samedi 19 novembre 2016

Projet Rachel / Sébastien – phrases 106-114

Observo cómo Danny se baja las mangas de la camiseta, señal de que tiene algo de frío. Lo hace con las dos mangas, aunque solo uno de sus brazos es biológico; el otro es una prótesis. Ese tipo de detalles es lo que más me choca de los humanos; su incapacidad para desprenderse de antiguos hábitos. Para desprenderse, al fin y al cabo, de sus limitaciones biológicas. O, al menos, la ausencia de intención para hacerlo.
Se le escapa un bostezo y se dirige al cuarto de baño. Está allí dentro unos minutos. Mientras, sirvo el té y le echo una pizca de azúcar, tal y como a él le gusta. Escucho la cisterna. El correr del agua por el lavabo. Cuando vuelve, se sienta de nuevo en la misma silla.

Traduction temporaire :
J'observe Danny baisser les manches de sa chemise, signe qu'il a un peu froid. Il rabat les deux, même si seul un de ses bras est biologique. L'autre est une prothèse. Ce type de détails est ce qui me choque le plus chez les humains, leur incapacité à se détacher de vieilles habitudes. À se détacher, en fin de compte, de leurs limites biologiques. Ou, du moins, l'absence d'intention de le faire.
Il laisse échapper un bâillement et va dans la salle de bain, où il reste quelques minutes. Pendant ce temps, je sers le thé et y ajoute une pincée de sucre, comme il aime. J'entends la chasse d'eau. Le robinet du lavabo. Quand il revient, il s'assied sur la même chaise.

11 commentaires:

Rachel a dit…

Observo cómo Danny se baja las mangas de la camiseta, señal de que tiene algo de frío. Lo hace con las dos mangas, aunque solo uno de sus brazos es biológico; el otro es una prótesis. Ese tipo de detalles es lo que más me choca de los humanos; su incapacidad para desprenderse de antiguos hábitos. Para desprenderse, al fin y al cabo, de sus limitaciones biológicas. O, al menos, la ausencia de intención para hacerlo.
Se le escapa un bostezo y se dirige al cuarto de baño. Está allí dentro unos minutos. Mientras, sirvo el té y le echo una pizca de azúcar, tal y como a él le gusta. Escucho la cisterna. El correr del agua por el lavabo. Cuando vuelve, se sienta de nuevo en la misma silla.

J'observe Danny baisser les manches de sa chemise, signe qu'il a un peu froid. Il le fait avec ses deux manches, même si seul un de ses bras est biologique. L'autre est une prothèse. Ce type de détail est ce qui me frappe le plus chez les humains, leur incapacité à se détacher de vieilles habitudes. À se détacher, en fin de compte, de leurs limites biologiques. Ou, du moins, l'absence d'intention de le faire.
Il laisse échapper un bâillement et va dans la salle de bain. Il y reste quelques minutes. Pendant ce temps, je sers le thé et y ajoute une pincée de sucre, juste comme il aime. J'entends la chasse d'eau. L'écoulement de l'eau dans le lavabo. Quand il revient, il se rassoit sur la même chaise.

Tradabordo a dit…

J'observe Danny baisser les manches de sa chemise, signe qu'il a un peu froid. Il le fait avec ses deux manches [simplifie, quitte à prendre un peu de distance avec la V.O.], même si seul un de ses bras est biologique. L'autre est une prothèse. Ce type de détail est ce qui me frappe [est-ce vraiment ce que dit la V.O. ?] le plus chez les humains, leur incapacité à se détacher de vieilles habitudes. À se détacher, en fin de compte, de leurs limites biologiques. Ou, du moins, l'absence d'intention de le faire.
Il laisse échapper un bâillement et va dans la salle de bain. Il y [en reliant les deux phrases : « , où il » ?] reste quelques minutes. Pendant ce temps, je sers le thé et y ajoute une pincée de sucre, juste [nécessaire ?] comme il aime. J'entends la chasse d'eau. L'écoulement de l'eau [une répétition qui n'est pas en V.O. / un moyen de contourner ? Sinon, tant pis] dans le lavabo. Quand il revient, il se rassoit [« s'assied » ? + vu que c'est la même, besoin du « re » ?] sur la même chaise.

Rachel a dit…

J'observe Danny baisser les manches de sa chemise, signe qu'il a un peu froid. Il rabat les deux même si seul un de ses bras est biologique. L'autre est une prothèse. Ce type de détail est ce qui me choque le plus chez les humains, leur incapacité à se détacher de vieilles habitudes. À se détacher, en fin de compte, de leurs limites biologiques. Ou, du moins, l'absence d'intention de le faire.
Il laisse échapper un bâillement et va dans la salle de bain, où il reste quelques minutes. Pendant ce temps, je sers le thé et y ajoute une pincée de sucre, comme il aime. J'entends la chasse d'eau. L'écoulement de l'eau [une répétition qui n'est pas en V.O. / un moyen de contourner ? Sinon, tant pis ---> je sèche, à moins de tout changer et de passer par les actions : tirer la chasse d'eau, se laver les mains] dans le lavabo. Quand il revient, il s'assied sur la même chaise.

Tradabordo a dit…

J'observe Danny baisser les manches de sa chemise, signe qu'il a un peu froid. Il rabat les deux [virgule ?] même si seul un de ses bras est biologique. L'autre est une prothèse. Ce type de détail [pluriel ? J'hésite toujours… Vérifie] est ce qui me choque le plus chez les humains, leur incapacité à se détacher de vieilles habitudes. À se détacher, en fin de compte, de leurs limites biologiques. Ou, du moins, l'absence d'intention de le faire.
Il laisse échapper un bâillement et va dans la salle de bain, où il reste quelques minutes. Pendant ce temps, je sers le thé et y ajoute une pincée [au fait : ça se dit pour le sucre aussi ?] de sucre, comme il aime. J'entends la chasse d'eau. L'écoulement de l'eau [une répétition qui n'est pas en V.O. / un moyen de contourner ? Sinon, tant pis ---> je sèche, à moins de tout changer et de passer par les actions : tirer la chasse d'eau, se laver les mains //// Oui, OK. Laisse] dans le lavabo. Quand il revient, il s'assied sur la même chaise.

Rachel a dit…

J'observe Danny baisser les manches de sa chemise, signe qu'il a un peu froid. Il rabat les deux, même si seul un de ses bras est biologique. L'autre est une prothèse. Ce type de détails est ce qui me choque le plus chez les humains, leur incapacité à se détacher de vieilles habitudes. À se détacher, en fin de compte, de leurs limites biologiques. Ou, du moins, l'absence d'intention de le faire.
Il laisse échapper un bâillement et va dans la salle de bain, où il reste quelques minutes. Pendant ce temps, je sers le thé et y ajoute une pincée de sucre, comme il aime. J'entends la chasse d'eau. L'écoulement de l'eau dans le lavabo. Quand il revient, il s'assied sur la même chaise.

Tradabordo a dit…

J'observe Danny baisser les manches de sa chemise, signe qu'il a un peu froid. Il rabat les deux, même si seul un de ses bras est biologique. L'autre est une prothèse. Ce type de détails est ce qui me choque le plus chez les humains, leur incapacité à se détacher de vieilles habitudes. À se détacher, en fin de compte, de leurs limites biologiques. Ou, du moins, l'absence d'intention de le faire.
Il laisse échapper un bâillement et va dans la salle de bain, où il reste quelques minutes. Pendant ce temps, je sers le thé et y ajoute une pincée de sucre, comme il aime. J'entends la chasse d'eau. L'écoulement de l'eau dans le lavabo. Quand il revient, il s'assied sur la même chaise.

OK.

Sébastien ?

Rachel a dit…

Ou alors, je viens d'y penser:

J'entends la chasse d'eau. Le robinet du lavabo. Quand il revient, il s'assied sur la même chaise.

Voilà, pas mieux.

Tradabordo a dit…

Mets-le dans l'ensemble ; sinon, ça ne me dit rien.

Rachel a dit…

Observo cómo Danny se baja las mangas de la camiseta, señal de que tiene algo de frío. Lo hace con las dos mangas, aunque solo uno de sus brazos es biológico; el otro es una prótesis. Ese tipo de detalles es lo que más me choca de los humanos; su incapacidad para desprenderse de antiguos hábitos. Para desprenderse, al fin y al cabo, de sus limitaciones biológicas. O, al menos, la ausencia de intención para hacerlo.
Se le escapa un bostezo y se dirige al cuarto de baño. Está allí dentro unos minutos. Mientras, sirvo el té y le echo una pizca de azúcar, tal y como a él le gusta. Escucho la cisterna. El correr del agua por el lavabo. Cuando vuelve, se sienta de nuevo en la misma silla.

J'observe Danny baisser les manches de sa chemise, signe qu'il a un peu froid. Il rabat les deux, même si seul un de ses bras est biologique. L'autre est une prothèse. Ce type de détails est ce qui me choque le plus chez les humains, leur incapacité à se détacher de vieilles habitudes. À se détacher, en fin de compte, de leurs limites biologiques. Ou, du moins, l'absence d'intention de le faire.
Il laisse échapper un bâillement et va dans la salle de bain, où il reste quelques minutes. Pendant ce temps, je sers le thé et y ajoute une pincée de sucre, comme il aime. J'entends la chasse d'eau. Le robinet du lavabo. Quand il revient, il s'assied sur la même chaise.

Tradabordo a dit…

J'observe Danny baisser les manches de sa chemise, signe qu'il a un peu froid. Il rabat les deux, même si seul un de ses bras est biologique. L'autre est une prothèse. Ce type de détails est ce qui me choque le plus chez les humains, leur incapacité à se détacher de vieilles habitudes. À se détacher, en fin de compte, de leurs limites biologiques. Ou, du moins, l'absence d'intention de le faire.
Il laisse échapper un bâillement et va dans la salle de bain, où il reste quelques minutes. Pendant ce temps, je sers le thé et y ajoute une pincée de sucre, comme il aime. J'entends la chasse d'eau. Le robinet du lavabo. Quand il revient, il s'assied sur la même chaise.

OK.

Sébastien ?

Sébastien a dit…

OK