances, ils expliquèrent qu'ils avaient cessé de voir leur sœur depuis bien longtemps

16h24 :
Parfait ! "venu" aussi bien qu''expliquer".
plus que le "bien"… On peut faire mieux.

16h25 :
Jean-Baptiste :
Je propose "fort longtemps" pour le "très".

16h26 :
exactement…

16h26 :
Benoît :
Au docteur Suñé, venu leur présenter ses condoléances, ils annoncèrent qu'ils avaient cessé de voir leur sœur depuis fort longtemps.

16h26 :
- le début : ok
- "annoncèrent"…, non ; il ne s'agit pas d'annoncer quelque chose, mais effectivement d'expliquer… pour donner à comprendre leur situation d'étrangers vis-à-vis de leur sœur.

16h27 :
Clarisse :
Au docteur Suñé, qui venait leur présenter ses condoléances, ils avouèrent qu'ils avaient cessé de voir leur sœur depuis très longtemps

16h28 :
- je ne commente pas le début, c'est réglé
- "avouèrent"… non ; ils ne sont pas en faute. Il se trouve juste que c'est la situation qui veut ça. Elle est religieuse !

16h29 :
Jean-Baptiste :
Autant pour moi, j'avais mal lu les propositions précédentes (à propos de mon dernier mail, "fort longtemps")

16h29 :
c'est à cela que sert le travail en groupe, mon cher !

16h30 :
Jean-Nicolas :
Au docteur Suñé, venu leur présenter ses condoléances, ils rendirent compte qu'ils avaient cessé de voir leur soeur depuis belle lurette.

16h30 :
- "rendirent compte" est très bizarre… Je me demande même si c'est correct ici.
- pour "belle lurette", j'ai répondu il y a longtemps. Prenez soin de recharger souvent le page pour qu'on évite de perdre du temps avec des redites ;-))))

16h32 :
Leslie :
Au docteur Suñé, venu pour présenter ses condoléances, ils déclarèrent qu'ils n'avaient pas vu leur soeur depuis bien longtemps…

16h33 :
On a déjà le morceau de phrase complète et correcte… J'attends que quelqu'un me l'envoie pour qu'on enchaîne avec la suite.

16h33 :
Florian :
Ils précisèrent au docteur Suñé, venu présenter ses condoléances, qu'ils avaient cessé de voir leur sœur depuis fort longtemps.

Sinon je ne vois vraiment pas comment faire passer le docteur Suné en tout début de phrase.

16h33 :
idem… Et attention, « venue LEUR présenter »

16h34 :
Jeanne :
Au docteur Suñé, venu pour présenter ses condoléances, ils racontèrent qu’ils avaient cessé de voir leur sœur

16h34 :
idem…

16h35 :
Leslie :
ce serait donc :
"Au docteur Suñé, venu leur présenter ses condoléances, ils expliquèrent qu'ils n'avaient pas vu leur soeur depuis fort longtemps"

16h35 :
Voilà ! Maintenant, Jeanne et Jean-Baptiste, envoyez-nous la suite… Les autres, on attend.

16h36 :
Jeanne (la suite)

lorsqu’elle, étant encore une enfant, avait abandonné la maison paternelle, pour intégrer le noviciat

16h37 :
Jean-Baptiste ? (vous l'avez déjà envoyé, mais pour plus de clarté, il vaut mieux qu'on l'ait de nouveau sous les yeux)

16h39 :
pas de nouvelles de Jean-Baptiste… Allez, on monte à l'assaut de la proposition de Jeanne. Qu'en pensez-vous ?

16h41 :
Jean-Baptiste :

A son entrée dans le milieu religieux, elle avait coupé tous les ponts avec sa famille, indiquèrent-ils ;

16h41 :
je laisse aux autres le soin de commenter la proposition de Jeanne, mais là, vous, vous avez complètement changé et du coup, fait d'énormes CS. Relisez la phrase en espagnol et reprenez-la progressivement… dans l'ordre !!!!!

16h42 :
Clarisse :
la trad de Jeanne me semble bien ; j'aurais juste changé la fin par "afin d'intégrer"

16h43 :
- vous validez le « lorsqu'elle, étant… »
- le verbe "abandonner" vous semble-t-il réellement justifié ?

16h46 :
Jean-Nicolas :
A l'époque où elle, étant encore enfant, avait abandonné la maison familiale pour intégrer le noviciat.

16h46 :
- "A l'époque où elle" ???????
Attention de ponctuer les majuscules : À l'époque
- mais pourquoi "abandonner"… Ça n'est pas une fugue ou une quelconque fuite…
- "paterna" par familiale ?

16h48 :
Leslie :
"lorsqu'elle" de Jeanne semble l'opposer à d'autres personnes et me semble inapproprié
ma proposition :
"du temps où, encore enfant, elle avait quitté la maison paternelle pour entrer au noviciat"

16h48 :
- "du temps" n'est pas terrible… mais c'est le chemin à suivre
- le reste me semble bien.

16h49 :
Annabelle :
"lorsqu'elle, qui n'était encore qu'une fillette"

16h49 :
bof, je n'aime pas cette construction abrupte du début… La solution proposée par Leslie me semble assez bonne.

16h50 :
Jean-Nicolas :
lorsqu'encore enfant

16h51 : également très abrupt

16h51 :
Jeanne :
je me critique moi-même: "entrer dans le noviciat" je ne suis pas sure que cela s'emploie

16h51 :
en effet… C'est bien l'autocritique ;-)))))

16h52 :
Benoît :
depuis qu'elle, n'étant encore qu'une enfant, avait abandonné la maison paternelle, pour intégrer le noviciat.

Je préfère le "depuis" car je trouve qu'il fait mieux le lien avec "n'avaient pas vu"
Et je mets la negation à "nétant" car ça me semble un peu plus usuel

16h52 :
- ok pour le "depuis" mais pas avec cette construction trop brutale… et qui se lit difficilement.
- "abandonné" ne pas va pas… Déjà commenté.

16h54 :
Leslie :
et pour "abandonner", elle part juste de chez elle, il me semble que "quitter suffit"

16h54 :
exactement… Du coup, je ne le commenterai plus pour les autres. On garde.

16h55 :
Jeanne :
lorsque, étant encore une enfant, elle abandonna...

16h55 :
- non, vraiment, il faut partir dans la voie ouverte par Leslie et Benoît…
- "abandonner"… déjà commenté.
- pourquoi un passé simple ????? Attention de rester bien attentive : PQP = PQP !

16h57 :
Florian :
La proposition de Jeanne est, selon moi, bonne, mais j'enlèverais le "une" devant enfant, voir même le "étant" ; et je remplacerais "noviciat" – terme que je n'avais jamais entendu jusqu'alors –, par "couvent".

Ça donnerait :
lorsqu'enfant, elle avait abandonné la maison paternelle, pour intégrer (ou "entrer au") le couvent.

16h57 :
- je ne reviens pas sur le début… car on est sur un autre piste, meilleure à mon avis – même si celle-là convient quand même.
- pour "noviciat"… l'argument qu'on ne connaît pas le mot et qu'il faut donc simplifier n'est pas recevable. D'une part parce qu'il suffit de chercher la définition, d'autre part parce qu'on appauvrie le lexique et enfin parce que ça n'est pas la même chose (cf Le Robert). Et d'ailleurs, cela signifierait que chaque traducteur devient l'aune du niveau de complexité lexicale autorisée… Allons donc !!!!

17h00 :
erreur sur l'identité de l'auteur du commentaire de 16h46… Il aura rétabli, avec mes excuses ;-)))

17h01 :
Clarisse :
étant encore une enfant, elle avait quitté la maison paternelle pour entrer au couvant

17h02 :
pour le début, non… on a dit qu'on cherchait dans la direction proposée par Leslie et Benoît. Je répète qu'il faut réactualiser souvent la page. J'avance lentement, mais on gagnerait du temps…

17h03 :
Benoît :
"depuis qu'elle avait abandonné, n'étant encore qu'une enfant, la maison paternelle, afin d' intégrer le noviciat."

17h03 :
depuis, oui, mais pas le reste, car là, on change la syntaxe !!!!!! Retournez à ce qu'avait dit Leslie…

17h04 :
Annabelle :
On a déjà mis "depuis", alors je ne vois pas.

17h04 :
Ah mais non, tout le temps n'avait pas entériné le "depuis"… Maintenant, c'est fait. Bien, mais depuis quoi ?

17h05 :
Jean-Nicolas :
Cela donne:
du temps où, encore enfant, elle avait quitté la maison paternelle pour intégrer le noviciat.

17h05 :
Oui, Leslie avait bien proposé "le temps", mais je lui avais demandé de trouver mieux… Et, en l'occurrence, ce mieux va avec le "depuis de Benoît". Une idée ?

17h06 :
Benoît :
"Depuis qu'elle avait quitté, n'étant encore qu'une enfant, la maison paternelle, afin d' intégrer le noviciat."

17h07 :
non, le texte est trop changé. La V.O. !!!!

17h07 :
Leslie :
depuis qu'elle, encore enfant, avait quitté la maison paternelle pour entrer au noviciat

17h08 :
non, car là, on retombe dans le problème du début : la fameuse construction abrupte.
Depuis + quoi ?

17h09 :
Jeanne :
"depuis qu’elle avait quitté la maison paternelle, n’étant encore qu’une enfant, pour intégrer le noviciat ;

J'ai séparé "n'étant encore qu'une enfant" de "depuis qu'elle" pour que la phrase soit moins coupée.

17h09 :
même réponse qu'à Benoît.

17h10 :
Leslie :
"depuis le temps où"?

17h10 :
non, pas "le temps"

17h11 :
Clarisse :
on a déjà mis "depuis " dans la première phrase "expliquèrent qu'ils avaient cessé de voir leur sœur depuis fort longtemps"

17h11 :
Ah oui, vous avez raison… C'est ce qu'essayais de me dire Annabelle, je le comprends maintenant.
Bon, alors partons sur : à partir de…

17h12 :
donc, j'écarte les mails de ceux qui se battent avec "depuis".

17h13 :
Leslie :
dès lors où, encore enfant, elle avait quitté la maison paternelle pour entrer au noviciat

17h13 :
réservons "dès lors" pour "dans la mesure où".

17h15 :
Jeanne :
à partir du jour où, n'étant encore qu'une enfant, elle avait quitté...

17h15 :
Voilà !!!!!!! On garde ça…
La suite…

17h16 :
Leslie :
à partir de l'instant où, encore enfant, elle avait quitté la maison paternelle pour entrer au noviciat

17h16 :
non, on fait une répétition avec l'instant où elle exhalait son dernier soupir. Moi, je ne peux pas, mais vous, il faut que vous conserviez l'ensemble de le traduction à côté pour contrôler.

17h17 :
Clarisse :
à partir du moment où??

17h17 :
oui, c'est bon aussi… mais je crois que "jour" est mieux. On peut passer à la suite.

17h19 :
Florian :
à partir de l'époque où, enfant , elle avait quitté la maison paternelle pour intégrer le noviciat

17h19 :
- "jour" me semble clairement mieux dans la mesure où cela traduit la brutalité : du jour au lendemain.
- "enfant" ; là, c'est trop court, il faut "encore", etc.

17h20 :
la suite :
al entrar en religión había cortado todo vínculo con la familia, dijeron ; desde entonces sólo se habían producido entre ellos cuatro a cinco reencuentros espaciados, fugaces y siempre por motivos luctuosos.

Je publierai la première traduction reçue ; nous travaillerons à partir de ça. Et quand cette phrase sera terminée, on fermera la boutique pour aujourd'hui ;-))))

17h22 :
Leslie :
à l'instant où elle entra en religion, elle avait coupé tout lien avec sa famille, arguèrent-ils

17h22 :
oui, on va commencer par ce petit morceau
- ah bah non, on va pas recommencer avec "à l'instant" !
- "arguèrent-ils", non… il ne s'agit pas d'une argumentation pour convaincre.

17h24 :
Jeanne :
en entrant dans la religion elle avait coupé court aux relations familiales, précisèrent-ils ;

17h24 :
- l'expression consacrée n'est pas "entrer dans la religion"
- couper court ne s'emploie pas comme ainsi.
- ce n'est pas une précision

17h25 :
Annabelle :
son entrée en religion avait coupé tout lien avec la famille, racontèrent-ils

17h25 :
- non, il est important que ce soit elle le sujet
- non, ça n'est pas un récit… Ils ont dit des choses et là, c'en est une autre.

17h26 :
Clarisse :
pour commencer son noviciat??

17h27 :
non, le verbe ne convient pas… mais concentrons-nous à présent sur la suite.

17h28 :
Clarisse :
en entrant en religion elle avait coupé tous ses liens avec sa famille, selon leurs dires

17h28 :
- le début, oui… on valide
- "selon leurs dires", non… On dirait que c'est sujet à caution, alors qu'ils décrivent une situation normale pour une jeune fille qui entre dans les ordres.

17h29 :
Jeanne :
en entrant dans la religion elle avait coupé court aux relations familiales, précisèrent-ils ;

17h29 :
- attention à la ponctuation : "en entrant en religion, …
- ça n'est pas vraiment une précision… Je me répète : ils ont dit des choses et là, c'en est une autre.
- je publie la suite quand on aura résolu la question du verbe de la fin.

17h31 :
Leslie :
en entrant en religion, elle avait coupé tout lien avec sa famille, poursuivirent-ils

17h31 :
Oui, moi, j'avais pensé à "ajouter", mais c'est bien.

17h31 :
Benoît :
Dès qu'elle était rentrée dans les ordres, elle avait coupée tout contact avec sa famille, dirent-ils.

17h32 :
on s'éloigne de la V.O. inutilement et le "dirent-ils" est dommage… De ce point de vue, la proposition de Leslie est bonne. On garde !

17h33 :
Annabelle :
à son entrée en religion, elle avait coupé tout lien avec la famille, ajoutèrent-ils

17h33 :
on dit bien "entrer en religion", mais je suis moins sûre pour "l'entrée en religion de quelqu'un"… Quoi qu'il en soit, c'est un changement, et nous n'en avons pas besoin.

17h35 :
Florian :
en s'adonnant à la religion, elle avait coupé tous les liens avec sa famille, rajoutèrent-ils

Y'a aussi "se consacrer" qui pourrait peut-etre aller à la place de "s'adonner"

17h35 :
- surtout pas "s'adonner"… Manifestement, il fait procéder à une petit vérification dans le Robert ;-))))
- "couper tout lien" est plus percutant que "couper tous les liens"
- pourquoi "rajouter", alors qu'ajouter est bien… ? J'ajoute, puis – si je mets encore de la soupe dans l'assiette – j'en rajoute. J'espère que l'exemple sera parlant.

17h37 :
Leslie :
je rectifierais mon début de proposition par "dès son entrée en religion", ce qui donnerait :
dès son entrée en religion, elle avait coupé tout lien avec sa famille

17h38 :
même réponse qu'à Annabelle, il vaut mieux : en entrant en religion… Le côté définitif est rendu par "tout lien".
On peut passer à la suite.

17h39 :
Jean-Baptiste :
A son entrée dans le milieu religieux, elle avait coupé tous les ponts avec sa famille, indiquèrent-ils

17h39 :
- accent sur les majuscule
- "milieu religieux", non… Il s'agit là de quelque chose de précis et le vocabulaire doit l'être.
- "indiquèrent-ils", oui… mais la solution "ajouter" me semble meilleure.

17h40 :
Clarisse :
dès lors seuls quatre ou cinq rencontres, espacées, rapides et toujours pour de tristes motifs, s étaient produites.
je ne suis pas du tout satisfaite de "produites" car je pense que cela ne se dit pas en français.

17h40 :
- j'ai déjà commenté "dès lors" qu'on emploie davantage pour "dans la mesure où"…
- pour le reste, gros problèmes de syntaxe.

17h42 :
Jeanne :
dès lors, seules quatre ou cinq rencontres espacées, brèves et toujours pour de tristes motifs, s’étaient produites.

17h42 :
- "dès lors"… déjà commenté
- le "s'étaient produites" doit venir avant
- "toujours pour de tristes motifs" ; à peu près du charabia

17h44 :
Je récapitule :
en entrant en religion, elle avait coupé tout lien avec sa famille, ajoutèrent-ils.

17h44 :
Florian :
dès lors, c'était seulement quatre ou cinq rencontres, éparses, brèves et toujours pour de tristes motifs, qui s'étaient organisées entre eux,

17h45 :
- "dès lors"… déjà commenté
- le reste est vraiment très lourd… Pensez à une construction évoquant la restriction.
- "motifs tristes" ; bof !

17h46 :
Leslie :
et dès lors, il ne s'était produit entre eux que quatre ou cinq retrouvailles espacées, fugaces et toujours pour des motifs tristes

17h46 :
- j'aimerais qu'on me change ce "dès lors" ;-))))
- les "retrouvailles" ne se quantifie pas ; donc, il faut garder "rencontres"…
- "motifs tristes… déjà commenté.

17h48 :
comme je vois que ça pédale alors qu'il fait que je sorte faire des courses, je vous aide :

depuis lors, ne…

ou alors :

depuis lors, il n'y…

17h50 :
Leslie :
depuis, ne s'étaient produites entre eux que quatre ou cinq retrouvailles espacées, fugaces et pour des raisons tristes

je me demande si le "toujours" porte sur l'ensemble par lequel on définit les retrouvailles ou s'il porte juste sur le fait que ce soit pour des raisons tristes.

17h50 :
- depuis lors
- retrouvailles… déjà commenté
- "pour des raisons tristes" me semble un peu enfantin. Quand j'ai dit que ça n'allait pourquoi avoir changé "motifs" et pas travaillé sur "tristes" ?

17h52 :
Annabelle :
ça fait un deuxième "depuis"

17h52 :
AAAAHHHHHH… !!!!! Heureusement qu'Annabelle est là.

17h53 :
de ce moment ?

17h54 :
Clarisse :
depuis lors il ne s'étaient produites que ...

17h54 :
- je ne reviens pas sur le "depuis lors"
- pour le reste : énorme énorme énorme faute de grammaire. Attention de bien vous relire.

17h55 :
Jeanne :
Depuis lors, ne s’étaient produites entre eux que quatre ou cinq rencontres espacées, brèves et toujours pour de tristes raisons.

17h55 :
- "depuis lors"… déjà commenté.
- "triste", non, décidément, ça ne va pas… Ça fait enfantin. « C'est triste, snif »

17h56 :
Benoît :
depuis lors, il n'y eût en eux que trois ou quatre brèves rencontres espacées et toujours pour de tristes raisons

17h56 :
- grosse faute de conjugaison.
- "tristes"… déjà commenté.

17h57 :
Annabelle :
à partir de là, il ne s'était produit entre eux que quatre ou cinq rencontres espacées, fugaces et toujours pour des motifs funèbres.

17h58 :
- Franchement, je pense, eu égard à ce qui précède, que "de ce moment" est mieux (sauf si on a encore une répétition, car j'avoue perdre un peu le fil)
- funèbre ou funeste ? C'est une vraie question.

17h59 :
Florian :
de ce moment, ne s'était organisées que quatre ou cinq rencontre éparses, brève et pour de funestes motifs.

17h59 :
grosse faute de grammaire + très lourd ; pour le reste, "funestes motifs", c'est bien, à mon avis.

18h00 :
Leslie :
de ce moment, ne s'étaient produites entre eux que quatre ou cinq rencontres espacées, fugaces et pour des motifs pénibles

18h01 :
"funèbres ou funestes" est mieux puisqu'on comprend qu'il s'agit de deuils. Je pense que là, on tient notre phrase en entier. Quelqu'un me l'envoie ?

18h01 :
Clarisse :
à la place de "triste", "affligeant"

18h02 :
bah non… parce que cet adjectif peut avoir un sens péjoratif ; il est affligeant de voir comment il se comporte quand il est au volant d'une voiture de sport ;-)))

18h03 :
Jeanne :
je n'ai pas d'idées pour "depuis lors", mais on peut mettre "sombres motifs", ou "malheureux motifs"

18h03 :
pour "depuis lors", on a réglé le problème… Concernant le reste "malheureux motifs" est très bizarre… "Sombres", oui, mais les deux autres sont plus adaptés, étant donné le contexte.

18h05 :
Benoît :
Je dois filer. Bonne soirée à tous !

18h06 :
Moi aussi, j'attends juste qu'on me fasse parvenir la phrase définitive et nous pouvons fermer les ordinateurs.

18h06 :
Leslie :
de ce moment, ne s'étaient produites entre eux que quatre ou cinq rencontres espacées, fugaces et pour des motifs funestes.

18h06 :
merci Leslie !

18h07 :
Jeanne (encore plus complète) :
Au docteur Suñé, venu leur présenter ses condoléances, ils expliquèrent qu’ils avaient cessé de voir leur sœur il y’a bien longtemps, à partir du jour où, n'étant encore qu'une enfant, elle avait quitté la maison paternelle pour intégrer le noviciat; en entrant en religion elle avait coupé tout lien avec sa famille, ajoutèrent-ils ; de ce moment, ne s’étaient produites entre eux que quatre ou cinq rencontres espacées, brèves et toujours pour de funestes motifs.

Merci Jeanne !

Allez bonsoir à tous… Vous avez été parfaits et j'espère qu'on remettra ça bientôt.
À bientôt, sous d'autres horizons.

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