samedi 9 avril 2016

Projet Elena 13 – phrases 42-47

Me han arruinado el color negro pa siempre ko. Lo veo en la noche y nel día, con ojos cerrados y abiertos, se descompone en matices, capas, como si tuviera peso y respirara, y hay negros grises, negros ablancados, negros bermellones, negros plomizos, negros de bronce, negros índigo, negros violeta, negros marrones q’estallan delante de mí y me succionan rumbo al corazón del planeta. Colores negros que me rodean y quieren hacerme suya. Soy un matiz del color negro. Los colores hablan y son ellos los que nos componen. Sin el negro no seríamos nada. No necesitamos dotros colores.

Traduction temporaire :
On m'a bousillée la couleur noire, KO pour toujours. Je la vois la nuit et le jour, les yeux fermés ou ouverts, elle se décompose en nuances, en couches, comme si elle avait du poids et pouvait respirer, et il y a des noirs gris, des noirs blanchâtres, des noirs vermillons, des noirs de plomb, des noirs de bronze, des noirs indigos, des noirs violets, des noirs marron qui éclatent devant moi et qui m'aspirent vers le cœur de la planète. Des couleurs noires qui m'entourent et qui veulent me prendre. Je suis une nuance de la couleur noire. Les couleurs parlent et ce sont elles qui nous composent. Sans le noir, nous ne serions rien. Nous n'avons pas besoin des autres couleurs.

6 commentaires:

Elena a dit…

On m'a bousillée la couleur noire, KO pour toujours. Je la vois la nuit et le jour, les yeux fermés ou ouverts, elle se décompose en nuances, en couches, comme si elle avait du poids et pouvait respirer, et il y a des noirs gris, des noirs blanchâtres, des noirs vermillon, des noirs plombés, des noirs de bronze, des noirs indigo, des noirs violets, des noirs marrons qui éclatent devant moi et qui m'aspirent vers le cœur de la planète. Des couleurs noires qui m'entourent et qui veulent me posséder. Je suis une nuance de la couleur noire. Les couleurs parlent et ce sont elles qui nous composent. Sans le noir, nous ne serions rien. Nul besoin des autres couleurs.

Tradabordo a dit…

On m'a bousillée la couleur noire, KO pour toujours. Je la vois la nuit et le jour, les yeux fermés ou ouverts, elle se décompose en nuances, en couches, comme si elle avait du poids et pouvait respirer, et il y a des noirs gris, des noirs blanchâtres, des noirs vermillon [pluriel ? Vérifie], des noirs plombés [je ne crois pas que ça marche], des noirs de bronze, des noirs indigo, des noirs violets, des noirs marrons [grammaire] qui éclatent devant moi et qui m'aspirent vers le cœur de la planète. Des couleurs noires qui m'entourent et qui veulent me posséder [littéral]. Je suis une nuance de la couleur noire. Les couleurs parlent et ce sont elles qui nous composent. Sans le noir, nous ne serions rien. Nul besoin [texte] des autres couleurs.

Elena a dit…

On m'a bousillée la couleur noire, KO pour toujours. Je la vois la nuit et le jour, les yeux fermés ou ouverts, elle se décompose en nuances, en couches, comme si elle avait du poids et pouvait respirer, et il y a des noirs gris, des noirs blanchâtres, des noirs vermillons, des noirs de plomb, des noirs de bronze, des noirs indigos, des noirs violets, des noirs marrons [grammaire / au féminin ?] qui éclatent devant moi et qui m'aspirent vers le cœur de la planète. Des couleurs noires qui m'entourent et qui veulent me faire sienne. Je suis une nuance de la couleur noire. Les couleurs parlent et ce sont elles qui nous composent. Sans le noir, nous ne serions rien. Nous n'avons pas besoin des autres couleurs.

Tradabordo a dit…

On m'a bousillée la couleur noire, KO pour toujours. Je la vois la nuit et le jour, les yeux fermés ou ouverts, elle se décompose en nuances, en couches, comme si elle avait du poids et pouvait respirer, et il y a des noirs gris, des noirs blanchâtres, des noirs vermillons, des noirs de plomb, des noirs de bronze, des noirs indigos, des noirs violets, des noirs marrons [grammaire / au féminin ? Pas de « S »] qui éclatent devant moi et qui m'aspirent vers le cœur de la planète. Des couleurs noires qui m'entourent et qui veulent me faire sienne [grammaire]. Je suis une nuance de la couleur noire. Les couleurs parlent et ce sont elles qui nous composent. Sans le noir, nous ne serions rien. Nous n'avons pas besoin des autres couleurs.

Elena a dit…


On m'a bousillée la couleur noire, KO pour toujours. Je la vois la nuit et le jour, les yeux fermés ou ouverts, elle se décompose en nuances, en couches, comme si elle avait du poids et pouvait respirer, et il y a des noirs gris, des noirs blanchâtres, des noirs vermillons, des noirs de plomb, des noirs de bronze, des noirs indigos, des noirs violets, des noirs marron qui éclatent devant moi et qui m'aspirent vers le cœur de la planète. Des couleurs noires qui m'entourent et qui veulent me prendre. Je suis une nuance de la couleur noire. Les couleurs parlent et ce sont elles qui nous composent. Sans le noir, nous ne serions rien. Nous n'avons pas besoin des autres couleurs.

Tradabordo a dit…

On m'a bousillée la couleur noire, KO pour toujours. Je la vois la nuit et le jour, les yeux fermés ou ouverts, elle se décompose en nuances, en couches, comme si elle avait du poids et pouvait respirer, et il y a des noirs gris, des noirs blanchâtres, des noirs vermillons, des noirs de plomb, des noirs de bronze, des noirs indigos, des noirs violets, des noirs marron qui éclatent devant moi et qui m'aspirent vers le cœur de la planète. Des couleurs noires qui m'entourent et qui veulent me prendre. Je suis une nuance de la couleur noire. Les couleurs parlent et ce sont elles qui nous composent. Sans le noir, nous ne serions rien. Nous n'avons pas besoin des autres couleurs.

OK.