lundi 16 novembre 2015

Projet Justine / Sophie – phrases 18-19

Muchas veces, una idea de ese tipo servía para crear complejas tramas y situaciones, y llenar páginas y páginas hasta completar una importante novela, o se podía resumir la idea en uno o varios relatos breves que analizaran estos hechos en circunstancias puntuales y específicas. Por ejemplo, se podría escribir toda una novela sobre un mundo carente de gravedad, donde no sólo se analizaran todas las repercusiones fisiológicas de ese mundo de vida, sino los efectos psicológicos derivados del no poder caminar o realizar deportes tradicionales, o tener un simple papel apoyado sobre la mesa sin necesidad de fijarlo a ella.

Traduction temporaire :
Très souvent, une idée de ce type était à l'origine de trames et de situations complexes ainsi que de pages et de pages noircies, jusqu'à l'achèvement d'un roman important ; cette idée pouvait aussi être résumée dans un ou plusieurs récits courts analysant ces faits dans des circonstances ponctuelles et spécifiques. Par exemple, on pourrait écrire tout un roman sur un monde sans gravité, où on n’analyserait pas seulement les répercussions physiologiques de ce mode de vie, mais également les effets psychologiques induits par l'incapacité de marcher ou de pratiquer des sports traditionnels ou par la présence d'une feuille simplement posée sur la table, où elle tiendrait toute seule.

13 commentaires:

Justine a dit…

Très souvent, une idée de ce type servait à créer des trames et des situations complexes et à noircir des pages et des pages jusqu'à achever un roman important ; cette idée pouvait aussi se résumer dans un ou plusieurs récits courts analysant ces faits dans des circonstances ponctuelles et spécifiques. Par exemple, on pourrait écrire tout un roman sur un monde en manque de gravité où on n’analyserait pas seulement les répercussions physiologiques de ce mode de vie, mais également les effets psychologiques provoqués par le fait de ne pas pouvoir marcher ou pratiquer des sports traditionnels ou le fait d’avoir juste une feuille posée sur la table sans avoir besoin de l’y fixer.

Tradabordo a dit…

Très souvent, une idée de ce type servait à créer des [« était à l'origine de »] trames et des situations complexes et à noircir [pour que ça s'adapte au changement que je t'ai demandé avant… passe par l'adjectif ici ; je te laisse manipuler l'ensemble] des pages et des pages jusqu'à achever un roman important ; cette idée pouvait aussi se résumer dans un ou plusieurs récits courts analysant ces faits dans des circonstances ponctuelles et spécifiques. Par exemple, on pourrait écrire tout un roman sur un monde en manque de gravité où on n’analyserait pas seulement les répercussions physiologiques de ce mode de vie, mais également les effets psychologiques provoqués par le fait de ne pas pouvoir marcher ou pratiquer des sports traditionnels ou le fait d’avoir juste une feuille posée sur la table sans avoir besoin de l’y fixer.

Justine a dit…

Très souvent, une idée de ce type était à l'origine de trames et de situations complexes et de pages et de pages noircies jusqu'à achever un roman important ; cette idée pouvait aussi se résumer dans un ou plusieurs récits courts analysant ces faits dans des circonstances ponctuelles et spécifiques. Par exemple, on pourrait écrire tout un roman sur un monde en manque de gravité où on n’analyserait pas seulement les répercussions physiologiques de ce mode de vie, mais également les effets psychologiques provoqués par le fait de ne pas pouvoir marcher ou pratiquer des sports traditionnels ou le fait d’avoir juste une feuille posée sur la table sans avoir besoin de l’y fixer.

Tradabordo a dit…

Très souvent, une idée de ce type était à l'origine de trames et de situations complexes et [« ainsi que » ?] de pages et de pages noircies [virgule] jusqu'à achever [avec le substantif ?] un roman important ; cette idée pouvait aussi se résumer [« être résumée » ?] dans un ou plusieurs récits courts analysant ces faits dans des circonstances ponctuelles et spécifiques. Par exemple, on pourrait écrire tout un roman sur un monde en manque de [« sans » ?] gravité [virgule] où on n’analyserait pas seulement les répercussions physiologiques de ce mode de vie, mais également les effets psychologiques provoqués par le fait de ne pas pouvoir marcher ou pratiquer des sports traditionnels ou le fait d’avoir juste une feuille posée sur la table sans avoir besoin de l’y fixer [petit manque de naturel dans cette phrase longue… Vois si tu ne peux pas arranger ça].

Justine a dit…

Très souvent, une idée de ce type était à l'origine de trames et de situations complexes ainsi que de pages et de pages noircies, jusqu'à l'achèvement d'un roman important ; cette idée pouvait aussi être résumée dans un ou plusieurs récits courts analysant ces faits dans des circonstances ponctuelles et spécifiques. Par exemple, on pourrait écrire tout un roman sur un monde sans gravité, où on n’analyserait pas seulement les répercussions physiologiques de ce mode de vie, mais également les effets psychologiques induits par l'incapacité de marcher ou de pratiquer des sports traditionnels ou par la présence d'une feuille simplement posée sur la table, sans qu'on ait besoin de l'y accrocher.

Tradabordo a dit…

Très souvent, une idée de ce type était à l'origine de trames et de situations complexes ainsi que de pages et de pages noircies, jusqu'à l'achèvement d'un roman important ; cette idée pouvait aussi être résumée dans un ou plusieurs récits courts analysant ces faits dans des circonstances ponctuelles et spécifiques. Par exemple, on pourrait écrire tout un roman sur un monde sans gravité, où on n’analyserait pas seulement les répercussions physiologiques de ce mode de vie, mais également les effets psychologiques induits par l'incapacité de marcher ou de pratiquer des sports traditionnels ou par la présence d'une feuille simplement posée sur la table, sans qu'on ait besoin de l'y accrocher [CS].

Justine a dit…

Si on imagine un monde sans gravité, est-ce qu'on peut parler d'apesanteur ou on s'éloigne trop de la V.O ?

Très souvent, une idée de ce type était à l'origine de trames et de situations complexes ainsi que de pages et de pages noircies, jusqu'à l'achèvement d'un roman important ; cette idée pouvait aussi être résumée dans un ou plusieurs récits courts analysant ces faits dans des circonstances ponctuelles et spécifiques. Par exemple, on pourrait écrire tout un roman sur un monde sans gravité, où on n’analyserait pas seulement les répercussions physiologiques de ce mode de vie, mais également les effets psychologiques induits par l'incapacité de marcher ou de pratiquer des sports traditionnels ou par la présence d'une feuille simplement posée sur la table, en apesanteur.

Tradabordo a dit…

Très souvent, une idée de ce type était à l'origine de trames et de situations complexes ainsi que de pages et de pages noircies, jusqu'à l'achèvement d'un roman important ; cette idée pouvait aussi être résumée dans un ou plusieurs récits courts analysant ces faits dans des circonstances ponctuelles et spécifiques. Par exemple, on pourrait écrire tout un roman sur un monde sans gravité, où on n’analyserait pas seulement les répercussions physiologiques de ce mode de vie, mais également les effets psychologiques induits par l'incapacité de marcher ou de pratiquer des sports traditionnels ou par la présence d'une feuille simplement posée sur la table, en apesanteur.

Demande quand même son avis à Elena.

Justine a dit…

Selon Elena, que je remercie, l'idée est bien « l'apesanteur », mais l'auteur ne le dit pas.

Je propose donc :

Très souvent, une idée de ce type était à l'origine de trames et de situations complexes ainsi que de pages et de pages noircies, jusqu'à l'achèvement d'un roman important ; cette idée pouvait aussi être résumée dans un ou plusieurs récits courts analysant ces faits dans des circonstances ponctuelles et spécifiques. Par exemple, on pourrait écrire tout un roman sur un monde sans gravité, où on n’analyserait pas seulement les répercussions physiologiques de ce mode de vie, mais également les effets psychologiques induits par l'incapacité de marcher ou de pratiquer des sports traditionnels ou par la présence d'une feuille simplement posée sur la table, où elle tient toute seule.

Justine a dit…

Selon Elena, que je remercie, l'idée est bien « l'apesanteur », mais l'auteur ne le dit pas.

Je propose donc :

Très souvent, une idée de ce type était à l'origine de trames et de situations complexes ainsi que de pages et de pages noircies, jusqu'à l'achèvement d'un roman important ; cette idée pouvait aussi être résumée dans un ou plusieurs récits courts analysant ces faits dans des circonstances ponctuelles et spécifiques. Par exemple, on pourrait écrire tout un roman sur un monde sans gravité, où on n’analyserait pas seulement les répercussions physiologiques de ce mode de vie, mais également les effets psychologiques induits par l'incapacité de marcher ou de pratiquer des sports traditionnels ou par la présence d'une feuille simplement posée sur la table, où elle tient toute seule.

Tradabordo a dit…

Très souvent, une idée de ce type était à l'origine de trames et de situations complexes ainsi que de pages et de pages noircies, jusqu'à l'achèvement d'un roman important ; cette idée pouvait aussi être résumée dans un ou plusieurs récits courts analysant ces faits dans des circonstances ponctuelles et spécifiques. Par exemple, on pourrait écrire tout un roman sur un monde sans gravité, où on n’analyserait pas seulement les répercussions physiologiques de ce mode de vie, mais également les effets psychologiques induits par l'incapacité de marcher ou de pratiquer des sports traditionnels ou par la présence d'une feuille simplement posée sur la table, où elle tient [« tiendrait » ? J'hésite…] toute seule.

Justine a dit…

Très souvent, une idée de ce type était à l'origine de trames et de situations complexes ainsi que de pages et de pages noircies, jusqu'à l'achèvement d'un roman important ; cette idée pouvait aussi être résumée dans un ou plusieurs récits courts analysant ces faits dans des circonstances ponctuelles et spécifiques. Par exemple, on pourrait écrire tout un roman sur un monde sans gravité, où on n’analyserait pas seulement les répercussions physiologiques de ce mode de vie, mais également les effets psychologiques induits par l'incapacité de marcher ou de pratiquer des sports traditionnels ou par la présence d'une feuille simplement posée sur la table, où elle tiendrait toute seule.

Tradabordo a dit…

Très souvent, une idée de ce type était à l'origine de trames et de situations complexes ainsi que de pages et de pages noircies, jusqu'à l'achèvement d'un roman important ; cette idée pouvait aussi être résumée dans un ou plusieurs récits courts analysant ces faits dans des circonstances ponctuelles et spécifiques. Par exemple, on pourrait écrire tout un roman sur un monde sans gravité, où on n’analyserait pas seulement les répercussions physiologiques de ce mode de vie, mais également les effets psychologiques induits par l'incapacité de marcher ou de pratiquer des sports traditionnels ou par la présence d'une feuille simplement posée sur la table, où elle tiendrait toute seule.

OK.