jeudi 27 décembre 2012

Projet Hélène / Audrey – phrases 67-68

A la noche, sobre todo cuando hacía mucho frío, Sergio lo dejaba entrar. Pero era un perro maligno, como decía él, que enseguida se ponía a morder sus zapatillas o tumbaba algo, entonces Sergio le pegaba una patada y lo volvía a sacar.

Traduction temporaire :
La nuit, en particulier quand il faisait très froid, Sergio le laissait rentrer. Mais c’était un sale chien, pour reprendre ses propres termes, qui mordillait aussitôt ses tennis ou renversait quelque chose ; alors Sergio lui donnait un coup de pied et le remettait dehors.

11 commentaires:

Hélène a dit…

La nuit, surtout quand il faisait très froid, Sergio le laissait rentrer. Mais c’était un vilain chien, comme il disait, car aussitôt il mordillait ses chaussons ou renversait quelque chose, alors Sergio le ressortait à grands coups de pied.

Tradabordo a dit…

A la noche, sobre todo cuando hacía mucho frío, Sergio lo dejaba entrar. Pero era un perro maligno, como decía él, que enseguida se ponía a morder sus zapatillas o tumbaba algo, entonces Sergio le pegaba una patada y lo volvía a sacar.

La nuit, surtout [ou « en particulier » ? Je te laisse trancher] quand il faisait très froid, Sergio le laissait rentrer [ou « venir à l'intérieur » ?]. Mais c’était un vilain [tu crois pas que c'est plus fort en V.O. ?] chien, comme il disait [ou « pour reprendre ses propres termes » ?], car [CS… tu changes ; attention de bien lire et rester près de la V.O. ; reprends la suite] aussitôt il mordillait ses chaussons ou renversait quelque chose, alors Sergio le ressortait à grands coups de pied.

Hélène a dit…

La nuit, en particulier quand il faisait très froid, Sergio le laissait rentrer. Mais c’était un sale chien, pour reprendre ses propres termes, qui mordillait aussitôt ses chaussons ou renversait quelque chose, alors Sergio le ressortait à grands coups de pied.

Tradabordo a dit…

La nuit, en particulier quand il faisait très froid, Sergio le laissait rentrer. Mais c’était un sale chien [« cabot » ?], pour reprendre ses propres termes, qui mordillait aussitôt ses chaussons [on l'a déjà eu et traduit différemment, non ? Vérifie et confirme dans un sens ou dans l'autre] ou renversait quelque chose, [point-virgule ?] alors Sergio le ressortait à grands coups de pied [tu as changé… Reviens au littéral / pas de raison de prendre ses initiatives « agglomérantes » qui peu à peu peu change le sens et le style].

Hélène a dit…

La nuit, en particulier quand il faisait très froid, Sergio le laissait rentrer. Mais c’était un sale chien, pour reprendre ses propres termes, qui mordillait aussitôt ses tennis ou renversait quelque chose ; alors Sergio lui donnait un coup de pied et le ressortait.

1) nous avons déjà "cabot" deux lignes auparavant. On pourra le réemployer plus loin. J'ai donc laissé "sale chien".
2) effectivement, nous avions traduit "zapatilla" par tennis au début du texte. Quelle mémoire Caroline !

Tradabordo a dit…

La nuit, en particulier quand il faisait très froid, Sergio le laissait rentrer. Mais c’était un sale chien, pour reprendre ses propres termes, qui mordillait aussitôt ses tennis ou renversait quelque chose ; alors Sergio lui donnait un coup de pied et le ressortait.

OK.

Audrey ?

Unknown a dit…

La nuit, en particulier quand il faisait très froid, Sergio le laissait rentrer. Mais c’était un sale chien, pour reprendre ses propres termes, qui mordillait aussitôt ses tennis ou renversait quelque chose ; alors [virgule?] Sergio lui donnait un coup de pied et le remettait dehors.

Je propose une alternative pour la fin, car pour moi, les expressions "sortir un chien" ou "mettre un chien dehors" sont connotées. Si je "sors le chien", cela signifie que je l'accompagne. Si je le "mets dehors", il y va tout seul.


Tradabordo a dit…

La nuit, en particulier quand il faisait très froid, Sergio le laissait rentrer. Mais c’était un sale chien, pour reprendre ses propres termes, qui mordillait aussitôt ses tennis ou renversait quelque chose ; alors [virgule? Non, pas besoin… moins une question de temps que de lien logique] Sergio lui donnait un coup de pied et le remettait dehors.
OK pour le reste.

Unknown a dit…

La nuit, en particulier quand il faisait très froid, Sergio le laissait rentrer. Mais c’était un sale chien, pour reprendre ses propres termes, qui mordillait aussitôt ses tennis ou renversait quelque chose ; alors Sergio lui donnait un coup de pied et le remettait dehors.

ok

Tradabordo a dit…

La nuit, en particulier quand il faisait très froid, Sergio le laissait rentrer. Mais c’était un sale chien, pour reprendre ses propres termes, qui mordillait aussitôt ses tennis ou renversait quelque chose ; alors Sergio lui donnait un coup de pied et le remettait dehors.

OK.

Hélène ?

Hélène a dit…

La nuit, en particulier quand il faisait très froid, Sergio le laissait rentrer. Mais c’était un sale chien, pour reprendre ses propres termes, qui mordillait aussitôt ses tennis ou renversait quelque chose ; alors Sergio lui donnait un coup de pied et le remettait dehors.