mardi 30 septembre 2014

Projet Sabrina 4 – phrases 24-26

Sus llantos en mitad de la noche, sus ojeras, los suaves ruidos de puertas que se abren y se cierran. Todas esas señales, que no fui capaz de interpretar, adquieren hoy todo su significado, como una revelación que jamás hubiese querido escuchar. La mirada de Amanda fue siempre tan triste, ¿verdad, padre?

Traduction temporaire :
Ses pleurs en plein milieu de la nuit, ses cernes, le bruit discret de portes qui s'ouvrent puis se ferment. Tous ces signes, que je ne fus pas capable d'interpréter, prennent aujourd'hui tout leur sens, comme une révélation que je n'aurais jamais voulu voir. Le regard d'Amanda a toujours été si triste, n'est-ce pas, père ?

6 commentaires:

Sabrina a dit…

Ses pleurs au milieu de la nuit, ses cernes, les bruits discrets de portes qui s'ouvrent puis se ferment. Tous ces signes, que je ne fus pas capable d'interpréter, prennent aujourd'hui tout leur sens, comme une révélation que jamais je n'avais voulu entendre. Le regard d'Amanda a toujours été si triste, n'est-ce pas, père ?

Tradabordo a dit…

Ses pleurs au [ou « en plein » / « au beau » ? Je te laisse voir ce qui est mieux] milieu de la nuit, ses cernes, les bruits discrets [ou au singulier ? J'hésite…] de portes qui s'ouvrent puis se ferment. Tous ces signes, que je ne fus pas capable d'interpréter, prennent aujourd'hui tout leur sens, comme une révélation que jamais je n'avais voulu entendre [la fin manque de naturel]. Le regard d'Amanda a toujours été si triste, n'est-ce pas, père ?

Sabrina a dit…

Ses pleurs en plein milieu de la nuit, ses cernes, le bruit discret de portes qui s'ouvrent puis se ferment. Tous ces signes, que je ne fus pas capable d'interpréter, prennent aujourd'hui tout leur sens, comme une révélation que je n'avais jamais voulu voir. Le regard d'Amanda a toujours été si triste, n'est-ce pas, père ?

Tradabordo a dit…

Ses pleurs en plein milieu de la nuit, ses cernes, le bruit discret de portes qui s'ouvrent puis se ferment. Tous ces signes, que je ne fus pas capable d'interpréter, prennent aujourd'hui tout leur sens, comme une révélation que je n'avais [temps ?] jamais voulu voir. Le regard d'Amanda a toujours été si triste, n'est-ce pas, père ?

Sabrina a dit…

J'avais aussi pensé au conditionnel passé mais j'avais préféré le PQP. Mais peut-être n'ai-je pas vraiment le choix car l'auteur a bien employé un subjonctif passé ;)!!

Ses pleurs en plein milieu de la nuit, ses cernes, le bruit discret de portes qui s'ouvrent puis se ferment. Tous ces signes, que je ne fus pas capable d'interpréter, prennent aujourd'hui tout leur sens, comme une révélation que je n'aurais jamais voulu voir. Le regard d'Amanda a toujours été si triste, n'est-ce pas, père ?

Tradabordo a dit…

Ses pleurs en plein milieu de la nuit, ses cernes, le bruit discret de portes qui s'ouvrent puis se ferment. Tous ces signes, que je ne fus pas capable d'interpréter, prennent aujourd'hui tout leur sens, comme une révélation que je n'aurais jamais voulu voir. Le regard d'Amanda a toujours été si triste, n'est-ce pas, père ?

OK.