lundi 28 novembre 2016

Projet Pauline M.G. – phrases 142-147

Ella se limpió la baba del dedo en la casaca y siguió en la misma posición.
—Bueno, pero no dejes de acariciarme el pelo. El Espantajo empezó a impacientarse pero continuó acariciando, despacio, sintiendo el suave roce en cada movimiento. Ella se quedó dormida.
—Ya sabía...
Por un momento pensó en dejarla ahí, durmiendo la yerba, pero se resistió porque cierto remordimiento le empezó a latir en la cabeza. Veía pasar los carros y gracias a la sensación placentera y brumosa del troncho todos los colores le parecían más vivos y la situación más soportable

Traduction temporaire :
Elle essuya son pouce sur sa veste et resta dans la même position.
— D'accord, mais continue à me caresser les cheveux.
Si l’Épouvantail commença à s'impatienter, il n'en continua pas moins ses caresses, lentement, goûtant la douceur de ce contact à chaque mouvement. Elle s'endormit.
— Je le savais...
Un moment, il songea à la laisser là, défoncée par l'herbe, puis renonça. Une sorte de remords commença à lui battre aux tempes. Il voyait passer les voitures et, grâce à l'agréable sensation brumeuse du pétard, toutes les couleurs lui semblaient plus vives et la situation plus supportable.

11 commentaires:

Unknown a dit…

Elle s'essuya le pouce dans sa veste et resta dans la même position.
— D'accord, mais continue à me caresser les cheveux.
L’Épouvantail commença à s'impatienter mais il continua ses caresses, lentement, en sentant la douceur à chaque mouvement. Elle s'endormit.
— Je le savais...
Pendant un instant, il pensa à la laisser là, endormie par le joint, mais il y renonça car un certain remord commença à l'envahir. Il voyait passer les voitures et, grâce à l'agréable sensation brumeuse du pétard, toutes les couleurs lui semblaient plus vives et la situation plus supportable.

Unknown a dit…

Bonjour
J'ai envoyé une proposition de traduction hier mais j'ai peur d'avoir
peut-être fait une mauvaise manip. L'avez-vous bien reçu ?
Bonne journée à vous

Tradabordo a dit…

Elle s'essuya le pouce [ou : « essuya son » ? Voyez ce qui est mieux] dans [« sur » ?] sa veste et resta dans la même position.
— D'accord, mais continue à me caresser les cheveux.
L’Épouvantail commença à s'impatienter [virgule devant « mais » ; déjà dit + là, vous en avez un dans la phrase d'avant] mais il continua ses caresses, lentement, en sentant la douceur à chaque mouvement [pas exactement ce qui dit la V.O.]. Elle s'endormit.
— Je le savais...
Pendant [nécessaire ?] un instant, il pensa à la laisser là, endormie par [naturel ?] le joint, mais [X3] il y [« il y » : nécessaire ?] renonça car un certain [mal dit] remord commença à l'envahir. Il voyait passer les voitures et, grâce à l'agréable sensation brumeuse du pétard, toutes les couleurs lui semblaient plus vives et [une simple virgule ?] la situation plus supportable.

Unknown a dit…

Elle essuya son pouce sur sa veste et resta dans la même position.
— D'accord, mais continue à me caresser les cheveux.
L’Épouvantail commença à s'impatienter pourtant il continua ses caresses, lentement, profitant de ce doux contact à chaque mouvement. Elle s'endormit.
— Je le savais...
Pendant un instant, il pensa à la laisser là, défoncée par le joint, mais renonça car une sorte de remord commença à l'envahir. Il voyait passer les voitures et, grâce à l'agréable sensation brumeuse du pétard, toutes les couleurs lui semblaient plus vives et la situation plus supportable.

Tradabordo a dit…

Elle essuya son pouce sur sa veste et resta dans la même position.
— D'accord, mais continue à me caresser les cheveux.
[Commencez la phrase par « si »… et enchaînez avec « n'en continua pas moins de …»] L’Épouvantail commença à s'impatienter pourtant il continua ses caresses, lentement,

Je regarderai la suite quand cela sera changé.

profitant de ce doux contact à chaque mouvement. Elle s'endormit.
— Je le savais...
Pendant un instant, il pensa à la laisser là, défoncée par le joint, mais renonça car une sorte de remord commença à l'envahir. Il voyait passer les voitures et, grâce à l'agréable sensation brumeuse du pétard, toutes les couleurs lui semblaient plus vives et la situation plus supportable.

Unknown a dit…

Elle essuya son pouce sur sa veste et resta dans la même position.
— D'accord, mais continue à me caresser les cheveux.
Si l’Épouvantail commença à s'impatienter il n'en continua pas moins ses caresses, lentement, profitant de la douceur de ce contact à chaque mouvement. Elle s'endormit.
— Je le savais...
Pendant un instant, il songea à la laisser là, défoncée par le joint, mais renonça car une sorte de remord commença à l'envahir. Il voyait passer les voitures et, grâce à l'agréable sensation brumeuse du pétard, toutes les couleurs lui semblaient plus vives et la situation plus supportable.

Tradabordo a dit…

Elle essuya son pouce sur sa veste et resta dans la même position.
— D'accord, mais continue à me caresser les cheveux.
Si l’Épouvantail commença à s'impatienter [virgule] il n'en continua pas moins ses caresses, lentement, profitant de [« goûtant » ?] la douceur de ce contact à chaque mouvement. Elle s'endormit.
— Je le savais...

Por un momento pensó en dejarla ahí, durmiendo la yerba, pero se resistió porque cierto remordimiento le empezó a latir en la cabeza. Veía pasar los carros y gracias a la sensación placentera y brumosa del troncho todos los colores le parecían más vivos y la situación más soportable

Pendant un instant [je me demande si c'est la bonne durée], il songea à la laisser là, défoncée par le joint [pourquoi pas « herbe » ?], mais [juste : « puis » ?] renonça car [un simple point ?] une sorte de remord commença à l'envahir [pas ce que dit la V.O.]. Il voyait passer les voitures et, grâce à l'agréable sensation brumeuse du pétard, toutes les couleurs lui semblaient plus vives et la situation plus supportable.

Unknown a dit…

Elle essuya son pouce sur sa veste et resta dans la même position.
— D'accord, mais continue à me caresser les cheveux.
Si l’Épouvantail commença à s'impatienter, il n'en continua pas moins ses caresses, lentement, goûtant la douceur de ce contact à chaque mouvement. Elle s'endormit.
— Je le savais...
Pendant un moment, il songea à la laisser là, défoncée par l'herbe, puis renonça. Une sorte de remord commença à lui battre aux tempes. Il voyait passer les voitures et, grâce à l'agréable sensation brumeuse du pétard, toutes les couleurs lui semblaient plus vives et la situation plus supportable.

Tradabordo a dit…

Elle essuya son pouce sur sa veste et resta dans la même position.
— D'accord, mais continue à me caresser les cheveux.
Si l’Épouvantail commença à s'impatienter, il n'en continua pas moins ses caresses, lentement, goûtant la douceur de ce contact à chaque mouvement. Elle s'endormit.
— Je le savais...
Pendant [nécessaire ?] un moment, il songea à la laisser là, défoncée par [j'hésite sur le « par » ; vérifiez… Je ne dis pas que c'est faux…] l'herbe, puis [nécessaire ?] renonça. Une sorte de remord [orth] commença à lui battre aux tempes. Il voyait passer les voitures et, grâce à l'agréable sensation brumeuse du pétard, toutes les couleurs lui semblaient plus vives et la situation plus supportable.

Unknown a dit…

Bonjour
Pour le "défoncée par l'herbe" il existe aussi la formule "défoncée à l'herbe" mais ça n'aurait pas le même sens ; plus précisément, on perdrait ici le lien avec le pétard qu'ils viennent de fumer et qui est la cause de son état. On aurait alors une rupture dans le déroulement, dans la suite logique de l'histoire.

Elle essuya son pouce sur sa veste et resta dans la même position.
— D'accord, mais continue à me caresser les cheveux.
Si l’Épouvantail commença à s'impatienter, il n'en continua pas moins ses caresses, lentement, goûtant la douceur de ce contact à chaque mouvement. Elle s'endormit.
— Je le savais...
Un moment, il songea à la laisser là, défoncée par l'herbe, puis renonça. Une sorte de remords commença à lui battre aux tempes. Il voyait passer les voitures et, grâce à l'agréable sensation brumeuse du pétard, toutes les couleurs lui semblaient plus vives et la situation plus supportable.

Tradabordo a dit…

Elle essuya son pouce sur sa veste et resta dans la même position.
— D'accord, mais continue à me caresser les cheveux.
Si l’Épouvantail commença à s'impatienter, il n'en continua pas moins ses caresses, lentement, goûtant la douceur de ce contact à chaque mouvement. Elle s'endormit.
— Je le savais...
Un moment, il songea à la laisser là, défoncée par l'herbe, puis renonça. Une sorte de remords commença à lui battre aux tempes. Il voyait passer les voitures et, grâce à l'agréable sensation brumeuse du pétard, toutes les couleurs lui semblaient plus vives et la situation plus supportable.

OK.