samedi 7 novembre 2015

Projet Fanny – phrases 189-195

 Llevaba el pelo muy corto como ellos, y en la sien derecha había sido rapado para poder colocar una especie de electrodos. Sonreía a la cámara, pero con una sonrisa triste y pesimista. La sonrisa del que sabe que lo que le espera no es agradable, pero quizás precisamente por eso sí que es bienvenido. La sonrisa acabada de una persona acabada.
En la foto, a su lado, y en una silla con pinta de incómoda, estaba sentado Josef. El también miraba a la cámara y sonreía, pero el brillo en sus ojos y una pequeña curva en sus labios delataban que era una sonrisa forzada, que luchaba por mantener. Cogía la mano de Roslin entre las suyas, cubriéndola por entero con ansia, posesivo, como queriendo conservarla para siempre, que nada pudiese arrebatársela.

Traduction temporaire :
Comme eux, elle avait les cheveux très courts. On avait rasé sa tempe droite pour pouvoir y placer une sorte d'électrode. Elle souriait à l'appareil, d'un sourire triste et pessimiste. Le sourire de qui sait que ce qui l'attend n'est pas agréable, mais, justement, que ce sera positif. Le sourire éteint d'une personne éteinte. Sur la photo, Josef était assis à côté d'elle, sur une chaise qui ne semblait pas confortable. Lui aussi regardait l'appareil et souriait, mais la lueur dans ses yeux et un petit rictus sur ses lèvres trahissaient un sourire forcé, qu'il essayait de maintenir. Il tenait les mains de Roslin dans les siennes, les recouvrant entièrement, avec anxiété, possessif, comme s'il voulait les conserver pour toujours et que rien ne puisse les lui arracher.

11 commentaires:

Fanny JAY a dit…

Elle avait les cheveux très courts. On avait rasé sa tempe droite pour pouvoir y mettre une sorte d'électrodes. Elle souriait à l'appareil, mais d'un sourire triste et pessimiste. Le sourire de qui sait que ce qui l'attend n'est pas agréable, mais peut-être que c'est justement pour ça que c'est bienvenu. Le sourire éteint d'une personne éteinte. Sur la photo, Josef était assis à côté d'elle, sur une chaise qui ne semblait pas confortable. Lui aussi regardait l'appareil et souriait, mais la lueur dans ses yeux et un petit rictus sur ses lèvres trahissaient un sourire forcé, qu'il s'efforçait de maintenir. Il tenait les mains de Roslin dans les siennes, les recouvrant entièrement avec anxiété, possessif, comme s'il voulait les conserver pour toujours et que rien ne puisse les lui arracher.

Tradabordo a dit…

Elle avait les cheveux très courts [c'est quoi ce « como ellos » ?]. On avait rasé sa tempe droite pour pouvoir y mettre [« placer » ? J'hésite…] une sorte d'électrodes. Elle souriait à l'appareil, mais d'[nécessaire ? D'autant qu'il y a un « mais » juste après]un sourire triste et pessimiste. [point-virgule ? Comme vous voulez…] Le sourire de qui sait que ce qui l'attend n'est pas agréable, mais peut-être que c'est justement pour ça que c'est bienvenu [fin de la phrase lourde et peu claire…]. Le sourire éteint d'une personne éteinte. Sur la photo, Josef était assis à côté d'elle, sur une chaise qui ne semblait pas confortable. Lui aussi regardait l'appareil et souriait, mais la lueur dans ses yeux et un petit rictus sur ses lèvres trahissaient un sourire forcé, qu'il s'efforçait de maintenir [naturel ?]. Il tenait les mains de Roslin dans les siennes, les recouvrant entièrement [virgule ?] avec anxiété, possessif, comme s'il voulait les conserver pour toujours et que rien ne puisse les lui arracher.

Fanny JAY a dit…

Comme eux, elle avait les cheveux très courts. On avait rasé sa tempe droite pour pouvoir y placer une sorte d'électrodes. Elle souriait à l'appareil, d'un sourire triste et pessimiste. Le sourire de qui sait que ce qui l'attend n'est pas agréable, mais peut-être, justement, bienvenu. Le sourire éteint d'une personne éteinte. Sur la photo, Josef était assis à côté d'elle, sur une chaise qui ne semblait pas confortable. Lui aussi regardait l'appareil et souriait, mais la lueur dans ses yeux et un petit rictus sur ses lèvres trahissaient un sourire forcé, qu'il essayait de garder. Il tenait les mains de Roslin dans les siennes, les recouvrant entièrement, avec anxiété, possessif, comme s'il voulait les conserver pour toujours et que rien ne puisse les lui arracher.

Tradabordo a dit…

Comme eux, elle avait les cheveux très courts. On avait rasé sa tempe droite pour pouvoir y placer une sorte d'électrodes [pas bizarre, le singulier + pluriel ? Vérifie comment on dit…]. Elle souriait à l'appareil, d'un sourire triste et pessimiste. Le sourire de qui sait que ce qui l'attend n'est pas agréable, mais peut-être, justement, bienvenu [peu clair]. Le sourire éteint d'une personne éteinte. Sur la photo, Josef était assis à côté d'elle, sur une chaise qui ne semblait pas confortable. Lui aussi regardait l'appareil et souriait, mais la lueur dans ses yeux et un petit rictus sur ses lèvres trahissaient un sourire forcé, qu'il essayait de garder [peu clair ; j'ai dû regarder la V.O. pour comprendre]. Il tenait les mains de Roslin dans les siennes, les recouvrant entièrement, avec anxiété, possessif, comme s'il voulait les conserver pour toujours et que rien ne puisse les lui arracher.

Fanny JAY a dit…

Comme eux, elle avait les cheveux très courts. On avait rasé sa tempe droite pour pouvoir y placer une sorte d'électrode. Elle souriait à l'appareil, d'un sourire triste et pessimiste. Le sourire de qui sait que ce qui l'attend n'est pas agréable, mais peut-être que ça sera justement bienvenu. Le sourire éteint d'une personne éteinte. Sur la photo, Josef était assis à côté d'elle, sur une chaise qui ne semblait pas confortable. Lui aussi regardait l'appareil et souriait, mais la lueur dans ses yeux et un petit rictus sur ses lèvres trahissaient un sourire forcé, qu'il essayait de maintenir. Il tenait les mains de Roslin dans les siennes, les recouvrant entièrement, avec anxiété, possessif, comme s'il voulait les conserver pour toujours et que rien ne puisse les lui arracher.

Tradabordo a dit…

Comme eux, elle avait les cheveux très courts. On avait rasé sa tempe droite pour pouvoir y placer une sorte d'électrode. Elle souriait à l'appareil, d'un sourire triste et pessimiste. Le sourire de qui sait que ce qui l'attend n'est pas agréable, mais peut-être que ça sera justement bienvenu [revoir la syntaxe ; il y a mieux]. Le sourire éteint d'une personne éteinte. Sur la photo, Josef était assis à côté d'elle, sur une chaise qui ne semblait pas confortable. Lui aussi regardait l'appareil et souriait, mais la lueur dans ses yeux et un petit rictus sur ses lèvres trahissaient un sourire forcé, qu'il essayait de maintenir. Il tenait les mains de Roslin dans les siennes, les recouvrant entièrement, avec anxiété, possessif, comme s'il voulait les conserver pour toujours et que rien ne puisse les lui arracher.

Fanny JAY a dit…

Comme eux, elle avait les cheveux très courts. On avait rasé sa tempe droite pour pouvoir y placer une sorte d'électrode. Elle souriait à l'appareil, d'un sourire triste et pessimiste. Le sourire de qui sait que ce qui l'attend n'est pas agréable, mais, justement, que ce sera bienvenu. Le sourire éteint d'une personne éteinte. Sur la photo, Josef était assis à côté d'elle, sur une chaise qui ne semblait pas confortable. Lui aussi regardait l'appareil et souriait, mais la lueur dans ses yeux et un petit rictus sur ses lèvres trahissaient un sourire forcé, qu'il essayait de maintenir. Il tenait les mains de Roslin dans les siennes, les recouvrant entièrement, avec anxiété, possessif, comme s'il voulait les conserver pour toujours et que rien ne puisse les lui arracher.

Tradabordo a dit…

Comme eux, elle avait les cheveux très courts. On avait rasé sa tempe droite pour pouvoir y placer une sorte d'électrode. Elle souriait à l'appareil, d'un sourire triste et pessimiste. Le sourire de qui sait que ce qui l'attend n'est pas agréable, mais, justement, que ce sera bienvenu [« souhaitable » ?]. Le sourire éteint d'une personne éteinte. Sur la photo, Josef était assis à côté d'elle, sur une chaise qui ne semblait pas confortable. Lui aussi regardait l'appareil et souriait, mais la lueur dans ses yeux et un petit rictus sur ses lèvres trahissaient un sourire forcé, qu'il essayait de maintenir. Il tenait les mains de Roslin dans les siennes, les recouvrant entièrement, avec anxiété, possessif, comme s'il voulait les conserver pour toujours et que rien ne puisse les lui arracher.

Tradabordo a dit…

Ou « bénéfique » / « positif » ?

Fanny JAY a dit…

Comme eux, elle avait les cheveux très courts. On avait rasé sa tempe droite pour pouvoir y placer une sorte d'électrode. Elle souriait à l'appareil, d'un sourire triste et pessimiste. Le sourire de qui sait que ce qui l'attend n'est pas agréable, mais, justement, que ce sera positif. Le sourire éteint d'une personne éteinte. Sur la photo, Josef était assis à côté d'elle, sur une chaise qui ne semblait pas confortable. Lui aussi regardait l'appareil et souriait, mais la lueur dans ses yeux et un petit rictus sur ses lèvres trahissaient un sourire forcé, qu'il essayait de maintenir. Il tenait les mains de Roslin dans les siennes, les recouvrant entièrement, avec anxiété, possessif, comme s'il voulait les conserver pour toujours et que rien ne puisse les lui arracher.

Tradabordo a dit…

Comme eux, elle avait les cheveux très courts. On avait rasé sa tempe droite pour pouvoir y placer une sorte d'électrode. Elle souriait à l'appareil, d'un sourire triste et pessimiste. Le sourire de qui sait que ce qui l'attend n'est pas agréable, mais, justement, que ce sera positif. Le sourire éteint d'une personne éteinte. Sur la photo, Josef était assis à côté d'elle, sur une chaise qui ne semblait pas confortable. Lui aussi regardait l'appareil et souriait, mais la lueur dans ses yeux et un petit rictus sur ses lèvres trahissaient un sourire forcé, qu'il essayait de maintenir. Il tenait les mains de Roslin dans les siennes, les recouvrant entièrement, avec anxiété, possessif, comme s'il voulait les conserver pour toujours et que rien ne puisse les lui arracher.

OK.