lundi 29 septembre 2014

Projet Marine 1 – phrases 6-11

Eso me permitía hundir mis uñas. Pensaba en las uñas y en la cabeza. Las uñas bien clavadas. La cabeza bien erguida. Los talones rozaban el escalón que abandonaba el pie. Cuando estaba a unos cinco escalones, la tensión cedía, pero cuando tocaba el piso, siempre me daban unas ganas imprevistas de correr.

Traduction temporaire :
Cela me permettait de planter mes ongles. Je pensais à mes ongles et à ma tête. Mes ongles bien enfoncés. Et ma tête bien droite. Mes talons frôlaient la marche que mon pied quittait. Quand j'en étais à cinq marches, la tension se relâchait, mais quand j'atteignais l'étage, j'étais systématiquement prise d'une soudaine envie de courir.

8 commentaires:

Unknown a dit…

Cela me permettait de planter mes ongles. Je pensais à mes ongles et à ma tête. Mes ongles bien enfoncés. Et ma tête bien droite. Mes talons frôlaient la marche que mon pied évitait. Une fois qu'il était au bout de cinq marches, la tension cédait, mais quand il atteignait l'étage, ils me procuraient constamment des envies imprévues de courir.

Tradabordo a dit…

Cela me permettait de planter mes ongles. Je pensais à mes ongles et à ma tête. Mes ongles bien enfoncés. Et ma tête bien droite. Mes talons frôlaient la marche que mon pied évitait [FS / CS ?]. Une fois qu'il était au bout de [??????] cinq marches, la tension cédait, mais quand il atteignait l'étage [FS ?], ils me procuraient [CS] constamment des envies imprévues de courir.

Unknown a dit…

Cela me permettait de planter mes ongles. Je pensais à mes ongles et à ma tête. Mes ongles bien enfoncés. Et ma tête bien droite. Mes talons frôlaient la marche que mon pied abandonnait. Une fois en haut de cinq marches, la tension cédait, mais quand je touchais l'étage, des envies imprévues de courir me prenaient constamment.

Tradabordo a dit…

Cela me permettait de planter mes ongles. Je pensais à mes ongles et à ma tête. Mes ongles bien enfoncés. Et ma tête bien droite. Mes talons frôlaient la marche que mon pied abandonnait [ou « quittait » ? J'hésite]. Une fois en haut de cinq marches [ou par « Quand j'en étais à cinq marches » ? Je vous laisse regarder], la tension cédait, mais quand je touchais [mal dit] l'étage, des envies imprévues [mal dit ici] de courir me prenaient constamment [FS].

Unknown a dit…

Cela me permettait de planter mes ongles. Je pensais à mes ongles et à ma tête. Mes ongles bien enfoncés. Et ma tête bien droite. Mes talons frôlaient la marche que mon pied quittait. Quand j'en étais à cinq marches, la tension cédait, mais quand j'atteignais l'étage, j'étais toujours pris de soudaines envies de courir.

J'ai trouvé, pour la dernière phrase, que "tocar el piso" signifiait "toucher le sol" aussi. Qu'est-ce qu'il serait le mieux d'après vous?

Tradabordo a dit…

Cela me permettait de planter mes ongles. Je pensais à mes ongles et à ma tête. Mes ongles bien enfoncés. Et ma tête bien droite. Mes talons frôlaient la marche que mon pied quittait. Quand j'en étais à cinq marches, la tension cédait [ou « se relâchait » ?], mais quand j'atteignais l'étage, j'étais toujours [« systématiquement » ?] pris de soudaines envies [au singulier] de courir.

Unknown a dit…

Cela me permettait de planter mes ongles. Je pensais à mes ongles et à ma tête. Mes ongles bien enfoncés. Et ma tête bien droite. Mes talons frôlaient la marche que mon pied quittait. Quand j'en étais à cinq marches, la tension se relâchait, mais quand j'atteignais l'étage, j'étais systématiquement prise d'une soudaine envie de courir.

Tradabordo a dit…

Cela me permettait de planter mes ongles. Je pensais à mes ongles et à ma tête. Mes ongles bien enfoncés. Et ma tête bien droite. Mes talons frôlaient la marche que mon pied quittait. Quand j'en étais à cinq marches, la tension se relâchait, mais quand j'atteignais l'étage, j'étais systématiquement prise d'une soudaine envie de courir.

OK.