jeudi 28 mars 2013

Projet Hélène / Audrey – phrase 15

el invierno la espera para irse caminando,
y la tortuga se cierra en sus ojos, y en su boca,
guardando las palabras de su lengua,
la palabra de sus patas,
las palabras verdes que vienen caminando,
las palabras de arena que vienen goteando,
sin pararse

Traduction temporaire :
l’hiver l’attend pour partir à pied,
et la tortue se ferme dans ses yeux, dans sa bouche,
gardant les mots de sa langue,
le mot de ses pattes,
les mots verts qui viennent à pied,
les mots de sable qui s’égrènent,
sans s’arrêter

11 commentaires:

Hélène a dit…

l’hiver l’attend pour s’en aller en marchant
et la tortue se ferme dans ses yeux
et dans sa bouche,
gardant les mots de sa langue,
le mot de ses pattes,
les mots verts qui marchent,
les mots en sable qui s’égrènent
sans s’arrêter,

Tradabordo a dit…

l’hiver l’attend pour s’en aller en marchant [je n'arrive pas à être satisfaite par cette fin… Je la trouve assez plate ; une autre idée ?]
et la tortue se ferme dans ses yeux
et [on supprime ?] dans sa bouche,
gardant [ou dans le sens de « ranger » ? je ne parle que de sens] les mots de sa langue,
le mot de ses pattes,
les mots verts qui marchent [pas moyen d'être plus près de la V.O. ?],
les mots en [« de » ?] sable qui s’égrènent
sans s’arrêter,

Unknown a dit…

l’hiver l’attend pour partir à pieds [un peu plat, non?]
et la tortue se ferme dans ses yeux
dans sa bouche,
gardant [je pense que c'est garder...] les mots de sa langue,
le mot de ses pattes,
les mots verts qui viennent à pieds [toujours plat, mais je pense qu'il faut garder la répétition],
les mots de sable qui s’égrènent
sans s’arrêter,

Tradabordo a dit…

l’hiver l’attend pour partir à pieds [un peu plat, non? J'AVAIS ÉGALEMENT PENSÉ À ÇA ET J'AVOUE QUE JE PRÉFÈRE… LE CAS ÉCHÉANT, VOYEZ SI VOUS AVEZ UNE AUTRE SOLUTION + « à pied » ; plutôt au singulier]
et la tortue se ferme dans ses yeux
dans sa bouche,
gardant les mots de sa langue,
le mot de ses pattes,
les mots verts qui viennent à pieds [idem],
les mots de sable qui s’égrènent
sans s’arrêter,

Hélène a dit…

l’hiver l’attend pour partir pas à pas
et la tortue se ferme dans ses yeux,
dans sa bouche,
gardant les mots de sa langue,
le mot de ses pattes,
les mots verts qui viennent pas à pas,
les mots de sable qui s’égrènent
sans s’arrêter,

Je propose une alternative qui présente l'avantage de traduire l'idée de progression présente dans le gérondif espagnol. Bon, mais ce n'est peut-être pas le mieux. A vous de me dire...

Tradabordo a dit…

l’hiver l’attend pour partir pas à pas [je préfère « à pied » ; mais bon…]
et la tortue se ferme dans ses yeux,
dans sa bouche,
gardant les mots de sa langue,
le mot de ses pattes,
les mots verts qui viennent pas à pas [idem],
les mots de sable qui s’égrènent
sans s’arrêter,

Hélène a dit…

l’hiver l’attend pour partir à pied
et la tortue se ferme dans ses yeux,
dans sa bouche,
gardant les mots de sa langue,
le mot de ses pattes,
les mots verts qui viennent à pied,
les mots de sable qui s’égrènent
sans s’arrêter,


OK pour "à pied".

Tradabordo a dit…

Attends, j'ai un doute… Est-ce qu'on n'a pas déjà commenté le « pied » de la tortue ? Auquel cas, c'est ennuyeux de faire la répétition et il vaudra encore mieux ton « en marchant du début ». Vérifie.

Hélène a dit…

On a commenté la "patte" de la tortue, pas son "pied"...

Tradabordo a dit…

Alors dans ce cas, OK.

l’hiver l’attend pour partir à pied
et la tortue se ferme dans ses yeux,
dans sa bouche,
gardant les mots de sa langue,
le mot de ses pattes,
les mots verts qui viennent à pied,
les mots de sable qui s’égrènent
sans s’arrêter,

Audrey ?

Unknown a dit…

l’hiver l’attend pour partir à pied
et la tortue se ferme dans ses yeux,
dans sa bouche,
gardant les mots de sa langue,
le mot de ses pattes,
les mots verts qui viennent à pied,
les mots de sable qui s’égrènent
sans s’arrêter,

ok