mercredi 29 août 2012

Les Pachacamac – phrase 132

Ni Pablo, ni el verdulero se daban cuenta de lo que pasaba con Rogelio; éstos al contrario,  contándose chistes y anécdotas se reían ostentosamente sin escatimar que molestaban a los demás parroquianos y que, uno de ellos esperaba el momento oportuno para hacerles pasar un mal rato a los hermanos.

Traduction temporaire :
Ni Pablo ni le primeur ne se rendaient compte de l’état de Rogelio ; au contraire,  ils se racontaient des blagues et des anecdotes, riaient fort, sans se soucier de déranger les autres clients, dont l’un, notamment, attendait le moment opportun pour faire passer un sale quart d’heure aux deux frères.

7 commentaires:

perrine a dit…

Ni Pablo ni le marchand de légumes ne se rendaient compte de l’état de Rogelio ; au contraire, ils se racontaient des blagues et des anecdotes, riaient fort sans remarquer qu’ils dérangeaient les autres clients et que l’un d’eux attendait le moment opportun pour faire passer un mauvais quart d’heure aux deux frères.

Justine a dit…

Ni pablo, ni le maraîcher ne se rendait compte de ce qu'il arrivait à Rogelio ; ces derniers au contraire, se racontaient des blagues et des anecdotes en riant ostensiblement, sans se soucier de déranger les autres clients, pas plus du fait que, l'un d'entre eux attendait le moment opportun pour faire passer un sale quart d'heure aux deux frères.

Tradabordo a dit…

Ni Pablo ni le marchand de légumes ne se rendaient compte de l’état de Rogelio ; au contraire, ils se racontaient des blagues et des anecdotes, riaient fort sans remarquer qu’ils dérangeaient les autres clients et que l’un d’eux attendait le moment opportun pour faire passer un mauvais quart d’heure aux deux frères.

1) Virgule après « fort »
2) « remarquer » ou « se soucier » (cf solution de Justine) ? Tranchez.
3) Oui pour la « sale quart d'heure » de Justine.

Justine a dit…

J'ai traduit « verdulero » par « primeur », car on a déjà « maraîcher », mais on sait qu'il vend des légumes et des fruits.

Ni Pablo ni le primeur ne se rendaient compte de l’état de Rogelio ; au contraire, ils se racontaient des blagues et des anecdotes, riaient fort, sans se soucier de déranger les autres clients, pas plus du fait que l’un d’eux attendait le moment opportun pour faire passer un sale quart d’heure aux deux frères.

Tradabordo a dit…

Je propose :

Ni Pablo ni le primeur ne se rendaient compte de l’état de Rogelio ; au contraire, ils se racontaient des blagues et des anecdotes, riaient fort, sans se soucier de déranger les autres clients, que l’un d’eux, notamment, attendait le moment opportun pour faire passer un sale quart d’heure aux deux frères.

OK ?

Justine a dit…

« DONT l'un d'eux », non ?
Ou « l'un d'eux,notamment, attendait »… ?

Ni Pablo ni le primeur ne se rendaient compte de l’état de Rogelio ; au contraire, ils se racontaient des blagues et des anecdotes, riaient fort, sans se soucier de déranger les autres clients, dont l’un d’eux, notamment, attendait le moment opportun pour faire passer un sale quart d’heure aux deux frères.

Tradabordo a dit…

Ni Pablo ni le primeur ne se rendaient compte de l’état de Rogelio ; au contraire, ils se racontaient des blagues et des anecdotes, riaient fort, sans se soucier de déranger les autres clients, dont l’un, notamment, attendait le moment opportun pour faire passer un sale quart d’heure aux deux frères.

OK.

Perrine ?