Él deseaba fumar, pero no se atrevía a hacerlo, no sólo por no molestar a la mujer, y especialmente a los ragazzi, sino porque al hacerlo, tendría que sacar su pitillera de oro y para hacerlo tendría que desabrochar el veston, mostrar su chaleco, en cuyos bolsillos había lápices, plumas fuente, hasta dos libretas, y una cantidad de moneda, hasta algunos chocolates, no, no quería mostrarse, también tenía deseos de leer, no un diario ni un magazine exactamente, pues no había comprado ninguno al tomar el tren, el primer tren en la estación de Berna, aunque había deseado hacerlo, pero no lo había hecho porque, por ahora, solo por ahora quizás, deseaba ignorar lo que ocurría en el mundo cercano circundante y en el lejano y ansiado mundo del África, tan atravesada por el huracán de millones de esclavos, del Asia, barridas por los vientos del desierto y el viento de las estepas, por las caravanas de camellos que ascendían todavía hacia las pirámides o se alejaban de ellas y, especialmente, por el galopar de los guerrilleros furiosos, luminosos, eternos, eternos a pesar de que cada día mordían unos cuantos, que se acercaban cada vez mas peligrosamente y triunfalmente hasta el corazón corrompido de la vieja Europa.
Traduction temporaire :
Il avait envie de fumer, seulement il n’osait pas, pour ne pas déranger la femme, et plus particulièrement les ragazzi, mais surtout parce que pour ce faire, il devrait sortir son porte-cigarettes en or, donc déboutonner son veston, montrer son gilet dans les poches duquel il y avait des crayons, des stylos plume, voire deux calepins, quantité de pièces, jusqu'à quelques chocolats. Il avait également envie de lire, pas exactement un journal ou un magazine, car il n’en avait pas acheté avant de prendre le train, le premier train dans la gare de Berne, bien qu’il ait eu envie de le faire ; il ne l’avait pas fait parce que pour le moment, peut-être seulement pour le moment, il désirait ignorer ce qu’il se passait dans le monde proche et environnant et dans le monde lointain et convoité de l’Afrique, tellement secouée par l’ouragan de millions d’esclaves, et de l’Asie, balayées par les vents du désert et le vent des steppes, par les caravanes de chameaux qui grimpaient encore vers les pyramides ou s'en éloignaient et, notamment, par le galop des guérilleros furieux, lumineux, éternels, éternels même si chaque jour quelques-uns mouraient, s’approchaient de plus en plus dangereusement et triomphalement du cœur corrompu de la vieille Europe.
Il avait envie de fumer, seulement il n’osait pas, pour ne pas déranger la femme, et plus particulièrement les ragazzi, mais surtout parce que pour ce faire, il devrait sortir son porte-cigarettes en or, donc déboutonner son veston, montrer son gilet dans les poches duquel il y avait des crayons, des stylos plume, voire deux calepins, quantité de pièces, jusqu'à quelques chocolats. Il avait également envie de lire, pas exactement un journal ou un magazine, car il n’en avait pas acheté avant de prendre le train, le premier train dans la gare de Berne, bien qu’il ait eu envie de le faire ; il ne l’avait pas fait parce que pour le moment, peut-être seulement pour le moment, il désirait ignorer ce qu’il se passait dans le monde proche et environnant et dans le monde lointain et convoité de l’Afrique, tellement secouée par l’ouragan de millions d’esclaves, et de l’Asie, balayées par les vents du désert et le vent des steppes, par les caravanes de chameaux qui grimpaient encore vers les pyramides ou s'en éloignaient et, notamment, par le galop des guérilleros furieux, lumineux, éternels, éternels même si chaque jour quelques-uns mouraient, s’approchaient de plus en plus dangereusement et triomphalement du cœur corrompu de la vieille Europe.
10 commentaires:
Il avait envie de fumer mais il n’osait pas, pour ne pas déranger la femme – et en particulier les ragazzi – mais surtout parce que pour ce faire, il devrait sortir son porte-cigarettes en or et donc déboutonner son veston, montrer son gilet dans les poches duquel il y avait des crayons, des stylos plume, même deux calepins, et beaucoup de pièces, voire quelques chocolats, non, il ne voulait pas se montrer ; il avait également envie de lire, pas exactement un journal ou un magazine, car il n’en avait pas acheté avant de prendre le train, le premier train dans la gare de Berne, bien qu’il ait eu envie de le faire, il ne l’avait pas fait parce que pour le moment, peut-être seulement pour le moment, il désirait ignorer ce qu’il se passait dans le monde proche et environnant et dans le monde lointain et convoité de l’Afrique, tellement secouée par l’ouragan de millions d’esclaves, et de l’Asie, balayées par les vents du désert et le vent des steppes, par les caravanes de chameaux qui grimpaient encore vers les pyramides ou s’éloignaient d’elles et, plus particulièrement, par le galop des guérilleros furieux, lumineux, éternels, éternels même si chaque jour quelques-uns mouraient, qui s’approchaient de plus en plus dangereusement et triomphalement du cœur corrompu de la vieille Europe.
Il y a une coquille dans la VO, ce n’est pas « cada día mordían unos cuantos » mais bien «morían unos cuantos ».
OK.
Il avait envie de fumer [virgule ? Comme tu veux] mais il [on supprime ?] n’osait pas, pour ne pas déranger la femme – [pourquoi un tiret ????] et en particulier les ragazzi
mais [encore un « mais » ? Ennuyeux] surtout parce que pour ce faire, il devrait sortir son porte-cigarettes en or [virgule ?] et donc déboutonner son veston, montrer son gilet dans les poches duquel il y avait des crayons, des stylos plume, même [bizarre] deux calepins, et [supprime ?] beaucoup [ou « quantité » ?] de pièces, voire [ou « jusqu'à » ?] quelques chocolats, [ou point-virgule ?] non, il ne voulait pas se montrer ; [ou point ?]
Il avait envie de fumer mais n’osait pas, pour ne pas déranger la femme, et en particulier les ragazzi, et surtout parce que pour ce faire, il devrait sortir son porte-cigarettes en or, et donc déboutonner son veston, montrer son gilet dans les poches duquel il y avait des crayons, des stylos plume, voire deux calepins, quantité de pièces, jusqu'à quelques chocolats ; non, il ne voulait pas se montrer. Il avait également envie de lire, pas exactement un journal ou un magazine, car il n’en avait pas acheté avant de prendre le train, le premier train dans la gare de Berne, bien qu’il ait eu envie de le faire, il ne l’avait pas fait parce que pour le moment, peut-être seulement pour le moment, il désirait ignorer ce qu’il se passait dans le monde proche et environnant et dans le monde lointain et convoité de l’Afrique, tellement secouée par l’ouragan de millions d’esclaves, et de l’Asie, balayées par les vents du désert et le vent des steppes, par les caravanes de chameaux qui grimpaient encore vers les pyramides ou s’éloignaient d’elles et, plus particulièrement, par le galop des guérilleros furieux, lumineux, éternels, éternels même si chaque jour quelques-uns mouraient, qui s’approchaient de plus en plus dangereusement et triomphalement du cœur corrompu de la vieille Europe.
Il avait envie de fumer mais n’osait pas, pour ne pas déranger la femme, et en particulier [ça ne va pas avec « en particulier »] les ragazzi, et [encore « et » ?] surtout parce que pour ce faire, il devrait sortir son porte-cigarettes en or, et [X3] donc déboutonner son veston, montrer son gilet dans les poches duquel il y avait des crayons, des stylos plume, voire deux calepins, quantité de pièces, jusqu'à quelques chocolats ;
Il avait envie de fumer, seulement il n’osait pas, pour ne pas déranger la femme, et plus particulièrement les ragazzi, mais surtout parce que pour ce faire, il devrait sortir son porte-cigarettes en or, donc déboutonner son veston, montrer son gilet dans les poches duquel il y avait des crayons, des stylos plume, voire deux calepins, quantité de pièces, jusqu'à quelques chocolats ; non, il ne voulait pas se montrer. Il avait également envie de lire, pas exactement un journal ou un magazine, car il n’en avait pas acheté avant de prendre le train, le premier train dans la gare de Berne, bien qu’il ait eu envie de le faire, il ne l’avait pas fait parce que pour le moment, peut-être seulement pour le moment, il désirait ignorer ce qu’il se passait dans le monde proche et environnant et dans le monde lointain et convoité de l’Afrique, tellement secouée par l’ouragan de millions d’esclaves, et de l’Asie, balayées par les vents du désert et le vent des steppes, par les caravanes de chameaux qui grimpaient encore vers les pyramides ou s’éloignaient d’elles et, en particulier, par le galop des guérilleros furieux, lumineux, éternels, éternels même si chaque jour quelques-uns mouraient, qui s’approchaient de plus en plus dangereusement et triomphalement du cœur corrompu de la vieille Europe.
Il avait envie de fumer, seulement il n’osait pas, pour ne pas déranger la femme, et plus particulièrement les ragazzi, mais surtout parce que pour ce faire, il devrait sortir son porte-cigarettes en or, donc déboutonner son veston, montrer son gilet dans les poches duquel il y avait des crayons, des stylos plume, voire deux calepins, quantité de pièces, jusqu'à quelques chocolats ;
OK
non, il ne voulait pas se montrer.
OK.
Il avait également envie de lire, pas exactement un journal ou un magazine, car il n’en avait pas acheté avant de prendre le train, le premier train dans la gare de Berne, bien qu’il ait eu envie de le faire, [ou « point-virgule » ?] il ne l’avait pas fait parce que pour le moment, peut-être seulement pour le moment, il désirait ignorer ce qu’il se passait dans le monde proche et environnant et dans le monde lointain et convoité de l’Afrique, tellement secouée par l’ouragan de millions d’esclaves, et de l’Asie, balayées par les vents du désert et le vent des steppes, par les caravanes de chameaux qui grimpaient encore vers les pyramides ou s’éloignaient d’elles [ou « s'en éloignaient » ?] et, en particulier, par le galop des guérilleros furieux, lumineux, éternels, éternels [virgule ?] même si chaque jour quelques-uns mouraient, qui [supprime ; on est toujours dans la suite du « même si », non ?] s’approchaient de plus en plus dangereusement et triomphalement du cœur corrompu de la vieille Europe.
Il avait envie de fumer, seulement il n’osait pas, pour ne pas déranger la femme, et plus particulièrement les ragazzi, mais surtout parce que pour ce faire, il devrait sortir son porte-cigarettes en or, donc déboutonner son veston, montrer son gilet dans les poches duquel il y avait des crayons, des stylos plume, voire deux calepins, quantité de pièces, jusqu'à quelques chocolats. Il avait également envie de lire, pas exactement un journal ou un magazine, car il n’en avait pas acheté avant de prendre le train, le premier train dans la gare de Berne, bien qu’il ait eu envie de le faire ; il ne l’avait pas fait parce que pour le moment, peut-être seulement pour le moment, il désirait ignorer ce qu’il se passait dans le monde proche et environnant et dans le monde lointain et convoité de l’Afrique, tellement secouée par l’ouragan de millions d’esclaves, et de l’Asie, balayées par les vents du désert et le vent des steppes, par les caravanes de chameaux qui grimpaient encore vers les pyramides ou s'en éloignaient et, en particulier, par le galop des guérilleros furieux, lumineux, éternels, éternels, même si chaque jour quelques-uns mouraient, s’approchaient de plus en plus dangereusement et triomphalement du cœur corrompu de la vieille Europe.
Il avait envie de fumer, seulement il n’osait pas, pour ne pas déranger la femme, et plus particulièrement les ragazzi, mais surtout parce que pour ce faire, il devrait sortir son porte-cigarettes en or, donc déboutonner son veston, montrer son gilet dans les poches duquel il y avait des crayons, des stylos plume, voire deux calepins, quantité de pièces, jusqu'à quelques chocolats. Il avait également envie de lire, pas exactement un journal ou un magazine, car il n’en avait pas acheté avant de prendre le train, le premier train dans la gare de Berne, bien qu’il ait eu envie de le faire ; il ne l’avait pas fait parce que pour le moment, peut-être seulement pour le moment, il désirait ignorer ce qu’il se passait dans le monde proche et environnant et dans le monde lointain et convoité de l’Afrique, tellement secouée par l’ouragan de millions d’esclaves, et de l’Asie, balayées par les vents du désert et le vent des steppes, par les caravanes de chameaux qui grimpaient encore vers les pyramides ou s'en éloignaient et, en particulier [tu as « particulièrement » au début], par le galop des guérilleros furieux, lumineux, éternels, éternels même si chaque jour quelques-uns mouraient, s’approchaient de plus en plus dangereusement et triomphalement du cœur corrompu de la vieille Europe.
Il avait envie de fumer, seulement il n’osait pas, pour ne pas déranger la femme, et plus particulièrement les ragazzi, mais surtout parce que pour ce faire, il devrait sortir son porte-cigarettes en or, donc déboutonner son veston, montrer son gilet dans les poches duquel il y avait des crayons, des stylos plume, voire deux calepins, quantité de pièces, jusqu'à quelques chocolats. Il avait également envie de lire, pas exactement un journal ou un magazine, car il n’en avait pas acheté avant de prendre le train, le premier train dans la gare de Berne, bien qu’il ait eu envie de le faire ; il ne l’avait pas fait parce que pour le moment, peut-être seulement pour le moment, il désirait ignorer ce qu’il se passait dans le monde proche et environnant et dans le monde lointain et convoité de l’Afrique, tellement secouée par l’ouragan de millions d’esclaves, et de l’Asie, balayées par les vents du désert et le vent des steppes, par les caravanes de chameaux qui grimpaient encore vers les pyramides ou s'en éloignaient et, notamment, par le galop des guérilleros furieux, lumineux, éternels, éternels même si chaque jour quelques-uns mouraient, s’approchaient de plus en plus dangereusement et triomphalement du cœur corrompu de la vieille Europe.
Il avait envie de fumer, seulement il n’osait pas, pour ne pas déranger la femme, et plus particulièrement les ragazzi, mais surtout parce que pour ce faire, il devrait sortir son porte-cigarettes en or, donc déboutonner son veston, montrer son gilet dans les poches duquel il y avait des crayons, des stylos plume, voire deux calepins, quantité de pièces, jusqu'à quelques chocolats. Il avait également envie de lire, pas exactement un journal ou un magazine, car il n’en avait pas acheté avant de prendre le train, le premier train dans la gare de Berne, bien qu’il ait eu envie de le faire ; il ne l’avait pas fait parce que pour le moment, peut-être seulement pour le moment, il désirait ignorer ce qu’il se passait dans le monde proche et environnant et dans le monde lointain et convoité de l’Afrique, tellement secouée par l’ouragan de millions d’esclaves, et de l’Asie, balayées par les vents du désert et le vent des steppes, par les caravanes de chameaux qui grimpaient encore vers les pyramides ou s'en éloignaient et, notamment, par le galop des guérilleros furieux, lumineux, éternels, éternels même si chaque jour quelques-uns mouraient, s’approchaient de plus en plus dangereusement et triomphalement du cœur corrompu de la vieille Europe.
OK.
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