A la mañana siguiente, Sergio se levantaba a la madrugada, se hacía unos mates y antes de partir en la bicicleta de carrera hacia la obra, hablaba con Martín. Le decía:
- Portate bien. Vengo a la tarde.
Traduction temporaire :
Le lendemain, Sergio se levait à l’aube, buvait quelques matés et, avant de prendre son vélo de course pour se rendre sur le chantier, il avertissait Martín :
— Sois sage. Je rentre ce soir.
Le lendemain, Sergio se levait à l’aube, buvait quelques matés et, avant de prendre son vélo de course pour se rendre sur le chantier, il avertissait Martín :
— Sois sage. Je rentre ce soir.
6 commentaires:
Le lendemain, Sergio se levait à l’aube, il buvait quelques matés et avant de prendre son vélo de course pour aller au chantier, il parlait à Martín. Il lui disait :
— Sois sage. Je rentre cet après-midi.
Le lendemain, Sergio se levait à l’aube, il [on peut supprimer le « il » ?] buvait quelques matés et [virgule] avant de prendre son vélo de course pour aller [ou « se rendre » ? je te laisse trancher] au chantier, il parlait à Martín. Il lui disait [tu vas synthétiser les deux verbes] :
— Sois sage. Je rentre cet après-midi [ou « soir » ?].
Le lendemain, Sergio se levait à l’aube, buvait quelques matés et, avant de prendre son vélo de course pour se rendre sur le chantier, il prévenait Martín :
- Sois sage. Je reviens ce soir.
Le lendemain, Sergio se levait à l’aube, buvait quelques matés et, avant de prendre son vélo de course pour se rendre sur le chantier, il avertissait Martín :
- Sois sage. Je rentre ce soir.
1)J'aime bien "prévenir", "avertir", lequel préférez-vous ?
2) J'ai opté pour "rentrer" en référence à l'expression "rentrer du travail".
Hélène,
Essaie de ne pas multiplier les solutions possibles… Je sais que les débats sont intéressants en trad, etc., mais, outre que ça prend du temps (lire et évaluer vos deux propositions est déjà un bon boulot en soi), il faut faire ce travail difficile consistant à trancher…
OK pour la solution d'Hélène :
Le lendemain, Sergio se levait à l’aube, buvait quelques matés et, avant de prendre son vélo de course pour se rendre sur le chantier, il avertissait Martín :
- Sois sage. Je rentre ce soir.
Audrey ?
ok
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