mercredi 28 octobre 2015

Projet Cindy 4 – phrases 18-38

No voy a luchar más, es inútil. Déjenla. Si no quiere estudiar, que no estudie. Si le gusta pasarse en la cocina, oyendo cuentos de ánimas, allá ella. Si le gustan las muñecas a los dieciséis años, que juegue». Y Brígida había conservado sus muñecas y permanecido totalmente ignorante. ¡Qué agradable es ser ignorante! ¡No saber exactamente quién fue Mozart; desconocer sus orígenes, sus influencias, las particularidades de su técnica! Dejarse solamente llevar por él de la mano, como ahora. Y Mozart la lleva, en efecto. La lleva por un puente suspendido sobre un agua cristalina que corre en un lecho de arena rosada. Ella está vestida de blanco, con un quitasol de encaje, complicado y fino como una telaraña, abierto sobre el hombro. Estás cada día más joven, Brígida. Ayer encontré a tu marido, a tu ex marido, quiero decir. Tiene todo el pelo blanco. Pero ella no contesta, no se detiene, sigue cruzando el puente que Mozart le ha tendido hacia el jardín de sus años juveniles. Altos surtidores en los que el agua canta. Sus dieciocho años, sus trenzas castañas que desatadas le llegaban hasta los tobillos, su tez dorada, sus ojos oscuros tan abiertos y como interrogantes. Una pequeña boca de labios carnosos, una sonrisa dulce y el cuerpo más liviano y gracioso del mundo. ¿En qué pensaba, sentada al borde de la fuente? En nada.

Traduction temporaire :
Je ne vais pas continuer à lutter, c'est inutile. Laissez-la ! Si elle ne veut pas étudier, qu'elle n'étudie pas. Si elle aime passer son temps dans la cuisine pour entendre des sornettes sur les esprits, tant pis pour elle. Si elle aime les poupées à seize ans, eh bien qu'elle y joue ! » Voilà comment, Brígida avait conservé ses poupées et était restée totalement ignorante. Que c'est agréable d'être ignorante ! Ne pas savoir exactement qui était Mozart ; ignorer ses origines, ses influences, les particularités de sa technique ! Juste se laisser mener par la main, comme en ce moment. Et en effet, Mozart la conduit, la mène sur un pont suspendu au-dessus d'une eau cristalline qui coule sur un lit de sable rose. Elle est vêtue de blanc, tient une ombrelle en dentelle, raffinée et aussi fine qu'une toile d'araignée, ouverte sur son épaule. Tu rajeunis de jour en jour, Brígida. Hier, j'ai rencontré ton mari, ton ex-mari, je veux dire. Il a les cheveux tout blanc. Mais, elle ne répond pas, elle ne s'arrête pas, elle continue à traverser ce pont que Mozart lui a jeté vers le jardin de ses jeunes années. De hauts jets d'eau dans lesquels l'eau chante. Ses dix-huit ans, ses tresses châtains qui, une fois défaites, lui arrivent jusqu'aux chevilles, son teint doré, ses yeux foncés, tellement ouverts et comme interrogateurs. Une petite bouche formée de lèvres charnues, un doux sourire et le corps le plus léger et gracieux du monde. À quoi pensait-elle, assise au bord de la fontaine ? À rien.

17 commentaires:

Unknown a dit…

Je ne vais pas lutter davantage, c'est inutile. Qu'on la laisse. Si elle ne veut pas étudier, qu'elle n'étudie pas. Si elle aime passer dans la cuisine, à entendre des contes d'âmes, tant pis pour elle. Si elle aime les poupées à seize ans, qu'elle y joue. » Et Brígida avait conservé ses poupées et était restée totalement ignorante. Comme c'est agréable d'être ignorante ! Ne pas savoir exactement qui fut Mozart ; ne pas connaître ses origines, ses influences, les particularités de sa technique ! Le laisser seulement porter sa main, comme en ce moment. Et Mozart la porte, en effet. Il la porte sur un pont suspendu au-dessus d'une eau cristalline qui court dans un lit de sable rose. Elle est vêtue de blanc, et tient une ombrelle en dentelle, complexe et fine comme une toile d'araignée, ouverte sur son épaule. Tu es chaque jour plus jeune, Brígida. Hier, j'ai rencontré ton mari, ton ex-mari, je veux dire. Il a les cheveux tout blanc. Mais, elle ne répond pas, elle ne s'arrête pas, elle continue à traverser ce pont que Mozart lui a tendu vers le jardin de ses jeunes années. De hauts jets d'eau grâce auxquels l'eau chante. Ses dix-huit ans, ses tresses châtaines qui, une fois détachées, lui arrivent jusqu'aux chevilles, son teint doré, ses yeux sombres, tellement ouverts et comme interrogateurs. Une petite bouche formée de lèvres charnues, un doux sourire et le corps le plus léger et gracieux du monde. À quoi pensait-elle, assise au bord de la fontaine ? À rien.

Tradabordo a dit…

Je ne vais pas lutter davantage, c'est inutile. Qu'on la laisse [ou « laissez-là » ? J'hésite]. Si elle ne veut pas étudier, qu'elle n'étudie pas. Si elle aime passer dans [naturel et clair ?] la cuisine, à entendre des contes d'âmes [?????], tant pis pour elle. Si elle aime les poupées à seize ans, [cheville : « Eh bien » ?] qu'elle y joue. » Et [« De sorte que » / « Ainsi » ou quelque chose comme ça ?] Brígida avait conservé ses poupées et était restée totalement ignorante. Comme c'est [on en a déjà un dans la première phrase ; il faut essayer de varier les constructions ; sinon, on se prépare de longues et pénibles relectures…] agréable d'être ignorante ! Ne pas savoir exactement qui fut [avec un imparfait ?] Mozart ; ne pas connaître ses origines, ses influences, les particularités de sa technique ! Le laisser seulement porter sa main [??????? Travail trop rapide ?], comme en ce moment.

Et Mozart la porte, en effet. Il la porte sur un pont suspendu au-dessus d'une eau cristalline qui court dans un lit de sable rose. Elle est vêtue de blanc, et tient une ombrelle en dentelle, complexe et fine comme une toile d'araignée, ouverte sur son épaule. Tu es chaque jour plus jeune, Brígida. Hier, j'ai rencontré ton mari, ton ex-mari, je veux dire. Il a les cheveux tout blanc. Mais, elle ne répond pas, elle ne s'arrête pas, elle continue à traverser ce pont que Mozart lui a tendu vers le jardin de ses jeunes années. De hauts jets d'eau grâce auxquels l'eau chante. Ses dix-huit ans, ses tresses châtaines qui, une fois détachées, lui arrivent jusqu'aux chevilles, son teint doré, ses yeux sombres, tellement ouverts et comme interrogateurs. Une petite bouche formée de lèvres charnues, un doux sourire et le corps le plus léger et gracieux du monde. À quoi pensait-elle, assise au bord de la fontaine ? À rien.

Unknown a dit…

Je ne vais pas lutter davantage, c'est inutile. Laissez-la. Si elle ne veut pas étudier, qu'elle n'étudie pas. Si elle aime passer dans par la cuisine, à entendre des contes sur les esprits, tant pis pour elle. Si elle aime les poupées à seize ans, eh bien qu'elle y joue. » Et de ce fait, Brígida avait conservé ses poupées et était restée totalement ignorante. Que c'est agréable d'être ignorante ! Ne pas savoir exactement qui était Mozart ; ne pas connaître ses origines, ses influences, les particularités de sa technique ! Se laisser porter par sa main, comme en ce moment.

Et Mozart la porte, en effet. Il la porte sur un pont suspendu au-dessus d'une eau cristalline qui court dans un lit de sable rose. Elle est vêtue de blanc, et tient une ombrelle en dentelle, complexe et fine comme une toile d'araignée, ouverte sur son épaule. Tu es chaque jour plus jeune, Brígida. Hier, j'ai rencontré ton mari, ton ex-mari, je veux dire. Il a les cheveux tout blanc. Mais, elle ne répond pas, elle ne s'arrête pas, elle continue à traverser ce pont que Mozart lui a tendu vers le jardin de ses jeunes années. De hauts jets d'eau grâce auxquels l'eau chante. Ses dix-huit ans, ses tresses châtaines qui, une fois détachées, lui arrivent jusqu'aux chevilles, son teint doré, ses yeux sombres, tellement ouverts et comme interrogateurs. Une petite bouche formée de lèvres charnues, un doux sourire et le corps le plus léger et gracieux du monde. À quoi pensait-elle, assise au bord de la fontaine ? À rien.

Tradabordo a dit…

No voy a luchar más, es inútil. Déjenla. Si no quiere estudiar, que no estudie. Si le gusta pasarse en la cocina, oyendo cuentos de ánimas, allá ella. Si le gustan las muñecas a los dieciséis años, que juegue». Y Brígida había conservado sus muñecas y permanecido totalmente ignorante. ¡Qué agradable es ser ignorante! ¡No saber exactamente quién fue Mozart; desconocer sus orígenes, sus influencias, las particularidades de su técnica! Dejarse solamente llevar por él de la mano, como ahora.

Je ne vais pas lutter davantage [au fait, est-ce très naturel dans ce contexte ? Attention : traduire, c'est effectivement avoir le sens, mais également le ton… a fortiori quand on parle avec le personnage], c'est inutile. Laissez-la. [point d'exclamation ?] Si elle ne veut pas étudier, qu'elle n'étudie pas. Si elle aime passer dans par [vous travaillez trop vite… Du coup, je vous laisse relire l'ensemble…] la cuisine, à entendre des contes sur les esprits, tant pis pour elle. Si elle aime les poupées à seize ans, eh bien qu'elle y joue. » Et de ce fait, Brígida avait conservé ses poupées et était restée totalement ignorante. Que c'est agréable d'être ignorante ! Ne pas savoir exactement qui était Mozart ; ne pas connaître ses origines, ses influences, les particularités de sa technique ! Se laisser porter par sa main, comme en ce moment.

Unknown a dit…

No voy a luchar más, es inútil. Déjenla. Si no quiere estudiar, que no estudie. Si le gusta pasarse en la cocina, oyendo cuentos de ánimas, allá ella. Si le gustan las muñecas a los dieciséis años, que juegue». Y Brígida había conservado sus muñecas y permanecido totalmente ignorante. ¡Qué agradable es ser ignorante! ¡No saber exactamente quién fue Mozart; desconocer sus orígenes, sus influencias, las particularidades de su técnica! Dejarse solamente llevar por él de la mano, como ahora.

Je ne vais pas continuer à lutter, c'est inutile. Laissez-la ! Si elle ne veut pas étudier, qu'elle n'étudie pas. Si elle aime aller dans la cuisine pour entendre des contes sur les esprits, tant pis pour elle. Si elle aime les poupées à seize ans, eh bien qu'elle y joue. » Et de ce fait, Brígida avait conservé ses poupées et était restée totalement ignorante. Que c'est agréable d'être ignorante ! Ne pas savoir exactement qui était Mozart ; ne pas connaître ses origines, ses influences, les particularités de sa technique ! Juste se laisser porter par sa main, comme en ce moment.

Tradabordo a dit…

No voy a luchar más, es inútil. Déjenla. Si no quiere estudiar, que no estudie. Si le gusta pasarse en la cocina, oyendo cuentos de ánimas, allá ella. Si le gustan las muñecas a los dieciséis años, que juegue». Y Brígida había conservado sus muñecas y permanecido totalmente ignorante. ¡Qué agradable es ser ignorante! ¡No saber exactamente quién fue Mozart; desconocer sus orígenes, sus influencias, las particularidades de su técnica! Dejarse solamente llevar por él de la mano, como ahora.

Je ne vais pas continuer à lutter, c'est inutile. Laissez-la ! Si elle ne veut pas étudier, qu'elle n'étudie pas. Si elle aime aller [« passer son temps » ?] dans la cuisine pour entendre des contes [pas péjoratif en V.O. ?] sur les esprits, tant pis pour elle. Si elle aime les poupées à seize ans, eh bien qu'elle y joue. [point d'exclamation] » Et de ce fait [« Voilà comment »], Brígida avait conservé ses poupées et était restée totalement ignorante. Que c'est agréable d'être ignorante ! Ne pas savoir exactement qui était Mozart ; ne pas connaître ses origines, ses influences, les particularités de sa technique ! Juste se laisser porter par sa main [pas exactement], comme en ce moment.

Unknown a dit…

No voy a luchar más, es inútil. Déjenla. Si no quiere estudiar, que no estudie. Si le gusta pasarse en la cocina, oyendo cuentos de ánimas, allá ella. Si le gustan las muñecas a los dieciséis años, que juegue». Y Brígida había conservado sus muñecas y permanecido totalmente ignorante. ¡Qué agradable es ser ignorante! ¡No saber exactamente quién fue Mozart; desconocer sus orígenes, sus influencias, las particularidades de su técnica! Dejarse solamente llevar por él de la mano, como ahora.

Je ne vais pas continuer à lutter, c'est inutile. Laissez-la ! Si elle ne veut pas étudier, qu'elle n'étudie pas. Si elle aime passer son temps dans la cuisine pour entendre des histoires sur les esprits, tant pis pour elle. Si elle aime les poupées à seize ans, eh bien qu'elle y joue ! » Voilà comment, Brígida avait conservé ses poupées et était restée totalement ignorante. Que c'est agréable d'être ignorante ! Ne pas savoir exactement qui était Mozart ; ignorer ses origines, ses influences, les particularités de sa technique ! Juste se laisser mener par sa main, comme en ce moment.

Tradabordo a dit…

No voy a luchar más, es inútil. Déjenla. Si no quiere estudiar, que no estudie. Si le gusta pasarse en la cocina, oyendo cuentos de ánimas, allá ella. Si le gustan las muñecas a los dieciséis años, que juegue». Y Brígida había conservado sus muñecas y permanecido totalmente ignorante. ¡Qué agradable es ser ignorante! ¡No saber exactamente quién fue Mozart; desconocer sus orígenes, sus influencias, las particularidades de su técnica! Dejarse solamente llevar por él de la mano, como ahora.

Je ne vais pas continuer à lutter, c'est inutile. Laissez-la ! Si elle ne veut pas étudier, qu'elle n'étudie pas. Si elle aime passer son temps dans la cuisine pour entendre des histoires [« sornettes » ?] sur les esprits, tant pis pour elle. Si elle aime les poupées à seize ans, eh bien qu'elle y joue ! » Voilà comment, Brígida avait conservé ses poupées et était restée totalement ignorante. Que c'est agréable d'être ignorante ! Ne pas savoir exactement qui était Mozart ; ignorer ses origines, ses influences, les particularités de sa technique ! Juste se laisser mener par sa [« la »] main, comme en ce moment.

Unknown a dit…

No voy a luchar más, es inútil. Déjenla. Si no quiere estudiar, que no estudie. Si le gusta pasarse en la cocina, oyendo cuentos de ánimas, allá ella. Si le gustan las muñecas a los dieciséis años, que juegue». Y Brígida había conservado sus muñecas y permanecido totalmente ignorante. ¡Qué agradable es ser ignorante! ¡No saber exactamente quién fue Mozart; desconocer sus orígenes, sus influencias, las particularidades de su técnica! Dejarse solamente llevar por él de la mano, como ahora.

Je ne vais pas continuer à lutter, c'est inutile. Laissez-la ! Si elle ne veut pas étudier, qu'elle n'étudie pas. Si elle aime passer son temps dans la cuisine pour entendre des sornettes sur les esprits, tant pis pour elle. Si elle aime les poupées à seize ans, eh bien qu'elle y joue ! » Voilà comment, Brígida avait conservé ses poupées et était restée totalement ignorante. Que c'est agréable d'être ignorante ! Ne pas savoir exactement qui était Mozart ; ignorer ses origines, ses influences, les particularités de sa technique ! Juste se laisser mener par la main, comme en ce moment.

Tradabordo a dit…

No voy a luchar más, es inútil. Déjenla. Si no quiere estudiar, que no estudie. Si le gusta pasarse en la cocina, oyendo cuentos de ánimas, allá ella. Si le gustan las muñecas a los dieciséis años, que juegue». Y Brígida había conservado sus muñecas y permanecido totalmente ignorante. ¡Qué agradable es ser ignorante! ¡No saber exactamente quién fue Mozart; desconocer sus orígenes, sus influencias, las particularidades de su técnica! Dejarse solamente llevar por él de la mano, como ahora.

Je ne vais pas continuer à lutter, c'est inutile. Laissez-la ! Si elle ne veut pas étudier, qu'elle n'étudie pas. Si elle aime passer son temps dans la cuisine pour entendre des sornettes sur les esprits, tant pis pour elle. Si elle aime les poupées à seize ans, eh bien qu'elle y joue ! » Voilà comment, Brígida avait conservé ses poupées et était restée totalement ignorante. Que c'est agréable d'être ignorante ! Ne pas savoir exactement qui était Mozart ; ignorer ses origines, ses influences, les particularités de sa technique ! Juste se laisser mener par la main, comme en ce moment.

OK.

Tradabordo a dit…

Vous pouvez mettre la suite. Pas besoin de reprendre le début, j'ai déjà collé dans le post.

Unknown a dit…

Y Mozart la lleva, en efecto. La lleva por un puente suspendido sobre un agua cristalina que corre en un lecho de arena rosada. Ella está vestida de blanco, con un quitasol de encaje, complicado y fino como una telaraña, abierto sobre el hombro. Estás cada día más joven, Brígida. Ayer encontré a tu marido, a tu ex marido, quiero decir. Tiene todo el pelo blanco. Pero ella no contesta, no se detiene, sigue cruzando el puente que Mozart le ha tendido hacia el jardín de sus años juveniles. Altos surtidores en los que el agua canta. Sus dieciocho años, sus trenzas castañas que desatadas le llegaban hasta los tobillos, su tez dorada, sus ojos oscuros tan abiertos y como interrogantes. Una pequeña boca de labios carnosos, una sonrisa dulce y el cuerpo más liviano y gracioso del mundo. ¿En qué pensaba, sentada al borde de la fuente? En nada.


Et Mozart la mène, en effet. Il la mène sur un pont suspendu au-dessus d'une eau cristalline qui court dans un lit de sable rose. Elle est vêtue de blanc, et tient une ombrelle en dentelle, complexe et fine comme une toile d'araignée, ouverte sur son épaule. Tu es chaque jour plus jeune, Brígida. Hier, j'ai rencontré ton mari, ton ex-mari, je veux dire. Il a les cheveux tout blanc. Mais, elle ne répond pas, elle ne s'arrête pas, elle continue à traverser ce pont que Mozart lui a tendu vers le jardin de ses jeunes années. De hauts jets d'eau grâce auxquels l'eau chante. Ses dix-huit ans, ses tresses châtaines qui, une fois détachées, lui arrivent jusqu'aux chevilles, son teint doré, ses yeux sombres, tellement ouverts et comme interrogateurs. Une petite bouche formée de lèvres charnues, un doux sourire et le corps le plus léger et gracieux du monde. À quoi pensait-elle, assise au bord de la fontaine ? À rien.

Tradabordo a dit…

Et Mozart la mène [« conduit » ?], en effet. Il la mène [on supprime tout ça et on relie les deux phrases avec une simple virgule ? Essayez et voyez ce que ça donne…] sur un pont suspendu au-dessus d'une eau cristalline qui court [?] dans [« sur » ?] un lit de sable rose. Elle est vêtue de blanc, et [nécessaire ?] tient une ombrelle en dentelle, complexe [adapté ici ?] et fine comme [pas plutôt « aussi » ?] une toile d'araignée, ouverte sur son épaule. Tu es chaque jour [hispanisme ?] plus jeune, Brígida. Hier, j'ai rencontré ton mari, ton ex-mari, je veux dire. Il a les cheveux tout blanc. Mais, elle ne répond pas, elle ne s'arrête pas, elle continue à traverser ce pont que Mozart lui a tendu [« jeté » ? Vérifiez] vers le jardin de ses jeunes années. De hauts jets d'eau grâce auxquels [surtraduit ? J'hésite…] l'eau chante. Ses dix-huit ans, ses tresses châtaines [?] qui, une fois détachées [on dit ça ?], lui arrivent jusqu'aux chevilles, son teint doré, ses yeux sombres [« foncés » ?], tellement ouverts et comme interrogateurs. Une petite bouche formée de lèvres charnues, un doux sourire et le corps le plus léger et gracieux du monde. À quoi pensait-elle, assise au bord de la fontaine ? À rien.

Unknown a dit…

Et en effet, Mozart la conduit, la mène sur un pont suspendu au-dessus d'une eau cristalline qui coule sur un lit de sable rose. Elle est vêtue de blanc, tient une ombrelle en dentelle, raffinée et aussi fine qu'une toile d'araignée, ouverte sur son épaule. Tu es tous les jours plus jeune, Brígida. Hier, j'ai rencontré ton mari, ton ex-mari, je veux dire. Il a les cheveux tout blanc. Mais, elle ne répond pas, elle ne s'arrête pas, elle continue à traverser ce pont que Mozart lui a jeté vers le jardin de ses jeunes années. De hauts jets d'eau dans lesquels l'eau chante. Ses dix-huit ans, ses tresses châtains qui, une fois défaites, lui arrivent jusqu'aux chevilles, son teint doré, ses yeux foncés, tellement ouverts et comme interrogateurs. Une petite bouche formée de lèvres charnues, un doux sourire et le corps le plus léger et gracieux du monde. À quoi pensait-elle, assise au bord de la fontaine ? À rien.

Tradabordo a dit…

Et en effet, Mozart la conduit, la mène sur un pont suspendu au-dessus d'une eau cristalline qui coule sur un lit de sable rose. Elle est vêtue de blanc, tient une ombrelle en dentelle, raffinée et aussi fine qu'une toile d'araignée, ouverte sur son épaule. Tu es tous les jours [hispanisme ; mal dit] plus jeune, Brígida. Hier, j'ai rencontré ton mari, ton ex-mari, je veux dire. Il a les cheveux tout blanc. Mais, elle ne répond pas, elle ne s'arrête pas, elle continue à traverser ce pont que Mozart lui a jeté vers le jardin de ses jeunes années. De hauts jets d'eau dans lesquels l'eau chante. Ses dix-huit ans, ses tresses châtains qui, une fois défaites, lui arrivent jusqu'aux chevilles, son teint doré, ses yeux foncés, tellement ouverts et comme interrogateurs. Une petite bouche formée de lèvres charnues, un doux sourire et le corps le plus léger et gracieux du monde. À quoi pensait-elle, assise au bord de la fontaine ? À rien.

Unknown a dit…

Et en effet, Mozart la conduit, la mène sur un pont suspendu au-dessus d'une eau cristalline qui coule sur un lit de sable rose. Elle est vêtue de blanc, tient une ombrelle en dentelle, raffinée et aussi fine qu'une toile d'araignée, ouverte sur son épaule. Tu rajeunis de jour en jour, Brígida. Hier, j'ai rencontré ton mari, ton ex-mari, je veux dire. Il a les cheveux tout blanc. Mais, elle ne répond pas, elle ne s'arrête pas, elle continue à traverser ce pont que Mozart lui a jeté vers le jardin de ses jeunes années. De hauts jets d'eau dans lesquels l'eau chante. Ses dix-huit ans, ses tresses châtains qui, une fois défaites, lui arrivent jusqu'aux chevilles, son teint doré, ses yeux foncés, tellement ouverts et comme interrogateurs. Une petite bouche formée de lèvres charnues, un doux sourire et le corps le plus léger et gracieux du monde. À quoi pensait-elle, assise au bord de la fontaine ? À rien.

Tradabordo a dit…

Et en effet, Mozart la conduit, la mène sur un pont suspendu au-dessus d'une eau cristalline qui coule sur un lit de sable rose. Elle est vêtue de blanc, tient une ombrelle en dentelle, raffinée et aussi fine qu'une toile d'araignée, ouverte sur son épaule. Tu rajeunis de jour en jour, Brígida. Hier, j'ai rencontré ton mari, ton ex-mari, je veux dire. Il a les cheveux tout blanc. Mais, elle ne répond pas, elle ne s'arrête pas, elle continue à traverser ce pont que Mozart lui a jeté vers le jardin de ses jeunes années. De hauts jets d'eau dans lesquels l'eau chante. Ses dix-huit ans, ses tresses châtains qui, une fois défaites, lui arrivent jusqu'aux chevilles, son teint doré, ses yeux foncés, tellement ouverts et comme interrogateurs. Une petite bouche formée de lèvres charnues, un doux sourire et le corps le plus léger et gracieux du monde. À quoi pensait-elle, assise au bord de la fontaine ? À rien.

OK.