samedi 22 novembre 2014

Projet Justine / Coralie – phrases 55-56

Es mediodía, caminan, se esconden, creen que se ocultan debajo de la escalera de un viejo, edificio; más que viejo son ruinas de una arquitectura. Todo se escucha, el canturreo de, los pájaros citadinos, el paso de los transeúntes,  el ruido del tráfico y el escándalo de la, vecina que vive al lado de la escalera. Ellos hacen el amor, lo gozan, lo disfrutan, se entregan entre las ropas, las mochilas, el calor, el sudor, el olor de la ciudad y la peste a orine de los borrachos que descargan en ese rincón del edificio durante la noche.

Traduction temporaire :
Il est midi. Ils marchent, ils se cachent, ils croient se camoufler sous l'escalier d'un vieil immeuble – en réalité les ruines d'une construction. On entend tout : le gazouillis des oiseaux citadins, le pas des passants, le bruit de la circulation, et le scandale de la voisine qui habite à côté de l'escalier. Nos tourtereaux, quant à eux, font l'amour, jouissent, se délectent, ils s'abandonnent dans un méli-mélo de vêtements, de sacs à dos, de chaleur, de sueur, d'odeur de la ville, de puanteur de l'urine des ivrognes qui viennent se soulager là, la nuit.  

6 commentaires:

Justine a dit…

Il est midi, ils marchent, ils se cachent, ils croient se camoufler sous l'escalier d'un vieil immeuble – plus qu'un vieil immeuble, ce sont les ruines d'une construction. On entend tout : le gazouillis des oiseaux des villes, le pas des passants, le bruit de la circulation, et le scandale que fait la voisine qui habite à côté de l'escalier. Nos tourtereaux, quant à eux, font l'amour, en profitent, s'en délectent, ils s'abandonnent dans un mélange de vêtements, de sacs à dos, de chaleur, de sueur, d'odeur de la ville, de puanteur de l'urine des ivrognes qui viennent se soulager là, la nuit.

Tradabordo a dit…

Il est midi, [point ?] ils marchent, ils se cachent, ils croient se camoufler sous l'escalier d'un vieil immeuble – plus qu'un vieil immeuble, ce sont les ruines d'une construction. On entend tout : le gazouillis des oiseaux des villes, le pas des passants, le bruit de la circulation, et le scandale que fait la voisine qui habite à côté de l'escalier. Nos tourtereaux, quant à eux, font [tu as « faire » dans la phrase d'avant] l'amour, en profitent [FS ici ?], s'en délectent, ils s'abandonnent dans un mélange [bof] de vêtements, de sacs à dos, de chaleur, de sueur, d'odeur de la ville [tu l'as pour les oiseaux], de puanteur de l'urine des ivrognes qui viennent se soulager là, la nuit.

Justine a dit…

Il est midi. Ils marchent, ils se cachent, ils croient se camoufler sous l'escalier d'un vieil immeuble – plus qu'un vieil immeuble, ce sont les ruines d'une construction. On entend tout : le gazouillis des oiseaux citadins, le pas des passants, le bruit de la circulation, et le scandale de la voisine qui habite à côté de l'escalier. Nos tourtereaux, quant à eux, font l'amour, jouissent, se délectent, ils s'abandonnent dans un méli-mélo de vêtements, de sacs à dos, de chaleur, de sueur, d'odeur de la ville, de puanteur de l'urine des ivrognes qui viennent se soulager là, la nuit.

Tradabordo a dit…

Il est midi. Ils marchent, ils se cachent, ils croient se camoufler sous l'escalier d'un vieil immeuble – plus qu'un vieil immeuble, ce sont [ou simplement, tout court : « en réalité les ruines… » ?] les ruines d'une construction. On entend tout : le gazouillis des oiseaux citadins, le pas des passants, le bruit de la circulation, et le scandale de la voisine qui habite à côté de l'escalier. Nos tourtereaux, quant à eux, font l'amour, jouissent, se délectent, ils s'abandonnent dans un méli-mélo de vêtements, de sacs à dos, de chaleur, de sueur, d'odeur de la ville, de puanteur de l'urine des ivrognes qui viennent se soulager là, la nuit.

Justine a dit…

Il est midi. Ils marchent, ils se cachent, ils croient se camoufler sous l'escalier d'un vieil immeuble – en réalité les ruines d'une construction. On entend tout : le gazouillis des oiseaux citadins, le pas des passants, le bruit de la circulation, et le scandale de la voisine qui habite à côté de l'escalier. Nos tourtereaux, quant à eux, font l'amour, jouissent, se délectent, ils s'abandonnent dans un méli-mélo de vêtements, de sacs à dos, de chaleur, de sueur, d'odeur de la ville, de puanteur de l'urine des ivrognes qui viennent se soulager là, la nuit.

Tradabordo a dit…

Il est midi. Ils marchent, ils se cachent, ils croient se camoufler sous l'escalier d'un vieil immeuble – en réalité les ruines d'une construction. On entend tout : le gazouillis des oiseaux citadins, le pas des passants, le bruit de la circulation, et le scandale de la voisine qui habite à côté de l'escalier. Nos tourtereaux, quant à eux, font l'amour, jouissent, se délectent, ils s'abandonnent dans un méli-mélo de vêtements, de sacs à dos, de chaleur, de sueur, d'odeur de la ville, de puanteur de l'urine des ivrognes qui viennent se soulager là, la nuit.


OK.