mercredi 13 mars 2013

Projet Manon 2 – phrase 101

“Mi jefe estará dichoso“, se decía, y en ese minuto esbozaba la mueca de felicidad, como sintiéndose en el pellejo de Nasón.

Traduction temporaire :
« Mon chef sera heureux », pensait-il. Et là, il ébauchait sa grimace béate, comme s’il était dans la peau de Nasón.

10 commentaires:

Unknown a dit…

« Mon chef sera content », pensait-il, et pendant cette minute il ébauchait la grimace de la félicité, comme s’il était dans la peau de Nasón.

Tradabordo a dit…

« Mon chef sera content [ou « heureux » ?] », pensait-il, [point ?] et pendant cette minute [ou « à cette minute » ?] il ébauchait la grimace de la félicité [l'ensemble n'est pas terrible], comme s’il était dans la peau de Nasón.

Unknown a dit…

« Mon chef sera heureux », pensait-il. Et à cette minute, il ébauchait sa moue joyeuse, comme s’il était dans la peau de Nasón.

J'ai tenté avec le possessif, puisqu'après on comprend qu'il imite Nasón, mais est-ce que ce n'est pas trop ?

Unknown a dit…

Du coup, je rechange ici (désolée...)

« Mon chef sera heureux », pensait-il. Et à cette minute, il esquissait sa grimace béate, comme s’il était dans la peau de Nasón.

Tradabordo a dit…

« Mon chef sera heureux », pensait-il. Et à cette minute [« là » ?], il esquissait [ou « ébauchait » ? Je te laisse choisir] sa grimace béate, comme s’il était dans la peau de Nasón.

Unknown a dit…

« Mon chef sera heureux », pensait-il. Et à cette minute-là, il ébauchait sa grimace béate, comme s’il était dans la peau de Nasón.

Tradabordo a dit…

« Mon chef sera heureux », pensait-il. Et à cette minute-là [bof ; vraiment, je pense que c'est mieux avec « là » tout court], il ébauchait sa grimace béate, comme s’il était dans la peau de Nasón.

Tradabordo a dit…

« Mon chef sera heureux », pensait-il. Et à cette minute-là [bof ; vraiment, je pense que c'est mieux avec « là » tout court], il ébauchait sa grimace béate, comme s’il était dans la peau de Nasón.

Unknown a dit…

« Mon chef sera heureux », pensait-il. Et là, il ébauchait sa grimace béate, comme s’il était dans la peau de Nasón.

Tradabordo a dit…

« Mon chef sera heureux », pensait-il. Et là, il ébauchait sa grimace béate, comme s’il était dans la peau de Nasón.

OK.