Contrariados, no tenían respuestas que darse.
—¿Hemos llegado al fin al pueblo...?
Traduction temporaire :
Contrariés, ils ne cessaient de se poser la même question :
— Est-ce qu'on est bien au village, oui ou non… ?
Contrariés, ils ne cessaient de se poser la même question :
— Est-ce qu'on est bien au village, oui ou non… ?
11 commentaires:
Contrariés, ils n'avaient pas de réponse à donner.
— Sommes-nous arrivés au village, oui ou non… ?
« darSE ».
Contrariés, ils n'obtenaient pas de réponse.
— Sommes-nous arrivés au village, oui ou non… ?
Contrariés, ils n'obtenaient pas de réponse.
— Sommes-nous arrivés au village, oui ou non… ?
Ça ne va pas ; on a l'impression qu'ils posent des questions aux autres et n'obtiennent pas de réponse… alors que c'est quelque chose qu'ils se demandent à eux-mêmes.
Contrariés, ils se posaient toujours la même question :
— Sommes-nous arrivés au village, oui ou non… ?
« Ils se posaient toujours » ou « ils ne cessaient de » J'hésite. Je te laisse trancher.
Peut-on rendre « llegado » par « bien » pour éviter une répétition d' « arriver » que nous avions il y a quelques phrases ?
Contrariés, ils ne cessaient de se poser la même question :
— Sommes-nous bien au village, oui ou non… ?
Contrariés, ils ne cessaient de se poser la même question :
— Sommes-nous bien au village, oui ou non… ?
OK.
Perrine ?
"Sommes-nous" me semble un peu trop élevé comme langage par rapport au contexte et à leur façon de s'exprimer. Je vous propose :
Contrariés, ils ne cessaient de se poser la même question :
— Est-ce qu'on est bien au village, oui ou non… ?
OK pour moi… Justine ?
Contrariés, ils ne cessaient de se poser la même question :
— Est-ce qu'on est bien au village, oui ou non… ?
OK.
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