lundi 15 août 2016

Projet Bianca 3 – titre + phrases 1-10


«Bonsai»
Martín Felipe Castagnet (La Plata, 1986- )

Cuando era chico, más chico que hoy, tenía un amigo con el que chateaba todos los días. Él no sabía lo que yo era, creo que ni siquiera sabía cuántos años tenía. Supongo que pensaba que lo doblaba en edad. Finalmente me dijo de vernos y yo no pude aceptar. Al tiempo me dejó de hablar: hay gente que necesita ver, que necesita tocar, no sólo a sus amores sino también a sus amigos, a su mundo. En fin: te agradezco que hayas aceptado que charlemos a través de este medio; quizás mi amigo algún día la lea y me entienda mejor. ¿Ya empezamos o todavía no? Necesito que me avises para no hacer el ridículo: suficiente con mi cara.
Empezamos cuando vos quieras. Lo importante es que sepas que podés hablar tranquilo: todo lo que sobre se elimina.

Traduction temporaire :

Martín Felipe Castagnet (La Plata, 1986-)

« Bonsaï »

Quand j'étais jeune, plus jeune qu'aujourd'hui, j'avais un ami avec qui je chattais tous les jours. Il ne savait pas ce que j'étais, je crois qu'il ne savait même pas quel âge j'avais. Il devait s'imaginer que j'étais deux fois plus vieux que lui. Finalement, il m'a proposé qu'on se voie, mais je n'ai pas pu accepter. Il a immédiatement arrêté de me parler : il lui faut rencontrer les gens, les toucher, aussi bien ses amants que ses amis, son entourage. Bref, je te remercie d'avoir accepté qu'on parle par ce biais ; peut-être qu'un jour mon ami la lira et me comprendra mieux. On commence ou pas encore ? J'ai besoin que tu me préviennes pour ne pas me ridiculiser : avec ma tête, ça suffit .
On commence quand tu veux. Ce qui est important, c'est que tu saches que tu peux parler sans inquiétude : tout ce qui est en trop, on le vire.

12 commentaires:

Bianca a dit…

« Bonsaï »
Martín Felipe Castagnet (La Plata, 1986-)

Quand j'étais jeune, plus jeune qu'aujourd'hui, j'avais un ami avec qui je discutais tous les jours. Il ne savait pas ce que j'étais, je crois qu'il ne savait même pas quel âge j'avais. Je suppose qu'il pensait que j'avais le double de son âge. Finalement, il me proposa de se voir et je ne pus accepter. Il cessa tout de suite de me parler: il y a des gens qu'il doit voir, qu'il doit toucher, non seulement ses amours mais aussi ses amis, son monde. Enfin: je te remercie d'avoir accepté que nous parlions par ce moyen; peut-être qu'un jour mon ami la lira et me comprendra mieux. On commence ou pas encore ? J'ai besoin que tu me préviennes afin de ne pas me ridiculiser: ma tête suffit.

On commence quand tu veux. Ce qui est important, c'est que tu saches que tu peux parler tranquillement: tout ce qui est en trop, est éliminé.

Tradabordo a dit…

Martín Felipe Castagnet (La Plata, 1986-)

« Bonsaï »

Quand j'étais jeune, plus jeune [je ne sais pas trop ce que je pense de ces deux « jeune » ; pour le premier, je me demande si ce ne serait pas mieux avec « petit »… mais alors, ça ne va pas avec le second. Deux solutions : soit on laisse comme ça – c'est correct –, soit on ne répète pas alors qu'il y a une répétition en V.O. Qu'en pensez-vous ?] qu'aujourd'hui, j'avais un ami avec qui je discutais [j'hésite sur l'interprétation ; FS ? Avez-vous bien regardé dans le dico ? En tout cas, n'est-ce pas ambigu / pas assez clair ?] tous les jours. Il ne savait pas ce que j'étais, je crois qu'il ne savait même pas quel âge j'avais. Je suppose qu'il pensait que j'avais [de début est-il vraiment fluide ?] le double de son âge. Finalement, il me proposa de se voir [« qu'on se… » ?] et je ne pus [un doute, d'un seul coup ; est-ce qu'on se met vraiment au passé simple ? Je suppose que vous avez lu l'ensemble du texte………… Qu'est-ce qui est le plus adapté ?] accepter. Il cessa tout [dommage de gaspiller un « tout » pour si peu…] de suite de me parler[espace avant les : et les ;]: il y a des gens qu'il doit voir [CS], qu'il doit toucher [CS], non seulement ses amours [pas très naturel] [virgule avant « mais »] mais aussi ses amis, son monde [mal dit]. Enfin[naturel ?] [espace]: je te remercie d'avoir accepté que nous parlions par ce moyen[naturel ?] [espace] [bon, je vous laisse reprendre l'ensemble… qui manque globalement de naturel… Il faut mieux entrer dans le ton du texte…………]; peut-être qu'un jour mon ami la lira et me comprendra mieux. On commence ou pas encore ? J'ai besoin que tu me préviennes afin de ne pas me ridiculiser: ma tête suffit.

On commence quand tu veux. Ce qui est important, c'est que tu saches que tu peux parler tranquillement: tout ce qui est en trop, est éliminé.

Bianca a dit…

Martín Felipe Castagnet (La Plata, 1986-)

« Bonsaï »

Quand j'étais jeune, plus jeune [je ne sais pas trop ce que je pense de ces deux « jeune » ; pour le premier, je me demande si ce ne serait pas mieux avec « petit »… mais alors, ça ne va pas avec le second. Deux solutions : soit on laisse comme ça – c'est correct –, soit on ne répète pas alors qu'il y a une répétition en V.O. Qu'en pensez-vous ? // C'est exactement le dilemme que j'avais eu... je préfère répéter "jeune" pour respecter la répétition mais c'est vrai que pour le 1er, instinctivement j'avais mis "petit"!] qu'aujourd'hui, j'avais un ami avec qui je chattais [Vous avez raison, ils parlaient sur internet!] tous les jours. Il ne savait pas ce que j'étais, je crois qu'il ne savait même pas quel âge j'avais. Je suppose que j'avais le double de son âge selon lui. Finalement, il m'a proposé qu'on se voie et je n'ai pas pu accepter. Il a immédiatement arrêté de me parler : il lui faut voir les gens, les toucher, non seulement ses amants, mais aussi ses amis, son entourage. Bref : je te remercie d'avoir accepté qu'on parle via ce moyen [argh] ; peut-être qu'un jour mon ami la lira et me comprendra mieux. On commence ou pas encore ? J'ai besoin que tu me préviennes pour ne pas me ridiculiser: il suffit de voir ma tête.

On commence quand tu veux. Ce qui est important, c'est que tu saches que tu peux parler sans inquiétude : tout ce qui est en trop, est éliminé.

Tradabordo a dit…

Martín Felipe Castagnet (La Plata, 1986-)

« Bonsaï »

Quand j'étais jeune, plus jeune qu'aujourd'hui, j'avais un ami avec qui je chattais tous les jours. Il ne savait pas ce que j'étais, je crois qu'il ne savait même pas quel âge j'avais. Je suppose que j'avais le double de son âge selon lui [syntaxe… Mal dit / phrase à reprendre. Flui-di-té ! ;-)]. Finalement, il m'a proposé qu'on se voie et je n'ai pas pu accepter. Il a immédiatement arrêté de me parler : il lui faut voir [on a « voie » avant… Est-ce qu'on peut ne pas répéter ? Pas grave, hein… mais essayez juste…] les gens, les toucher, non seulement ses amants, mais aussi ses amis, son entourage. Bref : [virgule ?] je te remercie d'avoir accepté qu'on parle via ce moyen [argh /// « par ce biais » ?] ;

quizás mi amigo algún día la lea y me entienda mejor. ¿Ya empezamos o todavía no? Necesito que me avises para no hacer el ridículo: suficiente con mi cara. Empezamos cuando vos quieras. Lo importante es que sepas que podés hablar tranquilo: todo lo que sobre se elimina.

peut-être qu'un jour mon ami la [« la » quoi ?] lira et me comprendra mieux. On commence ou pas encore ? J'ai besoin que tu me préviennes pour ne pas me ridiculiser[espace avant les deux points]: il suffit de voir [X3] ma tête.

On commence quand tu veux. Ce qui est important, c'est que tu saches que tu peux parler sans inquiétude : tout ce qui est en trop, est éliminé [est-ce clair ?].

Bianca a dit…

Martín Felipe Castagnet (La Plata, 1986-)

« Bonsaï »

Quand j'étais jeune, plus jeune qu'aujourd'hui, j'avais un ami avec qui je chattais tous les jours. Il ne savait pas ce que j'étais, je crois qu'il ne savait même pas quel âge j'avais. Je suppose qu'à ses yeux, j'avais le double de son âge [argh ! "je lui paraissais sans doute deux fois plus âgé"?]. Finalement, il m'a proposé qu'on se voie et je n'ai pas pu accepter. Il a immédiatement arrêté de me parler : il lui faut rencontrer les gens, les toucher, non seulement ses amants, mais aussi ses amis, son entourage. Bref, je te remercie d'avoir accepté qu'on parle par ce biais [ahhh c'était une de mes 1ères options, je n'étais pas sûre du mot "biais" !] ; peut-être qu'un jour mon ami la [« la » quoi ? // l'interview :)] lira et me comprendra mieux. On commence ou pas encore ? J'ai besoin que tu me préviennes pour ne pas me ridiculiser: il suffit de regarder ma tête.

On commence quand tu veux. Ce qui est important, c'est que tu saches que tu peux parler sans inquiétude : tout ce qui est en trop, on le vire.

Tradabordo a dit…

Martín Felipe Castagnet (La Plata, 1986-)

« Bonsaï »

Quand j'étais jeune, plus jeune qu'aujourd'hui, j'avais un ami avec qui je chattais tous les jours. Il ne savait pas ce que j'étais, je crois qu'il ne savait même pas quel âge j'avais. Je suppose qu'à ses yeux [« Il devait s'imaginer que » ?], j'avais le double de son âge [essayez de ne pas répéter « âge »]. Finalement, il m'a proposé qu'on se voie et je n'ai pas pu accepter. Il a immédiatement arrêté de me parler : il lui faut rencontrer les gens, les toucher, non seulement ses amants, mais aussi ses amis, son entourage. Bref, je te remercie d'avoir accepté qu'on parle par ce biais ; peut-être qu'un jour mon ami la lira et me comprendra mieux. On commence ou pas encore ? J'ai besoin que tu me préviennes pour ne pas me ridiculiser[espace avant les deux points]: il suffit de regarder ma tête [ou : « avec ma tête, ça suffit » ?].
On commence quand tu veux. Ce qui est important, c'est que tu saches que tu peux parler sans inquiétude : tout ce qui est en trop, on le vire.

Bianca a dit…

Martín Felipe Castagnet (La Plata, 1986-)

« Bonsaï »

Quand j'étais jeune, plus jeune qu'aujourd'hui, j'avais un ami avec qui je chattais tous les jours. Il ne savait pas ce que j'étais, je crois qu'il ne savait même pas quel âge j'avais. Il devait s'imaginer que j'étais deux fois plus vieux. Finalement, il m'a proposé qu'on se voie et je n'ai pas pu accepter. Il a immédiatement arrêté de me parler : il lui faut rencontrer les gens, les toucher, non seulement ses amants, mais aussi ses amis, son entourage. Bref, je te remercie d'avoir accepté qu'on parle par ce biais ; peut-être qu'un jour mon ami la lira et me comprendra mieux. On commence ou pas encore ? J'ai besoin que tu me préviennes pour ne pas me ridiculiser : avec ma tête, ça suffit .
On commence quand tu veux. Ce qui est important, c'est que tu saches que tu peux parler sans inquiétude : tout ce qui est en trop, on le vire.

Tradabordo a dit…

Martín Felipe Castagnet (La Plata, 1986-)

« Bonsaï »

Quand j'étais jeune, plus jeune qu'aujourd'hui, j'avais un ami avec qui je chattais tous les jours. Il ne savait pas ce que j'étais, je crois qu'il ne savait même pas quel âge j'avais. Il devait s'imaginer que j'étais deux fois plus vieux [cheville : « que lui » ?]. Finalement, il m'a proposé qu'on se voie et [ou avec « , mais » ? Le cas échéant, il faudra changer celui qu'il y a après…] je n'ai pas pu accepter. Il a immédiatement arrêté de me parler : il lui faut rencontrer les gens, les toucher, non seulement ses amants, mais [ici] aussi ses amis, son entourage. Bref, je te remercie d'avoir accepté qu'on parle par ce biais ; peut-être qu'un jour mon ami la lira et me comprendra mieux. On commence ou pas encore ? J'ai besoin que tu me préviennes pour ne pas me ridiculiser : avec ma tête, ça suffit .
On commence quand tu veux. Ce qui est important, c'est que tu saches que tu peux parler sans inquiétude : tout ce qui est en trop, on le vire.

Bianca a dit…

Martín Felipe Castagnet (La Plata, 1986-)

« Bonsaï »

Quand j'étais jeune, plus jeune qu'aujourd'hui, j'avais un ami avec qui je chattais tous les jours. Il ne savait pas ce que j'étais, je crois qu'il ne savait même pas quel âge j'avais. Il devait s'imaginer que j'étais deux fois plus vieux que lui. Finalement, il m'a proposé qu'on se voie mais je n'ai pas pu accepter. Il a immédiatement arrêté de me parler : il lui faut rencontrer les gens, les toucher, non seulement ses amants, et aussi ses amis, son entourage. Bref, je te remercie d'avoir accepté qu'on parle par ce biais ; peut-être qu'un jour mon ami la lira et me comprendra mieux. On commence ou pas encore ? J'ai besoin que tu me préviennes pour ne pas me ridiculiser : avec ma tête, ça suffit .
On commence quand tu veux. Ce qui est important, c'est que tu saches que tu peux parler sans inquiétude : tout ce qui est en trop, on le vire.

Tradabordo a dit…

Martín Felipe Castagnet (La Plata, 1986-)

« Bonsaï »

Quand j'étais jeune, plus jeune qu'aujourd'hui, j'avais un ami avec qui je chattais tous les jours. Il ne savait pas ce que j'étais, je crois qu'il ne savait même pas quel âge j'avais. Il devait s'imaginer que j'étais deux fois plus vieux que lui. Finalement, il m'a proposé qu'on se voie [virgule avant « mais »] mais je n'ai pas pu accepter. Il a immédiatement arrêté de me parler : il lui faut rencontrer les gens, les toucher, non seulement ses amants, et [avec « non seulement », il faut vraiment un « mais » ; donc, contournez cette construction] aussi ses amis, son entourage. Bref, je te remercie d'avoir accepté qu'on parle par ce biais ; peut-être qu'un jour mon ami la lira et me comprendra mieux. On commence ou pas encore ? J'ai besoin que tu me préviennes pour ne pas me ridiculiser : avec ma tête, ça suffit .
On commence quand tu veux. Ce qui est important, c'est que tu saches que tu peux parler sans inquiétude : tout ce qui est en trop, on le vire.

Bianca a dit…

Martín Felipe Castagnet (La Plata, 1986-)

« Bonsaï »

Quand j'étais jeune, plus jeune qu'aujourd'hui, j'avais un ami avec qui je chattais tous les jours. Il ne savait pas ce que j'étais, je crois qu'il ne savait même pas quel âge j'avais. Il devait s'imaginer que j'étais deux fois plus vieux que lui. Finalement, il m'a proposé qu'on se voie, mais je n'ai pas pu accepter. Il a immédiatement arrêté de me parler : il lui faut rencontrer les gens, les toucher, aussi bien ses amants que ses amis, son entourage. Bref, je te remercie d'avoir accepté qu'on parle par ce biais ; peut-être qu'un jour mon ami la lira et me comprendra mieux. On commence ou pas encore ? J'ai besoin que tu me préviennes pour ne pas me ridiculiser : avec ma tête, ça suffit .
On commence quand tu veux. Ce qui est important, c'est que tu saches que tu peux parler sans inquiétude : tout ce qui est en trop, on le vire.

Tradabordo a dit…

Martín Felipe Castagnet (La Plata, 1986-)

« Bonsaï »

Quand j'étais jeune, plus jeune qu'aujourd'hui, j'avais un ami avec qui je chattais tous les jours. Il ne savait pas ce que j'étais, je crois qu'il ne savait même pas quel âge j'avais. Il devait s'imaginer que j'étais deux fois plus vieux que lui. Finalement, il m'a proposé qu'on se voie, mais je n'ai pas pu accepter. Il a immédiatement arrêté de me parler : il lui faut rencontrer les gens, les toucher, aussi bien ses amants que ses amis, son entourage. Bref, je te remercie d'avoir accepté qu'on parle par ce biais ; peut-être qu'un jour mon ami la lira et me comprendra mieux. On commence ou pas encore ? J'ai besoin que tu me préviennes pour ne pas me ridiculiser : avec ma tête, ça suffit .
On commence quand tu veux. Ce qui est important, c'est que tu saches que tu peux parler sans inquiétude : tout ce qui est en trop, on le vire.

OK.