samedi 21 novembre 2015

Projet Sonita / Élise – phrases 390-399

Zebrel vio que Killer regresaba desde la boca del callejón. Traía, como botín, los brazos del exoprot del acólito de Jahvé. Había plegado las alas como cortinas venecianas, por lo que parecía más que nunca un robot de película. Cuando llegó junto a Faso el exoprot se plegó sobre sí mismo, hincó una rodilla sobre el pavimento aceitoso, dejó los brazos a un lado y pareció hurgar en el interior de la armadura. Al cabo de un momento hizo una seña ostensible. Faso estaba muerto.
Está muerto —dijo el monitor sin necesidad.
Entonces ya tenemos bastante mierda por hoy —dijo Zebrel—. Podemos dejar ir a la chica. —Sin vacilar soltó el cabello de la prostituta y aguardó la descarga.

Traduction temporaire :

Zebrel vit que Killer revenait par l'entrée de la ruelle. En guise de butin, il ramenait les bras de l'exoprot du complice de Jahvé. Il avait replié ses ailes comme s'il s'agissait de rideaux vénitiens, ressemblant ainsi plus que jamais à un robot de cinéma. Lorsqu'il arriva auprès de Faso, l'exoprot se replia sur lui-même, posa un genou sur le pavé graisseux, mit les bras à côté et sembla fouiller à l'intérieur de l'armure. Au bout d'un moment, il fit un signe évident. Faso était mort.
— Faso est mort, déclara en vain le moniteur.
— Alors, on a déjà assez de merde pour aujourd'hui, dit Zebrel. On peut laisser partir la fille.
Sans hésiter, il lâcha les cheveux de la prostituée et attendit la décharge.

4 commentaires:

Sonita a dit…

Zebrel vit que Killer revenait de l'entrée de la ruelle. Il ramenait, en guise de butin, les bras de l'exoprot du complice de Jahvé. Il avait replié ses ailes tels des rideaux vénitiens, raison pour laquelle il ressemblait plus que jamais à un robot d'un film. Lorsqu'il arriva auprès de Faso, l'exoprot se replia sur lui même, mit un genou sur le pavement graisseux, posa les bras à côté et sembla fouiller à l'intérieur de l'armure. Au bout d'un moment, il fit un signe ostensible. Faso était mort.
— Faso est mort, déclara le en vain le moniteur.
— Alors, on a déjà assez de merde pour aujourd'hui, dit Zebrel. On peut laisser partir la fille.
Sans hésiter, il lâcha les cheveux de la prostituée et attendit la décharge.

Tradabordo a dit…

Zebrel vit que Killer revenait de [« par » ? J'hésite] l'entrée de la ruelle. Il ramenait, en guise de butin [mets-le avant…], les bras de l'exoprot du complice de Jahvé. Il avait replié ses ailes tels des [« comme s'il s'agissait de »] rideaux vénitiens, raison pour laquelle il ressemblait [simplifie tout ça avec « ressemblant »] plus que jamais à un robot d'un film [« de cinéma »]. Lorsqu'il arriva auprès de Faso, l'exoprot se replia sur lui même [tiret], mit [« posa »] un genou sur le pavement [mal dit] graisseux, posa [trouve un autre verbe, du coup] les bras à côté et sembla fouiller à l'intérieur de l'armure. Au bout d'un moment, il fit un signe ostensible [bof]. Faso était mort.
— Faso est mort, déclara le en vain [?????] le moniteur.
— Alors, on a déjà assez de merde pour aujourd'hui, dit Zebrel. On peut laisser partir la fille.
Sans hésiter, il lâcha les cheveux de la prostituée et attendit la décharge.

Sonita a dit…

Zebrel vit que Killer revenait par l'entrée de la ruelle. En guise de butin, il ramenait les bras de l'exoprot du complice de Jahvé. Il avait replié ses ailes comme s'il s'agissait de rideaux vénitiens, ressemblant ainsi plus que jamais à un robot de cinéma. Lorsqu'il arriva auprès de Faso, l'exoprot se replia sur lui-même, posa un genou sur le pavé graisseux, mit les bras à côté et sembla fouiller à l'intérieur de l'armure. Au bout d'un moment, il fit un signe évident. Faso était mort.
— Faso est mort, déclara en vain le moniteur.
— Alors, on a déjà assez de merde pour aujourd'hui, dit Zebrel. On peut laisser partir la fille.
Sans hésiter, il lâcha les cheveux de la prostituée et attendit la décharge.

Tradabordo a dit…

Zebrel vit que Killer revenait par l'entrée de la ruelle. En guise de butin, il ramenait les bras de l'exoprot du complice de Jahvé. Il avait replié ses ailes comme s'il s'agissait de rideaux vénitiens, ressemblant ainsi plus que jamais à un robot de cinéma. Lorsqu'il arriva auprès de Faso, l'exoprot se replia sur lui-même, posa un genou sur le pavé graisseux, mit les bras à côté et sembla fouiller à l'intérieur de l'armure. Au bout d'un moment, il fit un signe évident. Faso était mort.
— Faso est mort, déclara en vain le moniteur.
— Alors, on a déjà assez de merde pour aujourd'hui, dit Zebrel. On peut laisser partir la fille.
Sans hésiter, il lâcha les cheveux de la prostituée et attendit la décharge.

OK.

Tu travailles bien en ce moment. Je suis contente. Continue avec le même sérieux.