samedi 23 mars 2013

Projet Nadia / Élise – phrases 20-21

Tal parafernalia, ahora, no es de mucho interés. Pero en esos plácidos días, para la gente que contaba entre nueve y quince años, y que se movía en La Punta —impecable balneario que prolongaba la atmósfera refinada de la belle époque—, una presencia semejante detenía la respiración.

Traduction temporaire :
Un tel attirail, aujourd'hui, c'est assez banal. Mais en ces jours paisibles, pour les gamins entre neuf et quinze ans traînant à La Punta – station balnéaire impeccable qui prolongeait l’atmosphère raffinée de la belle époque – une présence de cette nature, ça coupait le souffle.

9 commentaires:

Unknown a dit…

Aujourd'hui, un tel attirail, n'a pas beaucoup d'intérêt. Mais en ces jours placides, pour les gens d'entre neuf et quinze ans, qui allaient et venaient à La Punta —balnéaire impeccable qui prolongeait l'atmosphère raffinée de la Belle Époque—, une présence de cette nature, ça coupait le souffle.

Unknown a dit…

Avoir un tel attirail, aujourd’hui, c’est plutôt banal. Mais en ces jours paisibles, pour ceux qui avaient entre neuf et quinze ans et qui trainaient à La Punta – station balnéaire impeccable prolongeant l’atmosphère raffinée de la belle époque – une présence pareille était à couper le souffle.

Tradabordo a dit…

Pour la phrase 1, je vous propose un mélange de vos deux solution :

Un tel attirail, aujourd'hui, c'est assez banal.
OK ?

Mais en ces jours paisibles, pour ceux qui avaient [est-ce qu'on ne devrait pas synthétiser avec quelque chose comme « gamins » ?] entre neuf et quinze ans et qui trainaient [« traînant » ?] à La Punta – station balnéaire impeccable prolongeant [oui pour « qui prolongeait »] l’atmosphère raffinée de la belle époque – une présence pareille était à couper le souffle [oui pour la fin de Nadia].

Unknown a dit…

Un tel attirail, aujourd'hui, c'est assez banal. Mais en ces jours paisibles, pour les gamins d'entre neuf et quinze ans traînant à La Punta – station balnéaire impeccable qui prolongeait l’atmosphère raffinée de la belle époque – une présence de cette nature, ça coupait le souffle.

Unknown a dit…

OK ?

Tradabordo a dit…

Un tel attirail, aujourd'hui, c'est assez banal. Mais en ces jours paisibles, pour les gamins d'entre [« entre » .] neuf et quinze ans traînant à La Punta – station balnéaire impeccable qui prolongeait l’atmosphère raffinée de la belle époque – une présence de cette nature, ça coupait le souffle.

Unknown a dit…

Un tel attirail, aujourd'hui, c'est assez banal. Mais en ces jours paisibles, pour les gamins entre neuf et quinze ans traînant à La Punta – station balnéaire impeccable qui prolongeait l’atmosphère raffinée de la belle époque – une présence de cette nature, ça coupait le souffle.

Tradabordo a dit…

Un tel attirail, aujourd'hui, c'est assez banal. Mais en ces jours paisibles, pour les gamins entre neuf et quinze ans traînant à La Punta – station balnéaire impeccable qui prolongeait l’atmosphère raffinée de la belle époque – une présence de cette nature, ça coupait le souffle.

OK.

Élise ?

Unknown a dit…

OK !