mercredi 20 janvier 2016

Projet Hadjer / Cécilia – titre + phrases 1-2

Espido Freire

Las vejez de las gemelas de el resplandor


Ahora salimos menos: cuando no es la una, es la otra la que siente una irrefrenable pereza. Remoloneamos antes de levantarnos de la cama, nos vestimos con calma, nos acercamos una y otra vez al espejo para comprobar si nuestros calcetines están bien subidos (los ocho: los nuestros y los del reflejo), las faldas de nuestros vestidos almidonadas y opulentas, y luego nos sentamos de nuevo, agotadas ya sin ni siquiera acercarnos a la puerta.

Traduction temporaire :


Espido Freire

La vieillesse des jumelles de Shining

Maintenant, nous sortons moins : quand ce n'est pas l'une, c'est l'autre qui ressent une paresse irrépressible. Nous traînassons avant de nous lever, nous nous habillons tranquillement, nous nous approchons encore et encore du miroir pour vérifier si nos chaussettes sont bien remontées (les huit : les nôtres et celles du reflet), les opulentes jupes de nos robes amidonnées, et ensuite, nous nous asseyons de nouveau, déjà épuisées, sans même atteindre la porte.

35 commentaires:

Cécilia Solvez a dit…

La vieillesse des jumelles qui resplendissent

Maintenant, nous sortons beaucoup moins, quand ce n'est pas l'une, c'est l'autre qui ressent une paresse irrépressible. Nous traînassons avant de se lever du lit, nous nous habillons doucement, nous nous approchons plusieurs fois du miroir pour vérifier si nos chaussettes sont bien remontées (les huit: les nôtres et ceux du reflet). Les jupes de nos robes amidonnées et opulentes, et ensuite nous nous asseyons de nouveau, épuisées sans même nous approcher de la porte.

Cécilia Solvez a dit…

j'ai oublié de signer

cécilia Duterrail

Cécilia Solvez a dit…

La vieillesse des jumelles qui resplendissent

Maintenant, nous sortons beaucoup moins, quand ce n'est pas l'une, c'est l'autre qui ressent une paresse irrépressible. Nous traînassons avant de se lever du lit, nous nous habillons doucement, nous nous approchons plusieurs fois du miroir pour vérifier si nos chaussettes sont bien remontées (les huit: les nôtres et ceux du reflet). Les jupes de nos robes amidonnées et opulentes, et ensuite nous nous asseyons de nouveau, épuisées sans même nous approcher de la porte.

Cécilia Duterrail

Tradabordo a dit…

C'est bon, vous n'aurez plus besoin de signer, puisque vos commentaires apparaissent sous votre nom.

****

Auteur ? – le but après est que je n'ai plus qu'un copier / coller à faire dans le doc final.

La vieillesse des jumelles qui resplendissent [je me demande si vous ne changez pas le sens… J'hésite]

Maintenant, nous sortons beaucoup [pourquoi cet ajout ? Pas en V.O. et ça modifie le sens] moins, [pourquoi avoir supprimé les deux points de la V.O. ?] quand ce [« ça » ? Comme vous préférez ; je vous laisse trancher…] n'est pas l'une, c'est l'autre qui ressent une paresse irrépressible. Nous traînassons avant de se [?] lever du lit, nous nous habillons doucement [j'hésite sur le sens], nous nous approchons [naturel dans ce contexte ?] plusieurs fois du miroir pour vérifier si nos chaussettes sont bien remontées (les huit[espace avant les signes de ponctuation fort]: les nôtres et ceux [????] du reflet). [pourquoi ce point ?????] Les jupes de nos robes amidonnées et opulentes [« opulentes robes amidonnées » ?], et ensuite [virgule] nous nous asseyons de nouveau, épuisées sans [et le « ya » ?] même nous approcher de la porte.

Unknown a dit…

Espido Freire
Pour le titre je dirais : Le resplendissement de la vieillesse des jumelles [non?]

Autrement je suis assez d'accord avec la traduction de Cécilia, les seules modifications que je ferais seraient : Nous traînassons avant de nous lever du lit, nous nous habillons lentement, nous nous rapprochons plusieurs fois du miroir ( ... )

et

Les opulentes jupes de nos robes amidonnées.

Tradabordo a dit…

Bonjour Hadjer,

Il ne suffit pas de mettre votre avis. Il faut reprendre le dernier état de la traduction et l'améliorer avec vos idées… Ça n'est ni à moi ni à votre binôme d'intégrer vos remarques.

Cécilia Solvez a dit…

L'éclat de la vieillesse des jumelles
Espido Freire

Maintenant, nous sortons moins: quand ce n'est pas l'une, c'est l'autre qui ressent une paresse irrépressible. Nous traînassons avant de nous lever du lit, nous nous habillons tranquillement, nous nous approchons plusieurs fois du miroir pour vérifier si nos chaussettes sont bien remontées (les huit : les nôtres et ceux du reflet). Les jupes de nos opulentes robes amidonnées, et ensuite, nous nous asseyons de nouveau, déjà épuisées sans même nous approcher de la porte.

Par contre, je n'ai pas compris l'apparition des points d'interrogations entre "les nôtres et ceux (???) du reflet" car je ne les ai jamais mis, j'ai revérifie ma traduction donc je ne sais pas ce qui sait passé.

Tradabordo a dit…

Non, les points d'interrogation manifestent mon étonnent – tout ce qui apparaît entre crochets = mes commentaires.

Tradabordo a dit…

Espido Freire

Las vejez de las gemelas de el resplandor

Ahora salimos menos: cuando no es la una, es la otra la que siente una irrefrenable pereza. Remoloneamos antes de levantarnos de la cama, nos vestimos con calma, nos acercamos una y otra vez al espejo para comprobar si nuestros calcetines están bien subidos (los ocho: los nuestros y los del reflejo), las faldas de nuestros vestidos almidonadas y opulentas, y luego nos sentamos de nuevo, agotadas ya sin ni siquiera acercarnos a la puerta.

L'éclat de la vieillesse des jumelles [je pense que vous allez vers un CS en procédant de la sorte]

Maintenant, nous sortons moins[espace avant les signes de ponctuation forts, les deux points, les points-virgules…]: quand ce n'est pas l'une, c'est l'autre qui ressent une paresse irrépressible. Nous traînassons avant de nous lever du lit [« du lit », nécessaire ? Sinon, changer le verbe…], nous nous habillons tranquillement, nous nous approchons plusieurs fois [pas exactement ce que dit la V.O.] du miroir pour vérifier si nos chaussettes sont bien remontées (les huit : les nôtres et ceux [grammaire] du reflet). [avez-vous vraiment regarder mes commentaires de la première fois ? Si oui, recommencez… parce que j'ai l'impression de devoir vous signaler de nouveau des choses déjà signalées] Les jupes de nos opulentes robes amidonnées, et ensuite, nous nous asseyons de nouveau, déjà épuisées sans même nous approcher de la porte.

Unknown a dit…

Espido Freire

La splendeur de la vieillesse des jumelles

Maintenant, nous sortons moins : quand ce n'est pas l'une, c'est l'autre qui ressent une paresse irrépressible. Nous traînassons avant de nous lever du lit, nous nous habillons tranquillement, nous nous rapprochons encore et encore du miroir pour vérifier si nos chaussettes sont bien remontées (les huit : les nôtres et celles du reflet). Les opulentes jupes de nos robes amidonnées, et ensuite, nous nous asseyons de nouveau, déjà épuisées sans même nous approcher de la porte.

Tradabordo a dit…

Espido Freire
Las vejez de las gemelas de el resplandor

Ahora salimos menos: cuando no es la una, es la otra la que siente una irrefrenable pereza. Remoloneamos antes de levantarnos de la cama, nos vestimos con calma, nos acercamos una y otra vez al espejo para comprobar si nuestros calcetines están bien subidos (los ocho: los nuestros y los del reflejo), las faldas de nuestros vestidos almidonadas y opulentas, y luego nos sentamos de nuevo, agotadas ya sin ni siquiera acercarnos a la puerta.

Espido Freire

La splendeur de la vieillesse des jumelles [je pense vous pourrez difficilement ne pas faire une trad littérale du titre]

Maintenant, nous sortons moins : quand ce n'est pas l'une, c'est l'autre qui ressent une paresse irrépressible. Nous traînassons avant de nous lever du lit [vraiment pas naturel ; le matin, vous dites : je me lève du lit ?], nous nous habillons tranquillement, nous nous rapprochons encore et encore du miroir pour vérifier si nos chaussettes sont bien remontées (les huit : les nôtres et celles du reflet). [cf mes deux commentaires précédents à propos du point !!!!! C'est la même phrase] Les opulentes jupes de nos robes amidonnées, et ensuite, nous nous asseyons de nouveau, déjà épuisées sans même nous approcher de la porte.

Unknown a dit…



Espido Freire

La vieillesse éclatante des jumelles

Maintenant, nous sortons moins : quand ce n'est pas l'une, c'est l'autre qui ressent une paresse irrépressible. Nous traînassons au lit avant de nous lever, nous nous habillons tranquillement, nous nous rapprochons encore et encore du miroir pour vérifier si nos chaussettes sont bien remontées (les huit : les nôtres et celles du reflet), les opulentes jupes de nos robes amidonnées, et ensuite, nous nous asseyons de nouveau, déjà épuisées sans même nous approcher de la porte.

(Concernant le titre, j'ai vraiment beaucoup de mal à trouver une traduction adéquate, car je ne sais pas réellement quel sens l'auteur a voulu lui donner en tournant sa phrase de cette façon....)

Cécilia Solvez a dit…

La beauté de la vieillesse des jumelles
Espido Freire

Maintenant, nous sortons moins :quand ce n'est pas l'une, c'est l'autre qui ressent une paresse irrépressible. Nous traînassons avant de nous lever, nous nous habillons tranquillement, nous nous rapprochons encore et encore du miroir pour vérifier si nos chaussettes sont bien remontées (les huit :les nôtres et celles du reflet) . Les opulentes jupes de nos robes amidonnées, et ensuite, nous nous asseyons de nouveau, déjà épuisées sans même nous approcher de la porte.

Tradabordo a dit…

Pour le titre, je vous envoie Elena, une des hispanophones du groupe… Elle vous donnera des pistes.

Elena a dit…

Bonjour,
Je me demande si "el resplandor" n'est pas une référence au film...

Tradabordo a dit…

Qu'est-ce que tu veux dire, Elena ?

Elena a dit…

"El resplandor" est un film de Stanley Kubrick, vu le contexte de votre texte, à mon avis, il y a un lien.

Tradabordo a dit…

Merci !
Bon, du coup, il faut maintenant que vous alliez voir comment le titre de ce film a été traduit en français ; car vous ne pouvez évidemment pas en faire une traduction littérale depuis l'espagnol.
À vous de jouer !

Elena a dit…

Aide supplémentaire :
https://www.youtube.com/watch?v=fxy2ArBdULQ

Cécilia Solvez a dit…

La lumière de la vieillesse des jumelles
Espido Freire

Maintenant, nous sortons moins :quand ce n'est pas l'une, c'est l'autre qui ressent une paresse irrépressible. Nous traînassons avant de nous lever, nous nous habillons tranquillement, nous nous rapprochons encore et encore du miroir pour vérifier si nos chaussettes sont bien remontées (les huit :les nôtres et celles du reflet) . Les opulentes jupes de nos robes amidonnées, et ensuite, nous nous asseyons de nouveau, déjà épuisées sans même nous approcher de la porte.

Tradabordo a dit…

Cécilia,
Pensez à remercier Elena, qui vous a gentiment aidées…

La lumière de la vieillesse des jumelles

[avez-vous fait la recherche avec les indications données par Elena ?]

Espido Freire

Maintenant, nous sortons moins :quand ce n'est pas l'une, c'est l'autre qui ressent une paresse irrépressible. Nous traînassons avant de nous lever, nous nous habillons tranquillement, nous nous rapprochons encore et encore du miroir pour vérifier si nos chaussettes sont bien remontées (les huit :les nôtres et celles du reflet) . Les opulentes jupes de nos robes amidonnées, et ensuite, nous nous asseyons de nouveau, déjà épuisées sans même nous approcher de la porte.

Cécilia Solvez a dit…

Oui j'ai cherché mais j'ai trouvé la traduction en anglais "the shinning" et qui a été traduit par l'enfant lumière, et c'est pour ça que dans le titre j'ai mis le mot lumière

Tradabordo a dit…

Pensez à remercier Elena, bis.

Unknown a dit…

Merci beaucoup Elena pour ces indications!


La radieuse vieillesse des jumelles

Espido Freire

Maintenant, nous sortons moins :quand ce n'est pas l'une, c'est l'autre qui ressent une paresse irrépressible. Nous traînassons avant de nous lever, nous nous habillons tranquillement, nous nous rapprochons encore et encore du miroir pour vérifier si nos chaussettes sont bien remontées (les huit :les nôtres et celles du reflet) . Les opulentes jupes de nos robes amidonnées, et ensuite, nous nous asseyons de nouveau, déjà épuisées sans même nous approcher de la porte.


[Au niveau du titre c'est mon dernier mot, j'espère qu'on pourra très vite avancer sur la suite de la traduction de notre texte car c'est très handicapant...]

Tradabordo a dit…

Mais moi, je ne demande que ça : qu'on avance rapidement :-) Simplement, tant que tout n'est pas réglé dans une section, on ne peut pas aller à la suivante.
Venez un peu tous les jours et tenez pleinement compte de ce que je vous demande… relisez-vous pour éviter les coquilles, etc.

Espido Freire

Mettez le bon titre. Il faut qu'il comporte le titre du film, évidemment.

Maintenant, nous sortons moins :[espace ; exemple de choses qui vous font perdre du temps]quand ce n'est pas l'une, c'est l'autre qui ressent une paresse irrépressible. Nous traînassons avant de nous lever, nous nous habillons tranquillement, nous nous rapprochons encore et encore du miroir pour vérifier si nos chaussettes sont bien remontées (les huit :[espace]les nôtres et celles du reflet) . [DONC, COMME JE VOUS L'AI DIT À PLUSIEURS REPRISES DANS MES COMMENTAIRES PRÉCÉDENTS : IL NE FAUT PAS METTRE DE POINT ICI, CAR ÇA VA AVEC LA PHRASE D'AVANT… C'EST LA SUITE /// vous voyez qu'il y a plein de solutions pour avancer plus vite : lire mes commentaires et en tenir compte] Les opulentes jupes de nos robes amidonnées, et ensuite, nous nous asseyons de nouveau, déjà épuisées sans même nous approcher de la porte.

Cécilia Solvez a dit…

L'enfant lumière (j'ai trouvé The Shining qui correspond à l'anglais et traduit donc en français par L'enfant lumière)

Maintenant, nous sortons moins : quand ce n'est pas l'une, c'est l'autre qui ressent une paresse irrépressible. Nous traînassons avant de nous lever, nous nous habillons tranquillement, nous nous rapprochons encore et encore du miroir pour vérifier si nos chaussettes sont bien remontées (les huit :[espace]les nôtres et celles du reflet), les opulentes jupes de nos robes amidonnées, et ensuite, nous nous asseyons de nouveau, déjà épuisées sans même nous approcher de la porte

Cécilia Solvez a dit…

Ah oui, j'ai oublié, merci
( message pour Elena)

Unknown a dit…

Espido Freire
La vieillesse des enfants lumière

Maintenant, nous sortons moins : quand ce n'est pas l'une, c'est l'autre qui ressent une paresse irrépressible. Nous traînassons avant de nous lever, nous nous habillons tranquillement, nous nous rapprochons encore et encore du miroir pour vérifier si nos chaussettes sont bien remontées (les huit : les nôtres et celles du reflet), les opulentes jupes de nos robes amidonnées, et ensuite, nous nous asseyons de nouveau, déjà épuisées sans même nous approcher de la porte.

Tradabordo a dit…

Espido Freire
Las vejez de las gemelas de el resplandor

Ahora salimos menos: cuando no es la una, es la otra la que siente una irrefrenable pereza. Remoloneamos antes de levantarnos de la cama, nos vestimos con calma, nos acercamos una y otra vez al espejo para comprobar si nuestros calcetines están bien subidos (los ocho: los nuestros y los del reflejo), las faldas de nuestros vestidos almidonadas y opulentas, y luego nos sentamos de nuevo, agotadas ya sin ni siquiera acercarnos a la puerta.

Espido Freire

La vieillesse des enfants lumière [bon, je crois que pour que le lecteur francophone comprenne bien, il faut opter pour : La vieillesse des jumelles dans Shining]

Maintenant, nous sortons moins : quand ce n'est pas l'une, c'est l'autre qui ressent une paresse irrépressible. Nous traînassons avant de nous lever, nous nous habillons tranquillement, nous nous approchons encore et encore du miroir pour vérifier si nos chaussettes sont bien remontées (les huit : les nôtres et celles du reflet), les opulentes jupes de nos robes amidonnées, et ensuite, nous nous asseyons de nouveau, déjà épuisées, sans même nous approcher de la porte.

Faites un copier-coller pour la prochaine version (car j'ai fait deux légères modifs et je souhaite qu'elles apparaissent…) ; bon, on a presque terminé. Il ne reste plus qu'un petit problème. Vous avez deux fois le verbe « approcher » dans la section. Trouver une solution et nous pourrons passer à la suite.

Unknown a dit…

Espido Freire

La vieillesse des jumelles dans Shining

Maintenant, nous sortons moins : quand ce n'est pas l'une, c'est l'autre qui ressent une paresse irrépressible. Nous traînassons avant de nous lever, nous nous habillons tranquillement, nous nous approchons encore et encore du miroir pour vérifier si nos chaussettes sont bien remontées (les huit : les nôtres et celles du reflet), les opulentes jupes de nos robes amidonnées, et ensuite, nous nous asseyons de nouveau, déjà épuisées, sans même atteindre la porte.




[au niveau du titre, ce ne serait pas mieux "la vieillesse des jumelles DE Shining (au lieu du dans) ?]

Tradabordo a dit…

Oui, bonne idée pour le titre. Remettez-moi l'ensemble avec cette version-là.

Cécilia Solvez a dit…

Espido Freire

La vieillesse des jumelles dans Shining

Maintenant, nous sortons moins : quand ce n'est pas l'une, c'est l'autre qui ressent une paresse irrépressible. Nous traînassons avant de nous lever, nous nous habillons tranquillement, nous nous approchons encore et encore du miroir pour vérifier si nos chaussettes sont bien remontées (les huit : les nôtres et celles du reflet), les opulentes jupes de nos robes amidonnées, et ensuite, nous nous asseyons de nouveau, déjà épuisées, sans même atteindre la porte.



Cécilia Solvez a dit…

Espido Freire

La vieillesse des jumelles de Shining

Maintenant, nous sortons moins : quand ce n'est pas l'une, c'est l'autre qui ressent une paresse irrépressible. Nous traînassons avant de nous lever, nous nous habillons tranquillement, nous nous approchons encore et encore du miroir pour vérifier si nos chaussettes sont bien remontées (les huit : les nôtres et celles du reflet), les opulentes jupes de nos robes amidonnées, et ensuite, nous nous asseyons de nouveau, déjà épuisées, sans même atteindre la porte

Unknown a dit…

Espido Freire

La vieillesse des jumelles de Shining

Maintenant, nous sortons moins : quand ce n'est pas l'une, c'est l'autre qui ressent une paresse irrépressible. Nous traînassons avant de nous lever, nous nous habillons tranquillement, nous nous approchons encore et encore du miroir pour vérifier si nos chaussettes sont bien remontées (les huit : les nôtres et celles du reflet), les opulentes jupes de nos robes amidonnées, et ensuite, nous nous asseyons de nouveau, déjà épuisées, sans même atteindre la porte.



Tradabordo a dit…

Espido Freire

La vieillesse des jumelles de Shining

Maintenant, nous sortons moins : quand ce n'est pas l'une, c'est l'autre qui ressent une paresse irrépressible. Nous traînassons avant de nous lever, nous nous habillons tranquillement, nous nous approchons encore et encore du miroir pour vérifier si nos chaussettes sont bien remontées (les huit : les nôtres et celles du reflet), les opulentes jupes de nos robes amidonnées, et ensuite, nous nous asseyons de nouveau, déjà épuisées, sans même atteindre la porte.



OK.