mardi 13 mai 2014

Projet Anaïs 4 – titre + phrases 1-3

Lilí Muñoz (Argentine)

Bailarina en la plaza

Mirna, la de la danza, es un torbellino de pies y una cintura que mimbrea. Un cuello de olivares que arrastra llamaradas. Sombra y sol juegan en la plaza atardecida.

Traduction temporaire :


Lilí Muñoz (Argentine)

Une ballerine sur la place

Mirna, celle qui danse, est un tourbillon de pieds et une taille qui ondule. Un cou en bois d’olivier qui fait jaillir les flammes. L’ombre et la lumière jouent sur la place au soleil couchant.

10 commentaires:

Unknown a dit…

Lilí Muñoz (Argentine)

Une ballerine sur la place

Mirna, celle qui danse, c’est un tourbillon de pieds et une taille qui ondule. Un cou qui semble fait de bois d’olivier et qui attise les passions. L’ombre et le soleil jouent sur la place en cette fin de journée.

Tradabordo a dit…

Lilí Muñoz (Argentine)

Une ballerine sur la place

Mirna, celle qui danse, c’est un tourbillon de pieds et une taille qui ondule. Un cou qui semble fait [nécessaire ?] de bois d’olivier et qui attise les passions [j'hésite… parce que là, je me demande s'il n'associe pas l'idée de bois avec celle du feu ; réfléchis-y et dis-moi]. L’ombre et le soleil jouent sur la place en cette fin de journée [sûre qu'il n'y a pas de solution pour passer par un adjectif ?].

Unknown a dit…

Lilí Muñoz (Argentine)

Une ballerine sur la place

Mirna, celle qui danse, c’est un tourbillon de pieds et une taille qui ondule. Un cou en bois d’olivier qui attise les flammes. L’ombre et la lumière jouent sur la place au soleil couchant.

Tradabordo a dit…

Lilí Muñoz (Argentine)

Une ballerine sur la place

Mirna, celle qui danse, c’[nécessaire ?]est un tourbillon de pieds et une taille qui ondule. Un cou en bois d’olivier qui attise [regarde le dico unilingue ; pas sûre que ce soit le sens ici…] les flammes. L’ombre et la lumière jouent sur la place au soleil couchant.

Unknown a dit…

Lilí Muñoz (Argentine)

Une ballerine sur la place

Mirna, celle qui danse, est un tourbillon de pieds et une taille qui ondule. Un cou en bois d’olivier qui frôle les flammes. L’ombre et la lumière jouent sur la place au soleil couchant.

Tradabordo a dit…

Lilí Muñoz (Argentine)

Une ballerine sur la place

Mirna, celle qui danse, est un tourbillon de pieds et une taille qui ondule. Un cou en bois d’olivier qui frôle [pas plutôt dans le sens qu'elle les fait naître ? J'ai un doute… Réfléchis et, le cas échéant, dis-moi si tu as besoin qu'on demande à un hispanophone] les flammes. L’ombre et la lumière jouent sur la place au soleil couchant.

Unknown a dit…

Lilí Muñoz (Argentine)

Une ballerine sur la place

Mirna, celle qui danse, est un tourbillon de pieds et une taille qui ondule. Un cou en bois d’olivier qui éveille [je ne suis pas sûre que ce soit le bon terme mais je pense aussi que c'est dans ce sens-là) les flammes. L’ombre et la lumière jouent sur la place au soleil couchant.

Tradabordo a dit…

Lilí Muñoz (Argentine)

Une ballerine sur la place

Mirna, celle qui danse, est un tourbillon de pieds et une taille qui ondule. Un cou en bois d’olivier qui éveille [je ne suis pas sûre que ce soit le bon terme mais je pense aussi que c'est dans ce sens-là // ou quelque chose comme « fait jaillir » ?) les flammes. L’ombre et la lumière jouent sur la place au soleil couchant.

Unknown a dit…

Lilí Muñoz (Argentine)

Une ballerine sur la place

Mirna, celle qui danse, est un tourbillon de pieds et une taille qui ondule. Un cou en bois d’olivier qui fait jaillir les flammes. L’ombre et la lumière jouent sur la place au soleil couchant.

Tradabordo a dit…

Lilí Muñoz (Argentine)

Une ballerine sur la place

Mirna, celle qui danse, est un tourbillon de pieds et une taille qui ondule. Un cou en bois d’olivier qui fait jaillir les flammes. L’ombre et la lumière jouent sur la place au soleil couchant.

OK.