lundi 29 septembre 2014

Projet Sabrina 3 – phrases 56-57

Hasta que un día el niño rompió su embeleso silencioso y dirigiéndose a su padre le preguntó por mí, quién era, de dónde provenía y por qué me encontraba sobre su mesa. Sentándolo sobre sus rodillas, aquel hombre insensible para todos se enterneció y haciendo gala de una fantasía que, como ya he dicho, yo vislumbraba enmohecida bajo el yugo de lo útil, le contó una historia que llegó a sorprenderme por su cercanía con la verdad.

Traduction temporaire :
Jusqu'à ce qu'un jour, l'intérêt silencieux du petit à mon égard soit rompu et qu'il vienne s'enquérir de moi auprès de son père : qui étais-je ? D'où venais-je ? Pourquoi me trouvais-je là, sur sa table ? En le prenant sur ses genoux, cet homme réputé insensible devint plus tendre. Et comme je l'ai déjà dit, avec une imagination que je devinais écrasée sous le poids de l'utile, il lui raconta une histoire qui réussit à me surprendre, tant elle s'approchait de la vérité.

19 commentaires:

Sabrina a dit…

Jusqu'à ce qu'un jour, le petit rompit son charme silencieux et vint s'enquérir de moi auprès de son père : qui étais-je ? D'où venais-je ? Pourquoi me trouvais-je là sur sa table? En le prenant sur ses genoux, cet homme réputé insensible se fit plus tendre. Et révélant une fantaisie, comme je l'ai déjà dit, que je pouvais deviner étouffée sous l'emprise de l'utile, il lui raconta une histoire qui réussit à me surprendre, tant elle s'approchait de la vérité.

Tradabordo a dit…

Jusqu'à ce qu'un jour, le petit rompit [?] son charme silencieux et vint s'enquérir de moi auprès de son père : qui étais-je ? D'où venais-je ? Pourquoi me trouvais-je là sur sa table? En le prenant sur ses genoux, cet homme réputé insensible se fit plus tendre. Et révélant une fantaisie, comme je l'ai déjà dit, que je pouvais deviner étouffée sous l'emprise de l'utile, il lui raconta une histoire qui réussit à me surprendre, tant elle s'approchait de la vérité.

Sabrina a dit…

Le verbe "rompre" au passé simple ne se conjugue pas ainsi? Je n'arrive même pas à voir mon erreur... :(.

Jusqu'à ce qu'un jour, le petit rompit son charme silencieux et vint s'enquérir de moi auprès de son père : qui étais-je ? D'où venais-je ? Pourquoi me trouvais-je là sur sa table? En le prenant sur ses genoux, cet homme réputé insensible se fit plus tendre. Et révélant une fantaisie, comme je l'ai déjà dit, que je pouvais deviner étouffée sous l'emprise de l'utile, il lui raconta une histoire qui réussit à me surprendre, tant elle s'approchait de la vérité.

Tradabordo a dit…

avec du subj.

Sabrina a dit…

Ouiiiiiii bien sûr, merci :)).

Jusqu'à ce qu'un jour, le petit rompît son charme silencieux et vint s'enquérir de moi auprès de son père : qui étais-je ? D'où venais-je ? Pourquoi me trouvais-je là sur sa table? En le prenant sur ses genoux, cet homme réputé insensible se fit plus tendre. Et révélant une fantaisie, comme je l'ai déjà dit, que je pouvais deviner étouffée sous l'emprise de l'utile, il lui raconta une histoire qui réussit à me surprendre, tant elle s'approchait de la vérité.

Tradabordo a dit…

Jusqu'à ce qu'un jour, le petit rompît [pas besoin d'une concordance des temps ; pas très naturel ici] son charme silencieux et vint [idem…] s'enquérir de moi auprès de son père : qui étais-je ? D'où venais-je ? Pourquoi me trouvais-je là sur sa table? En le prenant sur ses genoux, cet homme réputé insensible se fit plus tendre. Et révélant une fantaisie, comme je l'ai déjà dit, que je pouvais deviner étouffée sous l'emprise de l'utile, il lui raconta une histoire qui réussit à me surprendre, tant elle s'approchait de la vérité.

Sabrina a dit…
Ce commentaire a été supprimé par l'auteur.
Sabrina a dit…

Jusqu'à ce qu'un jour, le petit rompe son charme silencieux et vienne s'enquérir de moi auprès de son père : qui étais-je ? D'où venais-je ? Pourquoi me trouvais-je là sur sa table? En le prenant sur ses genoux, cet homme réputé insensible se fit plus tendre. Et révélant une fantaisie, comme je l'ai déjà dit, que je pouvais deviner étouffée sous l'emprise de l'utile, il lui raconta une histoire qui réussit à me surprendre, tant elle s'approchait de la vérité.

Tradabordo a dit…

Jusqu'à ce qu'un jour, le petit rompe son charme [naturel ?] silencieux et vienne s'enquérir [c'est le sens ? Vérifie dans le Robert] de moi auprès de son père : qui étais-je ? D'où venais-je ? Pourquoi me trouvais-je là sur sa table[espace]? En le prenant sur ses genoux, cet homme réputé insensible se fit [naturel ?] plus tendre. Et révélant une fantaisie, comme je l'ai déjà dit, que je pouvais deviner étouffée sous l'emprise de l'utile [très maladroit début de phrase ; reprends ça], il lui raconta une histoire qui réussit à me surprendre, tant elle s'approchait de la vérité.

Sabrina a dit…

S'enquérir de = s'informer sur, se renseigner sur ou prendre des nouvelles de. Je pense donc que ce verbe conviendrait ici, non?

Jusqu'à ce qu'un jour, le petit rompe l'intérêt silencieux qu'il me portait et vienne s'enquérir de moi auprès de son père : qui étais-je ? D'où venais-je ? Pourquoi me trouvais-je là sur sa table ? En le prenant sur ses genoux, cet homme réputé insensible devint plus tendre. Et faisant preuve d'une fantaisie que je pouvais deviner étouffée, comme je l'ai déjà dit, sous l'emprise de l'utile, il lui raconta une histoire qui réussit à me surprendre, tant elle s'approchait de la vérité.

Tradabordo a dit…

Jusqu'à ce qu'un jour, le petit rompe l'intérêt silencieux [à mon avis, tu ne devrais pas faire du petit le sujet ; essaie autrement] qu'il me portait et vienne s'enquérir de moi auprès de son père : qui étais-je ? D'où venais-je ? Pourquoi me trouvais-je là sur sa table ? En le prenant sur ses genoux, cet homme réputé insensible devint plus tendre. Et faisant preuve d'une fantaisie que je pouvais deviner étouffée, comme je l'ai déjà dit, sous l'emprise de l'utile, il lui raconta une histoire qui réussit à me surprendre, tant elle s'approchait de la vérité.

Sabrina a dit…

Jusqu'à ce qu'un jour, l'intérêt silencieux du petit à mon égard soit rompu et qu'il vienne s'enquérir de moi auprès de son père : qui étais-je ? D'où venais-je ? Pourquoi me trouvais-je là sur sa table ? En le prenant sur ses genoux, cet homme réputé insensible devint plus tendre. Et faisant preuve d'une fantaisie que je pouvais deviner étouffée, comme je l'ai déjà dit, sous l'emprise de l'utile, il lui raconta une histoire qui réussit à me surprendre, tant elle s'approchait de la vérité.

Tradabordo a dit…

Jusqu'à ce qu'un jour, l'intérêt silencieux du petit à mon égard soit rompu et qu'il vienne s'enquérir de moi auprès de son père : qui étais-je ? D'où venais-je ? Pourquoi me trouvais-je là [virgule] sur sa table ? En le prenant sur ses genoux, cet homme réputé insensible devint plus tendre. Et faisant preuve d'une fantaisie que je pouvais deviner étouffée [peu clair],


comme je l'ai déjà dit, sous l'emprise de l'utile, il lui raconta une histoire qui réussit à me surprendre, tant elle s'approchait de la vérité.

Sabrina a dit…

Jusqu'à ce qu'un jour, l'intérêt silencieux du petit à mon égard soit rompu et qu'il vienne s'enquérir de moi auprès de son père : qui étais-je ? D'où venais-je ? Pourquoi me trouvais-je là sur sa table ? En le prenant sur ses genoux, cet homme réputé insensible devint plus tendre. Et avec une fantaisie que je pouvais deviner étouffée, comme je l'ai déjà dit, sous l'emprise de l'utile, il lui raconta une histoire qui réussit à me surprendre, tant elle s'approchait de la vérité.

Tradabordo a dit…

Jusqu'à ce qu'un jour, l'intérêt silencieux du petit à mon égard soit rompu [« s'éteigne » ?] et qu'il vienne s'enquérir de moi auprès de son père : qui étais-je ? D'où venais-je ? Pourquoi me trouvais-je là [j'insiste : virgule] sur sa table ? En le prenant sur ses genoux, cet homme réputé insensible devint plus tendre. Et avec une fantaisie [pas adapté ici] que je pouvais [supprime] deviner étouffée [« réprimée »], comme je l'ai déjà dit, sous l'emprise de l'utile [charabia ;-)], il lui raconta une histoire qui réussit à me surprendre, tant elle s'approchait de la vérité.

Sabrina a dit…

J'aime bien "rompre" avec "silencieux" ;).
Excuse-moi, j'avais oublié la virgule!
J'aime bcp "réprimée", merci :). Mais je viens de penser à une autre tournure, tu me diras ce qu'en t'en penses.

Jusqu'à ce qu'un jour, l'intérêt silencieux du petit à mon égard soit rompu et qu'il vienne s'enquérir de moi auprès de son père : qui étais-je ? D'où venais-je ? Pourquoi me trouvais-je là, sur sa table ? En le prenant sur ses genoux, cet homme réputé insensible devint plus tendre. Et avec une imagination que je devinais écrasée, comme je l'ai déjà dit, sous le poids de l'utile, il lui raconta une histoire qui réussit à me surprendre, tant elle s'approchait de la vérité.

Tradabordo a dit…

Jusqu'à ce qu'un jour, l'intérêt silencieux du petit à mon égard soit rompu et qu'il vienne s'enquérir de moi auprès de son père : qui étais-je ? D'où venais-je ? Pourquoi me trouvais-je là, sur sa table ? En le prenant sur ses genoux, cet homme réputé insensible devint plus tendre. Et avec une imagination que je devinais écrasée, comme je l'ai déjà dit [ou placé tout de suite après le « et » ; essaie et dis-moi ce que tu en penses], sous le poids de l'utile, il lui raconta une histoire qui réussit à me surprendre, tant elle s'approchait de la vérité.

Sabrina a dit…

Je trouve ça très bien mais ne change-t-on pas un peu le sens de la phrase? Car en le plaçant au début, ça porte sur toute la phrase alors que peut-être est-ce seulement sur le poids de l'utile qu'elle s'était déjà exprimée...

Jusqu'à ce qu'un jour, l'intérêt silencieux du petit à mon égard soit rompu et qu'il vienne s'enquérir de moi auprès de son père : qui étais-je ? D'où venais-je ? Pourquoi me trouvais-je là, sur sa table ? En le prenant sur ses genoux, cet homme réputé insensible devint plus tendre. Et comme je l'ai déjà dit, avec une imagination que je devinais écrasée sous le poids de l'utile, il lui raconta une histoire qui réussit à me surprendre, tant elle s'approchait de la vérité.

Tradabordo a dit…

Jusqu'à ce qu'un jour, l'intérêt silencieux du petit à mon égard soit rompu et qu'il vienne s'enquérir de moi auprès de son père : qui étais-je ? D'où venais-je ? Pourquoi me trouvais-je là, sur sa table ? En le prenant sur ses genoux, cet homme réputé insensible devint plus tendre. Et comme je l'ai déjà dit, avec une imagination que je devinais écrasée sous le poids de l'utile, il lui raconta une histoire qui réussit à me surprendre, tant elle s'approchait de la vérité.

OK.