vendredi 20 juillet 2012

Les Ollantay – phrase 85

Me dije primero que a lo mejor se trataba de la esposa de un homónimo, pero lo descarté de inmediato y, no por lo inverosímil de tenerlo viviendo en tan caprichosa simetría, sino porque mi apellido es único en esta ciudad, en este país, y todo el que lo posee es irremediablemente un familiar mío; que, por lo demás, no éramos tantos y creía conocer a todos gracias a las reuniones que organizaba mi padre, el mayor miembro vivo de esta familia. 

Traduction temporaire :
D’abord, je me dis qu’il s’agissait peut-être de la femme d’un homonyme. Idée que j’écartai aussitôt ; non pas qu’il soit invraisemblable qu’il vive dans une symétrie aussi capricieuse, mais parce que mon patronyme est unique dans cette ville, dans ce pays et de ce fait,  quiconque le porte m’est irrémédiablement apparenté. Et d'ailleurs, outre que nous ne sommes pas si nombreux que cela, les réunions organisées par mon père, le doyen de la famille, m'ont, je crois, permis de connaître tout le monde.

7 commentaires:

Emilie a dit…

J’imaginai d’abord qu’il s’agissait peut-être de l’épouse d’un homonyme, idée que j’écartai aussitôt, non parce qu’il était invraisemblable que celui-ci habite un appartement si capricieusement symétrique au mien, mais parce que mon nom est unique dans cette ville, dans ce pays, et que quiconque le porte m’est irrémédiablement apparenté. D’autant que nous n’étions pas si nombreux, et que j’estimais connaître tout le monde grâce aux réunions qu’organisait mon père, le plus âgé des membres de la famille encore en vie.

Justine a dit…

J'imaginai dabord qu'il s'agissait de la femme d'un homonyme, mais je balayai immédiatement cette hypothèse, non pas parce qu'il était invraisemblable que ce dernier vive dans une symétrie si capricieuse, mais parce que mon nom de famille était unique dans cette ville et tout ceux qui le portaient étaient irrémédiablement des proches ; de plus, nous n'étions pas si nombreux que ça et je croyais tous les connaître grâce aux réunions qu'organisait mon père, le doyen de la famille.

Tradabordo a dit…

1) Je pense qu'il serait bon de mettre « d'abord » devant… – étant donné que nous allons avoir une énumération dans une phrase longue, autant mettre un maximum d'odre.

2) « Je pensais » ou « je me dis » ?

3) Il faut effectivement garder le « peut-être ».

4) Je mettrais plutôt « femme ».

5) Vérifiez, mais je crois que c'est hypothèse qu'on a dans la phrase précédente… Donc oui pour « idée ». + point-virgule avant.

6) Oui pour « écarter ».

7) Pour pour « aussitôt ».

8) Pour la suite, je pense que Justine a raison de s'en tenir à du littéral… (« non pas parce qu'il était invraisemblable que ce dernier vive dans une symétrie si capricieuse »), mais voyez si vous pouvez améliorer un peu. Par exemple, n'est-il pas possible de faire sans « ce dernier » ou autres « celui-ci » ?

9) « patronyme ».

10) le verbe « es » est au présent.

11) « et que quiconque le porte m’est irrémédiablement apparenté » ; OK.

12) pas de point après…

13) oui pour « croyais »

14) « doyen » est une bonne idée…

Réglons déjà ça… ; un premier ménage qui nous permettra d'y voir plus clair.

Emilie a dit…

D’abord, je me dis qu’il s’agissait peut-être de la femme d’un homonyme ; idée que j’écartai aussitôt, non pas parce qu’il était invraisemblable qu’il vive dans une symétrie si capricieuse, mais parce que mon patronyme est unique dans cette ville, dans ce pays, et que quiconque le porte m’est irrémédiablement apparenté ; d’autant que nous n’étions pas si nombreux, et que je croyais connaître tout le monde grâce aux réunions qu’organisait mon père, le doyen de la famille.

Tradabordo a dit…

D’abord, je me dis qu’il s’agissait peut-être de la femme d’un homonyme ; idée que j’écartai aussitôt, non pas parce qu’il était invraisemblable qu’il vive dans une symétrie si capricieuse, mais parce que mon patronyme est unique dans cette ville, dans ce pays, et que quiconque le porte m’est irrémédiablement apparenté ; d’autant que nous n’étions pas si nombreux, et que je croyais connaître tout le monde grâce aux réunions qu’organisait mon père, le doyen de la famille.

Proposition de petites modifs :

D’abord, je me dis qu’il s’agissait peut-être de la femme d’un homonyme. Idée que j’écartai aussitôt ; non pas qu’il soit invraisemblable qu’il vive dans une symétrie aussi capricieuse, mais parce que mon patronyme est unique dans cette ville, dans ce pays et de ce fait, quiconque le porte m’est irrémédiablement apparenté. Et d'ailleurs, outre que nous ne sommes pas si nombreux que cela, les réunions organisées par mon père, le doyen de la famille, m'ont, je crois, permis de connaître tout le monde.

À toi de jouer.

Emilie a dit…

Les "petites modifs", comme tu dis, font beaucoup...
OK pour rester au présent à la fin, puisque ce qu'il dit est tjrs valable.

D’abord, je me dis qu’il s’agissait peut-être de la femme d’un homonyme. Idée que j’écartai aussitôt ; non pas qu’il soit invraisemblable qu’il vive dans une symétrie aussi capricieuse, mais parce que mon patronyme est unique dans cette ville, dans ce pays et de ce fait, quiconque le porte m’est irrémédiablement apparenté. Et d'ailleurs, outre que nous ne sommes pas si nombreux que cela, les réunions organisées par mon père, le doyen de la famille, m'ont, je crois, permis de connaître tout le monde.

Justine a dit…

D’abord, je me dis qu’il s’agissait peut-être de la femme d’un homonyme. Idée que j’écartai aussitôt ; non pas qu’il soit invraisemblable qu’il vive dans une symétrie aussi capricieuse, mais parce que mon patronyme est unique dans cette ville, dans ce pays et de ce fait, quiconque le porte m’est irrémédiablement apparenté. Et d'ailleurs, outre que nous ne sommes pas si nombreux que cela, les réunions organisées par mon père, le doyen de la famille, m'ont, je crois, permis de connaître tout le monde.

OK !