vendredi 18 novembre 2016

Projet Estelle / Sylvie – phrases 11-19

Sus lágrimas caían sobre los mechones despeinados de Hox Hendrix, que tapaban sus ojos sin vida. Con delicadeza, le retiró el pelo de la cara para poder contemplar su rostro. Ella le amaba. Aunque nunca se hubiera atrevido a decírselo. Siempre le había amado.
De los labios del fallecido, brotó un macabro vómito que manchó de sangre el vestido de la secretaria. Fue algo súbito, pero ella ni se inmutó. Siguió abrazada al cadáver, balanceándose rítmicamente como si estuviera cantando una nana a un recién nacido. Una canción muda, pues las lágrimas se le escurrían por la garganta ahogándole la voz.

Traduction en cours d'élaboration dans les commentaires

8 commentaires:

Sylvie Lopez a dit…

Ses larmes tombaient sur les mèches décoiffées de Hox Hendrix qui cachaient ses yeux sans vie. Avec délicatesse, elle lui retira les cheveux de la figure pour pouvoir contempler son visage. Elle l’aimait. Même si jamais elle n’aurait osé le lui dire. Elle l’avait toujours aimé.

Des lèvres du défunt, un vomissement macabre jaillit qui tâcha de sang la robe de la secrétaire. Ce fut quelque chose de soudain, mais elle resta imperturbable. Elle continua d’enlacer le cadavre, en se balançant en rythme, comme si elle était en train de chanter une berceuse à un nouveau-né. Une chanson muette, car les larmes coulaient dans sa gorge, lui étouffant la voix.

Tradabordo a dit…

Ses larmes tombaient sur les mèches décoiffées [pas plus naturel avec « ébouriffées » ? J'hésite] de Hox Hendrix qui cachaient ses yeux sans vie. Avec délicatesse [pour le coup, je me demande si l'adverbe en « -ment » ne serait pas mieux ; essayez et voyez ce que ça donne], elle lui retira les cheveux de [pour éviter de répéter, est-ce qu'avec « dégager » tout court ça ne suffit pas ?] la figure pour pouvoir contempler son visage [obligées de répéter ?]. Elle l’aimait. Même si jamais [placé ailleurs ? Pas plus fluide ?] elle n’aurait osé le lui dire. [cheville ici : « Oui, » ? Comme vous voulez] Elle l’avait toujours aimé.
Des lèvres du défunt [syntaxe ? Est-ce que ce ne serait pas mieux après ? Essayez], un vomissement macabre jaillit


qui tâcha de sang la robe de la secrétaire. Ce fut quelque chose de soudain, mais elle resta imperturbable. Elle continua d’enlacer le cadavre, en se balançant en rythme, comme si elle était en train de chanter une berceuse à un nouveau-né. Une chanson muette, car les larmes coulaient dans sa gorge, lui étouffant la voix.

Sylvie Lopez a dit…

Ses larmes tombaient sur les mèches décoiffées ébouriffées de Hox Hendrix qui cachaient ses yeux sans vie. Délicatement, elle lui retira les cheveux de [pour éviter de répéter, est-ce qu'avec « dégager » tout court ça ne suffit pas ?] la figure pour pouvoir contempler son visage [obligées de répéter ?]. Elle l’aimait. Même si jamais [placé ailleurs ? Pas plus fluide ? Je trouve plus fort de le laisser ici, et puis il y a le jeu jamais/toujours de la phrases suivante] elle n’aurait osé le lui dire. Oui, elle l’avait toujours aimé.
Un vomissement macabre jaillit Des lèvres du défunt qui tâcha de sang la robe de la secrétaire. Ce fut quelque chose de soudain, mais elle resta imperturbable. Elle continua d’enlacer le cadavre, en se balançant en rythme, comme si elle était en train de chanter une berceuse à un nouveau-né. Une chanson muette, car les larmes coulaient dans sa gorge, lui étouffant la voix.

Tradabordo a dit…

Ses larmes tombaient sur les mèches décoiffées ébouriffées de Hox Hendrix qui cachaient ses yeux sans vie. Délicatement, elle lui retira les cheveux de [pour éviter de répéter, est-ce qu'avec « dégager » tout court ça ne suffit pas ? Vous n'avez pas répondu ] la figure pour pouvoir contempler son visage [obligées de répéter ? Idem].

Réglons ces questions laissées en suspens et nous verrons la suite après.

Elle l’aimait. Même si jamais [placé ailleurs ? Pas plus fluide ? Je trouve plus fort de le laisser ici, et puis il y a le jeu jamais/toujours de la phrases suivante] elle n’aurait osé le lui dire. Oui, elle l’avait toujours aimé.
Un vomissement macabre jaillit Des lèvres du défunt qui tâcha de sang la robe de la secrétaire. Ce fut quelque chose de soudain, mais elle resta imperturbable. Elle continua d’enlacer le cadavre, en se balançant en rythme, comme si elle était en train de chanter une berceuse à un nouveau-né. Une chanson muette, car les larmes coulaient dans sa gorge, lui étouffant la voix.

Sylvie Lopez a dit…

Ses larmes tombaient sur les mèches ébouriffées de Hox Hendrix qui cachaient ses yeux sans vie. Délicatement, elle lui dégagea le visage pour pouvoir le contempler.

Elle l’aimait. Même si jamais elle n’aurait osé le lui dire. Oui, elle l’avait toujours aimé.
Un vomissement macabre jaillit Des lèvres du défunt qui tâcha de sang la robe de la secrétaire. Ce fut quelque chose de soudain, mais elle resta imperturbable. Elle continua d’enlacer le cadavre, en se balançant en rythme, comme si elle était en train de chanter une berceuse à un nouveau-né. Une chanson muette, car les larmes coulaient dans sa gorge, lui étouffant la voix.

Tradabordo a dit…

Ses larmes tombaient sur les mèches ébouriffées de Hox Hendrix qui cachaient ses yeux sans vie. Délicatement, elle lui dégagea le visage pour pouvoir le contempler.

De los labios del fallecido, brotó un macabro vómito que manchó de sangre el vestido de la secretaria. Fue algo súbito, pero ella ni se inmutó. Siguió abrazada al cadáver, balanceándose rítmicamente como si estuviera cantando una nana a un recién nacido. Una canción muda, pues las lágrimas se le escurrían por la garganta ahogándole la voz.

Elle l’aimait. Même si jamais elle n’aurait osé le lui dire. Oui, elle l’avait toujours aimé.
Un vomissement macabre jaillit Des lèvres du défunt qui tâcha [pb de syntaxe… Il vaut mieux que vomissement soit près de la robe…] de sang la robe de la secrétaire. Ce fut quelque chose de soudain, mais elle resta imperturbable. Elle continua d’enlacer le cadavre, en se balançant en rythme, comme si elle était en train de chanter une berceuse à un nouveau-né. Une chanson muette, car les larmes coulaient dans sa gorge, lui étouffant la voix.

Sylvie Lopez a dit…

Ses larmes tombaient sur les mèches ébouriffées de Hox Hendrix qui cachaient ses yeux sans vie. Délicatement, elle lui dégagea le visage pour pouvoir le contempler.

De los labios del fallecido, brotó un macabro vómito que manchó de sangre el vestido de la secretaria. Fue algo súbito, pero ella ni se inmutó. Siguió abrazada al cadáver, balanceándose rítmicamente como si estuviera cantando una nana a un recién nacido. Una canción muda, pues las lágrimas se le escurrían por la garganta ahogándole la voz.

Elle l’aimait. Même si jamais elle n’aurait osé le lui dire. Oui, elle l’avait toujours aimé.
Des lèvres du défunt, jaillit un vomissement macabre qui tâcha de sang la robe de la secrétaire. Ce fut quelque chose de soudain, mais elle resta imperturbable. Elle continua d’enlacer le cadavre, en se balançant en rythme, comme si elle était en train de chanter une berceuse à un nouveau-né. Une chanson muette, car les larmes coulaient dans sa gorge, lui étouffant la voix.

Tradabordo a dit…

Ses larmes tombaient sur les mèches ébouriffées de Hox Hendrix qui cachaient ses yeux sans vie. Délicatement, elle lui dégagea le visage pour pouvoir le contempler. Elle l’aimait. Même si jamais [ou après « n'aurait » ? Essayez et voyez ce que ça donne…] elle n’aurait osé le lui dire. Oui, elle l’avait toujours aimé. Des lèvres du défunt, jaillit un vomissement macabre qui tâcha de sang la robe de la secrétaire. Ce fut quelque chose de [nécessaire ?] soudain, mais elle resta imperturbable. Elle [en reliant les deux phrases avec une simple virgule et en supprimant le « elle » ?] continua d’enlacer le cadavre, en se balançant en rythme, comme si elle était en train de chanter une berceuse à un nouveau-né. Une chanson muette, car les larmes coulaient dans sa gorge, lui étouffant la voix [mal dit].