lundi 8 septembre 2014

Projet Elena 7 – phrases 174-180

Lo vi hace poco por la calle, me contestó ella, y está exactamente igual, quizá con el pelo un poco más blanco. El que está cada vez peor es papá. Apenas puede respirar por el enfisema. Ahora tiene que dormir sentado. Y del resto, mejor ni hablar.
En las pocas veces que volví a la ciudad durante esos años no me decidí a ir hasta el club y ver. Creo que temía tanto que de verdad estuvieran iguales como que hubieran cambiado, que algo en la superficie brillante y pulida sutilmente se hubiera agrietado y ahora pudiera descubrirlo.

Traduction en cours d'élaboration dans les commentaires
Il y a peu, je l'ai vu dans la rue, me répondit-elle, et il est exactement pareil, peut-être a-t-il juste les cheveux un peu plus blancs. Celui qui va de pire en pire, par contre, c'est papa. À cause de son emphysème, il a bien du mal à respirer. Maintenant, il doit dormir assis. Quant au reste, il vaut mieux ne pas en parler.
Lors de mes rares retours, au cours de ces années, je ne me décidai pas à aller au club et à les voir. Je crois que je craignais autant qu'ils aient et n'aient pas changé, que quelque chose sur la surface brillante et polie se soit lézardé et qu'à présent, je sois en mesure de m'en apercevoir.

23 commentaires:

Elena a dit…

Il y a peu, je le croisé dans la rue, me répondit-elle, et il est exactement pareil, peut-être avec les cheveux un peu plus blancs. Celui qui va de mal en pis, c'est papa. Il arrive à peine à respirer à cause de son emphysème. Maintenant, il doit dormir assis. Du reste, il vaut mieux ne pas en parler.
Lors de mes peu nombreux retours à la ville, durant ces années, je ne me décidai pas à aller jusqu'au club et à les voir. Je crois que je craignais tout autant qu'ils soient resté les mêmes comme leur changement, que quelque chose sur la superficie brillante et polie se soit lézardé et qu'à présent je puisse le déceler.

Je sais plus où j'en suis avec les temps... :-(

Tradabordo a dit…

Il y a peu, je le croisé dans la rue [pourquoi tu changes ?], me répondit-elle, et il est exactement pareil, peut-être avec les cheveux un peu plus blancs. Celui qui va de mal en pis, c'est papa. Il arrive à peine à respirer à cause de son emphysème. Maintenant, il doit dormir assis. Du reste, il vaut mieux ne pas en parler.
Lors de mes peu nombreux retours à la ville, durant ces années, je ne me décidai pas à aller jusqu'au club et à les voir. Je crois que je craignais tout autant qu'ils soient resté les mêmes comme leur changement, que quelque chose sur la superficie brillante et polie se soit lézardé et qu'à présent je puisse le déceler.

Elena a dit…

je l'AI croisé

Elena a dit…

Il y a peu, je l'ai vu dans la rue, me répondit-elle, et il est exactement pareil, peut-être avec les cheveux un peu plus blancs. Celui qui va de mal en pis, c'est papa. Il arrive à peine à respirer à cause de son emphysème. Maintenant, il doit dormir assis. Du reste, il vaut mieux ne pas en parler.

Lors de mes peu nombreux retours à la ville, durant ces années, je ne me décidai pas à aller jusqu'au club et à les voir. Je crois que je craignais tout autant qu'ils soient resté les mêmes comme leur changement, que quelque chose sur la superficie brillante et polie se soit lézardé et qu'à présent je puisse le déceler.

Tradabordo a dit…

Il y a peu, je l'ai vu dans la rue, me répondit-elle, et il est exactement pareil, peut-être avec les cheveux un peu plus blancs [peut-être a-t-il juste… ]. Celui qui va de mal en pis [pas très naturel ; surtout entre jeunes gens], c'est papa. Il arrive à peine à respirer à cause de son emphysème [correct, mais peu naturel]. Maintenant, il doit dormir assis. Du reste [idem, peu naturel], il vaut mieux ne pas en parler.

Elena a dit…

Il y a peu, je l'ai vu dans la rue, me répondit-elle, et il est exactement pareil, peut-être a-t-il juste les cheveux un peu plus blancs. Celui qui va de pire en pire, c'est papa. Il arrive à peine à respirer à cause de son emphysème pulmonaire. Maintenant, il doit dormir assis. Quant au reste, il vaut mieux ne pas en parler.

Tradabordo a dit…

Il y a peu, je l'ai vu dans la rue, me répondit-elle, et il est exactement pareil, peut-être a-t-il juste les cheveux un peu plus blancs. Celui qui va de pire en pire, [« par contre, »] c'est papa. Il arrive à peine à respirer à cause de son emphysème pulmonaire [essaie en inversant complètement]. Maintenant, il doit dormir assis. Quant au reste, il vaut mieux ne pas en parler.

Elena a dit…

Il y a peu, je l'ai vu dans la rue, me répondit-elle, et il est exactement pareil, peut-être a-t-il juste les cheveux un peu plus blancs. Celui qui va de pire en pire, par contre, c'est papa. À cause de son emphysème pulmonaire, il arrive à peine à respirer. Maintenant, il doit dormir assis. Quant au reste, il vaut mieux ne pas en parler.

Tradabordo a dit…

Il y a peu, je l'ai vu dans la rue, me répondit-elle, et il est exactement pareil, peut-être a-t-il juste les cheveux un peu plus blancs. Celui qui va de pire en pire, par contre, c'est papa. À cause de son emphysème pulmonaire [pas redondant ? Vérifie], il arrive à peine à respirer. Maintenant, il doit dormir assis. Quant au reste, il vaut mieux ne pas en parler.

Elena a dit…

Il y a peu, je l'ai vu dans la rue, me répondit-elle, et il est exactement pareil, peut-être a-t-il juste les cheveux un peu plus blancs. Celui qui va de pire en pire, par contre, c'est papa. À cause de son emphysème, il arrive à peine à respirer. Maintenant, il doit dormir assis. Quant au reste, il vaut mieux ne pas en parler.

Tradabordo a dit…

Il y a peu, je l'ai vu dans la rue, me répondit-elle, et il est exactement pareil, peut-être a-t-il juste les cheveux un peu plus blancs. Celui qui va de pire en pire, par contre, c'est papa. À cause de son emphysème, il arrive à peine à respirer [« il a bien du mal à respirer »]. Maintenant, il doit dormir assis. Quant au reste, il vaut mieux ne pas en parler.

Elena a dit…

Il y a peu, je l'ai vu dans la rue, me répondit-elle, et il est exactement pareil, peut-être a-t-il juste les cheveux un peu plus blancs. Celui qui va de pire en pire, par contre, c'est papa. À cause de son emphysème, il a bien du mal à respirer. Maintenant, il doit dormir assis. Quant au reste, il vaut mieux ne pas en parler.

Tradabordo a dit…

Il y a peu, je l'ai vu dans la rue, me répondit-elle, et il est exactement pareil, peut-être a-t-il juste les cheveux un peu plus blancs. Celui qui va de pire en pire, par contre, c'est papa. À cause de son emphysème, il a bien du mal à respirer. Maintenant, il doit dormir assis. Quant au reste, il vaut mieux ne pas en parler.

OK.

Tradabordo a dit…

Tu peux mettre la suite… J'ai déjà collé le bout terminé.

Elena a dit…

Lors de mes peu nombreux retours à la ville, durant ces années, je ne me décidai pas à aller jusqu'au club et à les voir. Je crois que je craignais tout autant qu'ils soient resté les mêmes comme leur changement, que quelque chose sur la superficie brillante et polie se soit lézardé et qu'à présent je puisse le déceler.

Tradabordo a dit…

Lors de mes peu nombreux [il y a beaucoup plus simple] retours à la ville [pas besoin], durant [« au cours de »] ces années, je ne me décidai pas à aller jusqu'[nécessaire ?]au club et à les voir. Je crois que je craignais tout autant [la construction est assez lourde ; peut-être est-ce le « tout »… enlève-le, pour voir] qu'ils soient resté [grammaire] les mêmes comme leur changement [incorrect], que quelque chose sur la superficie brillante et polie se soit lézardé et qu'à présent je puisse le déceler.

Elena a dit…

Lors de mes rares retours, au cours de ces années, je ne me décidai pas à aller au club et à les voir. Je crois que je craignais autant qu'ils soient restés les mêmes comme leur évolution, que quelque chose sur la superficie brillante et polie se soit lézardé et qu'à présent je puisse le déceler.

Tradabordo a dit…

Lors de mes rares retours, au cours de ces années, je ne me décidai pas à aller au club et à les voir. Je crois que je craignais autant qu'ils soient restés les mêmes comme [?????] leur évolution [non, ce morceau ne va pas du tout], que quelque chose sur la superficie brillante et polie se soit lézardé et qu'à présent je puisse le déceler.

Elena a dit…

Lors de mes rares retours, au cours de ces années, je ne me décidai pas à aller au club et à les voir. Je crois que je craignais autant qu'ils soient restés les mêmes que le fait qu'ils aient changés, que quelque chose sur la superficie brillante et polie se soit lézardé et qu'à présent je puisse le déceler.

Tradabordo a dit…

Lors de mes rares retours, au cours de ces années, je ne me décidai pas à aller au club et à les voir. Je crois que je craignais autant qu'ils soient restés les mêmes que le fait qu'ils aient changés [« autant qu'ils aient et n'aient pas changé »], que quelque chose sur la superficie [non] brillante et polie se soit lézardé et qu'à présent je puisse le déceler [la fin manque légèrement de fluidité].

Elena a dit…

Lors de mes rares retours, au cours de ces années, je ne me décidai pas à aller au club et à les voir. Je crois que je craignais autant qu'ils aient et n'aient pas changé, que quelque chose sur la surface brillante et polie se soit lézardé et qu'à présent, je puisse m'en apercevoir.

Tradabordo a dit…

Lors de mes rares retours, au cours de ces années, je ne me décidai pas à aller au club et à les voir. Je crois que je craignais autant qu'ils aient et n'aient pas changé, que quelque chose sur la surface brillante et polie se soit lézardé et qu'à présent, je puisse [« sois en mesure de »] m'en apercevoir.

Elena a dit…

Lors de mes rares retours, au cours de ces années, je ne me décidai pas à aller au club et à les voir. Je crois que je craignais autant qu'ils aient et n'aient pas changé, que quelque chose sur la surface brillante et polie se soit lézardé et qu'à présent, je sois en mesure de m'en apercevoir.