lundi 12 octobre 2015

Projet Pablo / Chloé – phrases 67-73

IV

El traficante lucía previsiblemente abominable. Estaba sentado sobre una especie de tanque de deshechos y fumaba distraídamente algo cuya composición desconozco (afortunadamente). Tenía puesto un sobretodo tan oscuro como la noche que nos rodeaba, la cual parecía ansiosa por devorarnos. Al verme no preguntó nada, me miró con sus ojos vidriosos, inyectados en sangre, y aguardó. Le di mi nombre, el nombre falso con el cual lo había contactado a través de la grilla. Y entonces sonrió. Una sonrisa de dientes manchados y torcidos, separados entre sí por un vacío con olor a muerte.

Traduction temporaire :


IV

Le trafiquant avait une apparence abominable, comme il fallait s'y attendre. Il était assis sur une espèce de cuve de déchets et fumait distraitement quelque chose dont j'ignore la composition (heureusement). Il portait un par-dessus aussi sombre que la nuit qui nous entourait, apparemment impatiente de nous dévorer. Lorsqu'il me vit, il ne demanda rien ; il me regarda de ses yeux vitreux, injectés de sang, et attendit. Je lui dis mon nom, le faux nom avec lequel je l'avais contacté par l'intermédiaire de la grillonne. Il sourit. Un sourire avec des dents tachées et tordues, séparées entre elles par un vide à l'odeur de mort.

11 commentaires:

Mme B. a dit…

Le trafiquant avait une apparence abominable, comme il était à prévoir. Il était assis sur une espèce de citerne de déchets et fumait d'un air distrait quelque chose dont j'ignore la composition (heureusement). Il portait un par-dessus aussi sombre que la nuit qui nous entourait, laquelle semblait impatiente de nous dévorer. Lorsqu'il me vit, il ne demanda rien; il me regarda de ses yeux vitreux, injectés de sang, et attendit. Je lui dis mon nom, le faux nom avec lequel je l'avais contacté par l'intermédiaire de la grillonne. Il sourit alors. Un sourire avec des dents tachées et tordues, séparées entre elles par un vide à l'odeur de mort.

Mme B. a dit…

Je crois qu'on a sauté le III...

Tradabordo a dit…

Zut. Il n'est pas dans le post d'avant ?

Mme B. a dit…

Effectivement, la partie III a été postée le 17 Mai. Dis-moi si je reprends le III d'abord ou si poursuit le IV et on revient au III ensuite.

Tradabordo a dit…

Oui, autant reprendre le III d'abord. On se retrouvera ici quand ce sera terminé.

Mme B. a dit…

Le trafiquant avait une apparence abominable, comme il était à prévoir. Il était assis sur une espèce de citerne de déchets et fumait d'un air distrait quelque chose dont j'ignore la composition (heureusement). Il portait un par-dessus aussi sombre que la nuit qui nous entourait, laquelle semblait impatiente de nous dévorer. Lorsqu'il me vit, il ne demanda rien ; il me regarda de ses yeux vitreux, injectés de sang, et attendit. Je lui dis mon nom, le faux nom avec lequel je l'avais contacté par l'intermédiaire de la grillonne. Il sourit alors. Un sourire avec des dents tachées et tordues, séparées entre elles par un vide à l'odeur de mort.

Tradabordo a dit…

Le trafiquant avait une apparence abominable, comme il était à prévoir [naturel ?]. Il était assis sur une espèce de citerne [c'est ce qu'on dirait ?] de déchets et fumait d'un air distrait [pourquoi tu changes ?] quelque chose dont j'ignore la composition (heureusement). Il portait un par-dessus aussi sombre [« foncé » ? J'hésite… et te laisse donc trancher…] que la nuit qui nous entourait, laquelle [allège] semblait impatiente de nous dévorer. Lorsqu'il me vit, il ne demanda rien ; il me regarda de ses yeux vitreux, injectés de sang, et attendit. Je lui dis mon nom, le faux nom avec lequel je l'avais contacté par l'intermédiaire de la grillonne. Il sourit alors [naturel ?]. Un sourire avec des dents tachées et tordues, séparées entre elles par un vide à l'odeur de mort.

Mme B. a dit…

IV
Le trafiquant avait une apparence abominable, comme on pouvait s'en douter. Il était assis sur une espèce de cuve de déchets et fumait distraitement quelque chose dont j'ignore la composition (heureusement). Il portait un par-dessus aussi sombre que la nuit qui nous entourait, qui semblait [ça fait trop si on supprime "qui semblait"?] impatiente de nous dévorer. Lorsqu'il me vit, il ne demanda rien ; il me regarda de ses yeux vitreux, injectés de sang, et attendit. Je lui dis mon nom, le faux nom avec lequel je l'avais contacté par l'intermédiaire de la grillonne. Il sourit. Un sourire avec des dents tachées et tordues, séparées entre elles par un vide à l'odeur de mort.

Tradabordo a dit…

IV

Le trafiquant avait une apparence abominable, comme on pouvait s'en douter [« il fallait s'y attendre » ?]. Il était assis sur une espèce de cuve de déchets et fumait distraitement quelque chose dont j'ignore la composition (heureusement). Il portait un par-dessus aussi sombre que la nuit qui nous entourait, qui semblait [ça fait trop si on supprime "qui semblait"? // mets un adverbe en « -ment » à la place] impatiente de nous dévorer. Lorsqu'il me vit, il ne demanda rien ; il me regarda de ses yeux vitreux, injectés de sang, et attendit. Je lui dis mon nom, le faux nom avec lequel je l'avais contacté par l'intermédiaire de la grillonne. Il sourit. Un sourire avec des dents tachées et tordues, séparées entre elles par un vide à l'odeur de mort.

Mme B. a dit…

IV

Le trafiquant avait une apparence abominable, comme il fallait s'y attendre. Il était assis sur une espèce de cuve de déchets et fumait distraitement quelque chose dont j'ignore la composition (heureusement). Il portait un par-dessus aussi sombre que la nuit qui nous entourait, apparemment impatiente de nous dévorer. Lorsqu'il me vit, il ne demanda rien ; il me regarda de ses yeux vitreux, injectés de sang, et attendit. Je lui dis mon nom, le faux nom avec lequel je l'avais contacté par l'intermédiaire de la grillonne. Il sourit. Un sourire avec des dents tachées et tordues, séparées entre elles par un vide à l'odeur de mort.

Tradabordo a dit…

IV

Le trafiquant avait une apparence abominable, comme il fallait s'y attendre. Il était assis sur une espèce de cuve de déchets et fumait distraitement quelque chose dont j'ignore la composition (heureusement). Il portait un par-dessus aussi sombre que la nuit qui nous entourait, apparemment impatiente de nous dévorer. Lorsqu'il me vit, il ne demanda rien ; il me regarda de ses yeux vitreux, injectés de sang, et attendit. Je lui dis mon nom, le faux nom avec lequel je l'avais contacté par l'intermédiaire de la grillonne. Il sourit. Un sourire avec des dents tachées et tordues, séparées entre elles par un vide à l'odeur de mort.

OK.