vendredi 18 novembre 2016

Projet Marjorie / Maïté – phrases 27-31

-Hay dos guapos mozos que en cada personaje ven un retrato de una persona que conocen.
-Pues dale un coscorrón a cada uno de esos guapos mozos, para que aprendan a ver la falta y no el culpable, y para que sean más nobles y no crean tan bajo al autor.
-Señor, señor, veo a dos que están a punto de desafiarse, porque el uno dice que el autor es frío, y el otro que demasiado caliente.
-Déjalos que se rompan las narices, que los dos piden peras al olmo.
Habló después el muchacho de infinidad de tipos, que no dejaron de servirme de diversión: poetas que jamás han escrito un verso, literatos que ¡Dios nos asista!, críticos ignorantes que hallaban un defecto en el perfil de cada letra, y amigos desconsiderados que todo lo aplaudían; finalmente dijo:

Traduction temporaire :
— Eh bien donne un coup sur la tête à chacun de ces adorables jeunes hommes pour qu’ils apprennent à voir la faute et non le coupable et qu’ainsi plus nobles, ils ne rabaissent pas autant l’auteur.
— Monsieur, Monsieur, j’en vois deux sur le point de se défier. Il y en a un qui affirme que l’auteur est froid et l’autre qu’il est trop chaud.
— Laisse-les se bouffer le nez, les deux demandent la lune.
Ensuite, le gamin parla d’une quantité infinie de types qui n’ont pas arrêté de me distraire : des poètes n’ayant jamais écrit un vers, des lettreux qui… – Dieu nous vienne en aide ! –, des critiques ignorants qui objectaient sur la moindre lettre et des amis malotrus qui applaudissaient tout et rien ; finalement, il dit :

35 commentaires:

Maymay a dit…

- Il y a deux beaux jeunes hommes qui, dans chaque portrait, voient une personne qu’ils connaissent.
- Et bien donne un coup sur la tête à chacun de ces adorables chenapans pour qu’ils apprennent à voir la poutre dans leur œil et non la paille dans celui de leur voisin et qu’ainsi ils soient plus nobles et ne rabaissent pas autant l’auteur.
- Monsieur, Monsieur, j’en vois deux sur le point de se défier parce qu’il y en a un qui dit que l’auteur est froid et l’autre qu’il est trop chaud.
Ensuite, le gamin parla d’une quantité infinie de types qui n’ont pas arrêté de me servir de distraction : des poètes qui n’ont jamais écrit un vers, des littéraires qui, que Dieu nous vienne en aide !, des critiques ignorants qui trouvaient un défaut dans le profil de chaque lettre et des amis malotrus qui applaudissaient tout et rien ; finalement, il dit :


Maïté

Tradabordo a dit…

Les tirets longs pour les dialogues :

Maymay a dit…

— Il y a deux beaux jeunes hommes qui, dans chaque portrait, voient une personne qu’ils connaissent.
— Et bien donne un coup sur la tête à chacun de ces adorables chenapans pour qu’ils apprennent à voir la poutre dans leur œil et non la paille dans celui de leur voisin et qu’ainsi ils soient plus nobles et ne rabaissent pas autant l’auteur.
— Monsieur, Monsieur, j’en vois deux sur le point de se défier parce qu’il y en a un qui dit que l’auteur est froid et l’autre qu’il est trop chaud.
Ensuite, le gamin parla d’une quantité infinie de types qui n’ont pas arrêté de me servir de distraction : des poètes qui n’ont jamais écrit un vers, des littéraires qui, que Dieu nous vienne en aide !, des critiques ignorants qui trouvaient un défaut dans le profil de chaque lettre et des amis malotrus qui applaudissaient tout et rien ; finalement, il dit :

Maïté

Tradabordo a dit…

— Il y a deux beaux jeunes hommes qui, dans chaque portrait [si tu le places ailleurs, tu pourras éviter les deux virgules / ça casse le rythme], voient une personne qu’ils connaissent.
— Et [ortho] bien donne un coup sur la tête à chacun de ces adorables chenapans [la répétition en V.O. est volontaire] pour qu’ils apprennent à voir la poutre dans leur œil et non la paille dans celui de leur voisin [tu as vérifié que c'est la même expression ? Je ne dis pas que c'est faux ; juste : je préfère qu'on ne s'en tienne pas à l'intuition] et qu’ainsi ils soient [nécessaire ?] plus nobles et [« , ils »] ne rabaissent pas autant l’auteur.
— Monsieur, Monsieur, j’en vois deux sur le point de se défier parce qu’[ou juste un point ?]il y en a un qui dit [change de verbe] que l’auteur est froid et l’autre qu’il est trop chaud.

Maymay a dit…

— Dans chaque portrait, il y a deux beaux jeunes hommes qui voient une personne qu’ils connaissent.
— Eh bien donne un coup sur la tête à chacun de ces adorables gamins pour qu’ils apprennent à voir la faute et non le coupable et qu’ainsi ils soient plus nobles et ils ne rabaissent pas autant l’auteur.
— Monsieur, Monsieur, j’en vois deux sur le point de se défier. Il y en a un qui affirme que l’auteur est froid et l’autre qu’il est trop chaud.
Ensuite, le gamin parla d’une quantité infinie de types qui n’ont pas arrêté de me servir de distraction : des poètes qui n’ont jamais écrit un vers, des littéraires qui, que Dieu nous vienne en aide !, des critiques ignorants qui trouvaient un défaut dans le profil de chaque lettre et des amis malotrus qui applaudissaient tout et rien ; finalement, il dit :

nb: j'ai changé "voir la paille dans l'oeil du voisin mais pas la poutre dans le sien" car si c'est ce qu'avait voulu dire l'auteur il aurait utilisé le même proverbe en espagnol qui pour le coup est une traduction casi littérale (ver la paja en el ojo ajeno y no la viga en el suyo)!

Maïté

Tradabordo a dit…

— Dans chaque portrait, il y a deux beaux jeunes hommes qui voient une personne qu’ils connaissent [je me demande si tu ne changes pas le texte… Reviens à ce que tu as fait avant, mais déplace moins radicalement le bout qui posait pb].
— Eh bien donne un coup sur la tête à chacun de ces adorables gamins [cf mon commentaire précédent sur la répétition] pour qu’ils apprennent à voir la faute et non le coupable et qu’ainsi [virgule ?] ils soient [supprime ici] plus nobles et ils ne rabaissent pas autant l’auteur.
— Monsieur, Monsieur, j’en vois deux sur le point de se défier. Il y en a un qui affirme que l’auteur est froid et l’autre qu’il est trop chaud.

Maymay a dit…

— Il y a deux beaux jeunes hommes qui voient en chaque personnage un portrait d’une personne qu’ils connaissent.
— Eh bien donne un coup sur la tête à chacun de ces adorables jeunes hommes pour qu’ils apprennent à voir la faute et non le coupable et qu’ainsi, ils soient 1 plus nobles et ils ne rabaissent pas autant l’auteur.
— Monsieur, Monsieur, j’en vois deux sur le point de se défier. Il y en a un qui affirme que l’auteur est froid et l’autre qu’il est trop chaud.
Ensuite, le gamin parla d’une quantité infinie de types qui n’ont pas arrêté de me servir de distraction : des poètes qui n’ont jamais écrit un vers, des littéraires qui, que Dieu nous vienne en aide !, des critiques ignorants qui trouvaient un défaut dans le profil de chaque lettre et des amis malotrus qui applaudissaient tout et rien ; finalement, il dit :

1 [supprime ici] j’ai pas compris ce que je devais supprimer !!

Maïté

Tradabordo a dit…

J'ai opéré la correction du morceau que tu ne comprenais pas.

— Il y a deux beaux jeunes hommes qui voient en chaque personnage un portrait d’une personne [pas mieux avec « quelqu'un » ?] qu’ils connaissent.
— Eh bien donne un coup sur la tête à chacun de ces adorables jeunes hommes pour qu’ils apprennent à voir la faute et non le coupable et qu’ainsi plus nobles, ils ne rabaissent pas autant l’auteur.
— Monsieur, Monsieur, j’en vois deux sur le point de se défier. Il y en a un qui affirme que l’auteur est froid et l’autre qu’il est trop chaud.

Réglons complètement ce fragment et après, on passe à la suite.

Maymay a dit…

— Il y a deux beaux jeunes hommes qui voient en chaque personnage un portrait de quelqu’un qu’ils connaissent.
— Eh bien donne un coup sur la tête à chacun de ces adorables jeunes hommes pour qu’ils apprennent à voir la faute et non le coupable et qu’ainsi plus nobles, ils ne rabaissent pas autant l’auteur.
— Monsieur, Monsieur, j’en vois deux sur le point de se défier. Il y en a un qui affirme que l’auteur est froid et l’autre qu’il est trop chaud.
Ensuite, le gamin parla d’une quantité infinie de types qui n’ont pas arrêté de me servir de distraction : des poètes qui n’ont jamais écrit un vers, des littéraires qui, que Dieu nous vienne en aide !, des critiques ignorants qui trouvaient un défaut dans le profil de chaque lettre et des amis malotrus qui applaudissaient tout et rien ; finalement, il dit :

Maïté

Tradabordo a dit…

— Il y a deux beaux jeunes hommes qui voient en chaque personnage un portrait de quelqu’un qu’ils connaissent.
— Eh bien donne un coup sur la tête à chacun de ces adorables jeunes hommes pour qu’ils apprennent à voir la faute et non le coupable et qu’ainsi plus nobles, ils ne rabaissent pas autant l’auteur.
— Monsieur, Monsieur, j’en vois deux sur le point de se défier. Il y en a un qui affirme que l’auteur est froid et l’autre qu’il est trop chaud.

Il manque un bout là, non ?

Ensuite, le gamin parla d’une quantité infinie de types qui n’ont pas arrêté de me servir de distraction : des poètes qui n’ont jamais écrit un vers, des littéraires qui, que Dieu nous vienne en aide !, des critiques ignorants qui trouvaient un défaut dans le profil de chaque lettre et des amis malotrus qui applaudissaient tout et rien ; finalement, il dit :

Maymay a dit…

— Il y a deux beaux jeunes hommes qui voient en chaque personnage un portrait de quelqu’un qu’ils connaissent.
— Eh bien donne un coup sur la tête à chacun de ces adorables jeunes hommes pour qu’ils apprennent à voir la faute et non le coupable et qu’ainsi plus nobles, ils ne rabaissent pas autant l’auteur.
— Monsieur, Monsieur, j’en vois deux sur le point de se défier. Il y en a un qui affirme que l’auteur est froid et l’autre qu’il est trop chaud.
— Laisse-les se bouffer le nez, les deux demandent la lune.
Ensuite, le gamin parla d’une quantité infinie de types qui n’ont pas arrêté de me servir de distraction : des poètes qui n’ont jamais écrit un vers, des littéraires qui, que Dieu nous vienne en aide !, des critiques ignorants qui trouvaient un défaut dans le profil de chaque lettre et des amis malotrus qui applaudissaient tout et rien ; finalement, il dit :

Maïté

Tradabordo a dit…

— Il y a deux beaux jeunes hommes qui voient en chaque personnage un portrait de quelqu’un qu’ils connaissent.
— Eh bien donne un coup sur la tête à chacun de ces adorables jeunes hommes pour qu’ils apprennent à voir la faute et non le coupable et qu’ainsi plus nobles, ils ne rabaissent pas autant l’auteur.
— Monsieur, Monsieur, j’en vois deux sur le point de se défier. Il y en a un qui affirme que l’auteur est froid et l’autre qu’il est trop chaud.

-Déjalos que se rompan las narices, que los dos piden peras al olmo.
Habló después el muchacho de infinidad de tipos, que no dejaron de servirme de diversión: poetas que jamás han escrito un verso, literatos que ¡Dios nos asista!, críticos ignorantes que hallaban un defecto en el perfil de cada letra, y amigos desconsiderados que todo lo aplaudían; finalmente dijo:

— Laisse-les se bouffer le nez [tu as bien vérifié + registre ?], les deux [pas très fluide / naturel] demandent la lune.
Ensuite, le gamin parla d’une quantité infinie de types qui n’ont pas arrêté de me servir [mal dit] de distraction :

Fais déjà ça.

des poètes qui n’ont jamais écrit un vers, des littéraires qui, que Dieu nous vienne en aide !, des critiques ignorants qui trouvaient un défaut dans le profil de chaque lettre et des amis malotrus qui applaudissaient tout et rien ; finalement, il dit :

Maymay a dit…

— Il y a deux beaux jeunes hommes qui voient en chaque personnage un portrait de quelqu’un qu’ils connaissent.
— Eh bien donne un coup sur la tête à chacun de ces adorables jeunes hommes pour qu’ils apprennent à voir la faute et non le coupable et qu’ainsi plus nobles, ils ne rabaissent pas autant l’auteur.
— Monsieur, Monsieur, j’en vois deux sur le point de se défier. Il y en a un qui affirme que l’auteur est froid et l’autre qu’il est trop chaud.
— Laisse-les se chamailler, ils demandent la lune.
Ensuite, le gamin parla d’une quantité infinie de types qui n’ont pas arrêté de me distraire :

des poètes qui n’ont jamais écrit un vers, des littéraires qui, que Dieu nous vienne en aide !, des critiques ignorants qui trouvaient un défaut dans le profil de chaque lettre et des amis malotrus qui applaudissaient tout et rien ; finalement, il dit :

Maïté

Tradabordo a dit…

— Il y a deux beaux jeunes hommes qui voient en chaque personnage un portrait de quelqu’un qu’ils connaissent.
— Eh bien donne un coup sur la tête à chacun de ces adorables jeunes hommes pour qu’ils apprennent à voir la faute et non le coupable et qu’ainsi plus nobles, ils ne rabaissent pas autant l’auteur.
— Monsieur, Monsieur, j’en vois deux sur le point de se défier. Il y en a un qui affirme que l’auteur est froid et l’autre qu’il est trop chaud.
— Laisse-les se chamailler, ils demandent la lune.
Ensuite, le gamin parla d’une quantité infinie de types qui n’ont pas arrêté de me distraire :

des poètes qui n’ont jamais écrit un vers, des littéraires [« lettreux » ?] qui [du coup, ça s'enchaîne avec quoi ?], que Dieu nous vienne en aide !, des critiques ignorants qui trouvaient un défaut dans le profil de chaque lettre et des amis malotrus qui applaudissaient tout et rien ; finalement, il dit :

Maymay a dit…

— Il y a deux beaux jeunes hommes qui voient en chaque personnage un portrait de quelqu’un qu’ils connaissent.
— Eh bien donne un coup sur la tête à chacun de ces adorables jeunes hommes pour qu’ils apprennent à voir la faute et non le coupable et qu’ainsi plus nobles, ils ne rabaissent pas autant l’auteur.
— Monsieur, Monsieur, j’en vois deux sur le point de se défier. Il y en a un qui affirme que l’auteur est froid et l’autre qu’il est trop chaud.
—Laisse-les se bouffer le nez, les deux demandent la lune.

Ensuite, le gamin parla d’une quantité infinie de types qui n’ont pas arrêté de me servir de distraction : des poètes qui n’ont jamais écrit un vers, des lettreux qui… Dieu nous vienne en aide !, des critiques ignorants qui trouvaient un défaut dans le profil de chaque lettre et des amis malotrus qui applaudissaient tout et rien ; finalement, il dit :

(c'est mieux comme ça, en supprimant le "que" et en mettant des points de suspension?? je trouve que c'est plus naturel mais dis-moi!)

Maïté

Tradabordo a dit…

Demande son avis à Elena… car c'est le sens qui me pose pb.

Elena a dit…

Bonjour,
Je me permets deux suggestions que voici :

— Il y a deux beaux jeunes hommes qui voient en chaque personnage un portrait de quelqu’un qu’ils connaissent.
— Eh bien donne un coup sur la tête à chacun de ces adorables jeunes hommes pour qu’ils apprennent à voir la faute et non le coupable et qu’ainsi [Virgule ?] plus nobles, ils ne rabaissent pas autant l’auteur.
— Monsieur, Monsieur, j’en vois deux sur le point de se défier. Il y en a un qui affirme que l’auteur est froid et l’autre qu’il est trop chaud.
—Laisse-les se bouffer le nez, les deux demandent la lune.

Ensuite, le gamin parla d’une quantité infinie de types qui n’ont pas arrêté de me servir de distraction : des poètes qui n’ont jamais écrit un vers, des lettreux qui… Dieu nous vienne en aide ! ["des lettreux qui…, mon Dieu !"], des critiques ignorants qui trouvaient un défaut dans le profil de chaque lettre et des amis malotrus qui applaudissaient tout et rien ; finalement, il dit :

Maymay a dit…

— Il y a deux beaux jeunes hommes qui voient en chaque personnage un portrait de quelqu’un qu’ils connaissent.
— Eh bien donne un coup sur la tête à chacun de ces adorables jeunes hommes pour qu’ils apprennent à voir la faute et non le coupable et qu’ainsi, plus nobles, ils ne rabaissent pas autant l’auteur.
— Monsieur, Monsieur, j’en vois deux sur le point de se défier. Il y en a un qui affirme que l’auteur est froid et l’autre qu’il est trop chaud.
—Laisse-les se bouffer le nez, les deux demandent la lune.

Ensuite, le gamin parla d’une quantité infinie de types qui n’ont pas arrêté de me servir de distraction : des poètes qui n’ont jamais écrit un vers, des lettreux qui… Dieu nous vienne en aide ! ["des lettreux qui…, mon Dieu !"], des critiques ignorants qui trouvaient un défaut dans le profil de chaque lettre et des amis malotrus qui applaudissaient tout et rien ; finalement, il dit :
Et que penserais-tu d’une construction comme : des lettreux… oh, mon dieu ! ainsi, on garde le sens et la construction syntaxique en français est plus fluide non ?


Maïté

Tradabordo a dit…

Non, pas le virgule proposée par Elena… Tu changes le sens.

Pour le reste, propose-moi les deux solutions complètes, que je puisse comparer.

Maymay a dit…

— Eh bien donne un coup sur la tête à chacun de ces adorables jeunes hommes pour qu’ils apprennent à voir la faute et non le coupable et qu’ainsi plus nobles, ils ne rabaissent pas autant l’auteur.
— Monsieur, Monsieur, j’en vois deux sur le point de se défier. Il y en a un qui affirme que l’auteur est froid et l’autre qu’il est trop chaud.
—Laisse-les se bouffer le nez, les deux demandent la lune.

Proposition 1 : Ensuite, le gamin parla d’une quantité infinie de types qui n’ont pas arrêté de me servir de distraction : des poètes qui n’ont jamais écrit un vers, des lettreux qui… Dieu nous vienne en aide !, des critiques ignorants qui trouvaient un défaut dans le profil de chaque lettre et des amis malotrus qui applaudissaient tout et rien ; finalement, il dit :

Proposition 2 : Ensuite, le gamin parla d’une quantité infinie de types qui n’ont pas arrêté de me servir de distraction : des poètes qui n’ont jamais écrit un vers, des lettreux qui…, mon Dieu !, des critiques ignorants qui trouvaient un défaut dans le profil de chaque lettre et des amis malotrus qui applaudissaient tout et rien ; finalement, il dit :
Proposition 3 : Ensuite, le gamin parla d’une quantité infinie de types qui n’ont pas arrêté de me servir de distraction : des poètes qui n’ont jamais écrit un vers, des lettreux… oh, mon Dieu !"], des critiques ignorants qui trouvaient un défaut dans le profil de chaque lettre et des amis malotrus qui applaudissaient tout et rien ; finalement, il dit :

NB: je t'en propose trois! j'avoue que ce petit passage n'est pas facile du tout!

Maïté

Tradabordo a dit…

Remets-moi aussi l'espagnol.

Maymay a dit…

-Hay dos guapos mozos que en cada personaje ven un retrato de una persona que conocen.
-Pues dale un coscorrón a cada uno de esos guapos mozos, para que aprendan a ver la falta y no el culpable, y para que sean más nobles y no crean tan bajo al autor.
-Señor, señor, veo a dos que están a punto de desafiarse, porque el uno dice que el autor es frío, y el otro que demasiado caliente.
-Déjalos que se rompan las narices, que los dos piden peras al olmo.
Habló después el muchacho de infinidad de tipos, que no dejaron de servirme de diversión: poetas que jamás han escrito un verso, literatos que ¡Dios nos asista!, críticos ignorantes que hallaban un defecto en el perfil de cada letra, y amigos desconsiderados que todo lo aplaudían; finalmente dijo:

— Il y a deux beaux jeunes hommes qui voient en chaque personnage un portrait de quelqu’un qu’ils connaissent.
— Eh bien donne un coup sur la tête à chacun de ces adorables jeunes hommes pour qu’ils apprennent à voir la faute et non le coupable et qu’ainsi plus nobles, ils ne rabaissent pas autant l’auteur.
— Monsieur, Monsieur, j’en vois deux sur le point de se défier. Il y en a un qui affirme que l’auteur est froid et l’autre qu’il est trop chaud.
— Eh bien donne un coup sur la tête à chacun de ces adorables jeunes hommes pour qu’ils apprennent à voir la faute et non le coupable et qu’ainsi plus nobles, ils ne rabaissent pas autant l’auteur.
— Monsieur, Monsieur, j’en vois deux sur le point de se défier. Il y en a un qui affirme que l’auteur est froid et l’autre qu’il est trop chaud.
—Laisse-les se bouffer le nez, les deux demandent la lune.
Proposition 1 : Ensuite, le gamin parla d’une quantité infinie de types qui n’ont pas arrêté de me servir de distraction : des poètes qui n’ont jamais écrit un vers, des lettreux qui… Dieu nous vienne en aide !, des critiques ignorants qui trouvaient un défaut dans le profil de chaque lettre et des amis malotrus qui applaudissaient tout et rien ; finalement, il dit :
Proposition 2 : Ensuite, le gamin parla d’une quantité infinie de types qui n’ont pas arrêté de me servir de distraction : des poètes qui n’ont jamais écrit un vers, des lettreux qui…, mon Dieu !, des critiques ignorants qui trouvaient un défaut dans le profil de chaque lettre et des amis malotrus qui applaudissaient tout et rien ; finalement, il dit :
Proposition 3 : Ensuite, le gamin parla d’une quantité infinie de types qui n’ont pas arrêté de me servir de distraction : des poètes qui n’ont jamais écrit un vers, des lettreux…oh, mon Dieu !"], des critiques ignorants qui trouvaient un défaut dans le profil de chaque lettre et des amis malotrus qui applaudissaient tout et rien ; finalement, il dit :


Maïté

Tradabordo a dit…

Non, mets l'espagnol avant les propositions. Il faut que j'y vois bien clair ;-)

Maymay a dit…

Habló después el muchacho de infinidad de tipos, que no dejaron de servirme de diversión: poetas que jamás han escrito un verso, literatos que ¡Dios nos asista!, críticos ignorantes que hallaban un defecto en el perfil de cada letra, y amigos desconsiderados que todo lo aplaudían; finalmente dijo:
Proposition 1 : Ensuite, le gamin parla d’une quantité infinie de types qui n’ont pas arrêté de me servir de distraction : des poètes qui n’ont jamais écrit un vers, des lettreux qui… Dieu nous vienne en aide !, des critiques ignorants qui trouvaient un défaut dans le profil de chaque lettre et des amis malotrus qui applaudissaient tout et rien ; finalement, il dit :
Proposition 2 : Ensuite, le gamin parla d’une quantité infinie de types qui n’ont pas arrêté de me servir de distraction : des poètes qui n’ont jamais écrit un vers, des lettreux qui…, mon Dieu !, des critiques ignorants qui trouvaient un défaut dans le profil de chaque lettre et des amis malotrus qui applaudissaient tout et rien ; finalement, il dit :
Proposition 3 : Ensuite, le gamin parla d’une quantité infinie de types qui n’ont pas arrêté de me servir de distraction : des poètes qui n’ont jamais écrit un vers, des lettreux…oh, mon Dieu !"], des critiques ignorants qui trouvaient un défaut dans le profil de chaque lettre et des amis malotrus qui applaudissaient tout et rien ; finalement, il dit :

Maïté

Tradabordo a dit…

— Eh bien donne un coup sur la tête à chacun de ces adorables jeunes hommes pour qu’ils apprennent à voir la faute et non le coupable et qu’ainsi plus nobles, ils ne rabaissent pas autant l’auteur.
— Monsieur, Monsieur, j’en vois deux sur le point de se défier. Il y en a un qui affirme que l’auteur est froid et l’autre qu’il est trop chaud.
—Laisse-les se bouffer le nez, les deux demandent la lune.

Habló después el muchacho de infinidad de tipos, que no dejaron de servirme de diversión: poetas que jamás han escrito un verso, literatos que ¡Dios nos asista!, críticos ignorantes que hallaban un defecto en el perfil de cada letra, y amigos desconsiderados que todo lo aplaudían; finalmente dijo:
Proposition 1 : Ensuite, le gamin parla d’une quantité infinie de types qui n’ont pas arrêté de me servir [ce verbe-là ne va pas] de distraction [c'est « servir de distraction qui ne va pas »] : des poètes qui n’ont [« n'ayant »] jamais écrit un vers, des lettreux qui… Dieu nous vienne en aide !, [pas de virgule après un point] des critiques ignorants qui trouvaient un défaut dans le profil de chaque lettre [peu clair] et des amis malotrus [dans le sens de « irrespectueux » ?] qui applaudissaient tout et rien ; finalement, il dit :

Maymay a dit…

— Eh bien donne un coup sur la tête à chacun de ces adorables jeunes hommes pour qu’ils apprennent à voir la faute et non le coupable et qu’ainsi plus nobles, ils ne rabaissent pas autant l’auteur.
— Monsieur, Monsieur, j’en vois deux sur le point de se défier. Il y en a un qui affirme que l’auteur est froid et l’autre qu’il est trop chaud.
—Laisse-les se bouffer le nez, les deux demandent la lune.

Habló después el muchacho de infinidad de tipos, que no dejaron de servirme de diversión: poetas que jamás han escrito un verso, literatos que ¡Dios nos asista!, críticos ignorantes que hallaban un defecto en el perfil de cada letra, y amigos desconsiderados que todo lo aplaudían; finalmente dijo:

Ensuite, le gamin parla d’une quantité infinie de types qui n’ont pas arrêté de me distraire : des poètes qui n’ont jamais écrit un vers, des lettreux qui… Dieu nous vienne en aide ! des critiques ignorants qui trouvaient un défaut dans le profil de chaque mot et des amis malotrus qui applaudissaient tout et rien ; finalement, il dit :


Oui, « malotrus » dans le sens d’irrespectueux. Et j’ai laissé « n’ont jamais écrit un vers » parce qu’avec « n’ayant », selon moi, ça change le sens de la phrase.


Maïté

Tradabordo a dit…

— Eh bien donne un coup sur la tête à chacun de ces adorables jeunes hommes pour qu’ils apprennent à voir la faute et non le coupable et qu’ainsi plus nobles, ils ne rabaissent pas autant l’auteur.
— Monsieur, Monsieur, j’en vois deux sur le point de se défier. Il y en a un qui affirme que l’auteur est froid et l’autre qu’il est trop chaud.
—[espace]Laisse-les se bouffer le nez, les deux demandent la lune.

Habló después el muchacho de infinidad de tipos, que no dejaron de servirme de diversión: poetas que jamás han escrito un verso, literatos que ¡Dios nos asista!, críticos ignorantes que hallaban un defecto en el perfil de cada letra, y amigos desconsiderados que todo lo aplaudían; finalmente dijo:

Ensuite, le gamin parla d’une quantité infinie de types qui n’ont pas arrêté de me distraire : des poètes qui n’ont [cf mon commentaire précédent] jamais écrit un vers, des lettreux qui… Dieu nous vienne en aide ! des critiques ignorants qui trouvaient un défaut dans le profil de chaque mot [perso, je ne vois pas le sens / explique… on verra ensuite ce qu'on en fait pour le trad] et des amis malotrus qui applaudissaient tout et rien ; finalement, il dit :


Oui, « malotrus » dans le sens d’irrespectueux. Et j’ai laissé « n’ont jamais écrit un vers » parce qu’avec « n’ayant », selon moi, ça change le sens de la phrase.

Maymay a dit…

— Eh bien donne un coup sur la tête à chacun de ces adorables jeunes hommes pour qu’ils apprennent à voir la faute et non le coupable et qu’ainsi plus nobles, ils ne rabaissent pas autant l’auteur.
— Monsieur, Monsieur, j’en vois deux sur le point de se défier. Il y en a un qui affirme que l’auteur est froid et l’autre qu’il est trop chaud.
— Laisse-les se bouffer le nez, les deux demandent la lune.

Habló después el muchacho de infinidad de tipos, que no dejaron de servirme de diversión: poetas que jamás han escrito un verso, literatos que ¡Dios nos asista!, críticos ignorantes que hallaban un defecto en el perfil de cada letra, y amigos desconsiderados que todo lo aplaudían; finalmente dijo:

Ensuite, le gamin parla d’une quantité infinie de types qui n’ont pas arrêté de me distraire : des poètes qui n’ont [j’ai laissé « n’ont jamais écrit un vers » parce qu’avec « n’ayant », selon moi, ça change le sens de la phrase] jamais écrit un vers, des lettreux qui… Dieu nous vienne en aide ! des critiques ignorants qui trouvaient un défaut dans le profil de chaque mot [je le comprends comme si le moindre détail était sujet à critique] et des amis malotrus qui applaudissaient tout et rien ; finalement, il dit :


Maïté

Maymay a dit…

— Eh bien donne un coup sur la tête à chacun de ces adorables jeunes hommes pour qu’ils apprennent à voir la faute et non le coupable et qu’ainsi plus nobles, ils ne rabaissent pas autant l’auteur.
— Monsieur, Monsieur, j’en vois deux sur le point de se défier. Il y en a un qui affirme que l’auteur est froid et l’autre qu’il est trop chaud.
— Laisse-les se bouffer le nez, les deux demandent la lune.

Habló después el muchacho de infinidad de tipos, que no dejaron de servirme de diversión: poetas que jamás han escrito un verso, literatos que ¡Dios nos asista!, críticos ignorantes que hallaban un defecto en el perfil de cada letra, y amigos desconsiderados que todo lo aplaudían; finalmente dijo:

Ensuite, le gamin parla d’une quantité infinie de types qui n’ont pas arrêté de me distraire : des poètes qui n’ont [j’ai laissé « n’ont jamais écrit un vers » parce qu’avec « n’ayant », selon moi, ça change le sens de la phrase] jamais écrit un vers, des lettreux qui… Dieu nous vienne en aide ! des critiques ignorants qui trouvaient un défaut dans le profil de chaque mot [je le comprends comme si le moindre détail était sujet à critique] et des amis malotrus qui applaudissaient tout et rien ; finalement, il dit :


Maïté
(je reposte comme ça fait un petit moment!! )

Tradabordo a dit…

— Eh bien donne un coup sur la tête à chacun de ces adorables jeunes hommes pour qu’ils apprennent à voir la faute et non le coupable et qu’ainsi plus nobles, ils ne rabaissent pas autant l’auteur.
— Monsieur, Monsieur, j’en vois deux sur le point de se défier. Il y en a un qui affirme que l’auteur est froid et l’autre qu’il est trop chaud.
— Laisse-les se bouffer le nez, les deux demandent la lune.

Habló después el muchacho de infinidad de tipos, que no dejaron de servirme de diversión: poetas que jamás han escrito un verso, literatos que ¡Dios nos asista!, críticos ignorantes que hallaban un defecto en el perfil de cada letra, y amigos desconsiderados que todo lo aplaudían; finalmente dijo:

Ensuite, le gamin parla d’une quantité infinie de types qui n’ont pas arrêté de me distraire : des poètes qui n’ont [j’ai laissé « n’ont jamais écrit un vers » parce qu’avec « n’ayant », selon moi, ça change le sens de la phrase / Pourquoi ? De toute façon, tu as déjà « qui n'ont » dans la phrase d'avant…] jamais écrit un vers, des lettreux qui… Dieu nous vienne en aide ! des critiques ignorants qui trouvaient un défaut dans le profil de chaque mot [je le comprends comme si le moindre détail était sujet à critique / je demande son avis à Elena] et des amis malotrus qui applaudissaient tout et rien ; finalement, il dit :

Elena a dit…

C'est dans le sens de "chercher la petite bête dans chaque lettre"

Maymay a dit…

Ok, on attend la réponse d'Elena! Merci.

Tradabordo a dit…

Vos messages se sont croisés. Merci Elena. à toi de jouer, Maymay.

Maymay a dit…

— Eh bien donne un coup sur la tête à chacun de ces adorables jeunes hommes pour qu’ils apprennent à voir la faute et non le coupable et qu’ainsi plus nobles, ils ne rabaissent pas autant l’auteur.
— Monsieur, Monsieur, j’en vois deux sur le point de se défier. Il y en a un qui affirme que l’auteur est froid et l’autre qu’il est trop chaud.
— Laisse-les se bouffer le nez, les deux demandent la lune.

Habló después el muchacho de infinidad de tipos, que no dejaron de servirme de diversión: poetas que jamás han escrito un verso, literatos que ¡Dios nos asista!, críticos ignorantes que hallaban un defecto en el perfil de cada letra, y amigos desconsiderados que todo lo aplaudían; finalmente dijo:

Ensuite, le gamin parla d’une quantité infinie de types qui n’ont pas arrêté de me distraire : des poètes n’ayant jamais écrit un vers, des lettreux qui… Dieu nous vienne en aide ! des critiques ignorants qui objectaient sur la moindre lettre et des amis malotrus qui applaudissaient tout et rien ; finalement, il dit :

Maïté

Tradabordo a dit…

— Eh bien donne un coup sur la tête à chacun de ces adorables jeunes hommes pour qu’ils apprennent à voir la faute et non le coupable et qu’ainsi plus nobles, ils ne rabaissent pas autant l’auteur.
— Monsieur, Monsieur, j’en vois deux sur le point de se défier. Il y en a un qui affirme que l’auteur est froid et l’autre qu’il est trop chaud.
— Laisse-les se bouffer le nez, les deux demandent la lune.
Ensuite, le gamin parla d’une quantité infinie de types qui n’ont pas arrêté de me distraire : des poètes n’ayant jamais écrit un vers, des lettreux qui… – Dieu nous vienne en aide ! –, des critiques ignorants qui objectaient sur la moindre lettre et des amis malotrus qui applaudissaient tout et rien ; finalement, il dit :

Pour l'instant, ça ira. Je pense qu'on devra y revenir au moment de la relecture.