vendredi 13 novembre 2015

Projet Justine / Nadia / Élise – phrases 213-219

¡Se incendia la casa del Pato! —gritó.
Bomberos, chorros de agua, tumultos de gente en piyama y camisón. La casa del Pato —a menos de una cuadra de la nuestra— era una confusión de humo y lenguas de fuego que salían por las ventanas. De pie en la calzada, él mismo y sus padres, lívidos por el espanto y el resplandor de las llamas, daban la impresión de no creer lo que veían.
Es la venganza de la Zurda —murmuró mi primo Mario—. Eso es, Fernando. Está clarísimo.
Sí —repuse yo, anonadado—. Lo sé.

Traduction temporaire :

— La maison de Pat est en feu ! cria-t-il. Des pompiers, des torrents d'eau, une foule de gens en pyjama et chemise de nuit. C'était juste à côté de chez nous – une confusion de fumée et de langues de feu sortant par les fenêtres. Debout sur la chaussée, livides, ses parents et lui étaient saisis d'effroi devant la lueur des flammes ; ils donnaient l'impression de ne pas croire ce qu'ils voyaient.
— C'est la vengeance de la Gauchère, murmura mon cousin Mario. Pas de doute, Fernando. C'est plus qu'évident.
— Oui, répondis-je anéanti. Je sais.

8 commentaires:

Justine a dit…

— La maison de Pat brûle ! cria-t-il. Des pompiers, des torrents d'eau, une foule de gens en pyjama et chemise de nuit. La maison de Pat – à moins d'un pâté de maison de la nôtre. Un mélange de fumée et de langues de feu sortaient par les fenêtres. Debout sur la chaussée, ses parents et lui étaient livides, saisis d'effroi devant la lueur des flammes, on avait l'impression qu'ils ne croyaient pas ce qu'ils voyaient.
— C'est la vengeance de la Gauchère, murmura mon cousin Mario, c'est ça, Fernando. C'est plus qu'évident.
— Oui, répondis-je anéanti. Je sais.

Tradabordo a dit…

— La maison de Pat brûle [« est en feu » ?] ! cria-t-il. Des pompiers, des torrents d'eau, une foule de gens en pyjama et chemise de nuit. La maison de Pat – à moins d'un pâté de maison de la nôtre. Un [pourquoi tu as coupé la phrase ????] mélange de fumée et de langues de feu sortaient par les fenêtres. Debout sur la chaussée, ses parents et lui étaient livides, saisis d'effroi devant la lueur des flammes, on avait l'impression qu'ils ne croyaient pas ce qu'ils voyaient.
— C'est la vengeance de la Gauchère, murmura mon cousin Mario, c'est ça, Fernando. C'est plus qu'évident.
— Oui, répondis-je anéanti. Je sais.

Justine a dit…

— La maison de Pat est en feu ! cria-t-il. Des pompiers, des torrents d'eau, une foule de gens en pyjama et chemise de nuit. La maison de Pat – à moins d'un pâté de maison de la nôtre – était un mélange de fumée et de langues de feu sortant par les fenêtres. Debout sur la chaussée, ses parents et lui étaient livides, saisis d'effroi devant la lueur des flammes, on avait l'impression qu'ils ne croyaient pas ce qu'ils voyaient.
— C'est la vengeance de la Gauchère, murmura mon cousin Mario, c'est ça, Fernando. C'est plus qu'évident.
— Oui, répondis-je anéanti. Je sais.

Tradabordo a dit…

— La maison de Pat est en feu ! cria-t-il. Des pompiers, des torrents d'eau, une foule de gens en pyjama et chemise de nuit. La maison de Pat – à moins d'un pâté de maison [une solution pour ne pas répéter ?] de la nôtre – était un mélange [pas ce que dit la V.O.] de fumée et de langues de feu sortant par les fenêtres. Debout sur la chaussée, ses parents et lui étaient [change un peu : Debout sur la chaussés, livides, ses parents et lui… ] livides, saisis d'effroi devant la lueur des flammes, on [évite l'implication du narrateur / pas en V.O.] avait l'impression qu'ils ne croyaient pas ce qu'ils voyaient.
— C'est la vengeance de la Gauchère, murmura mon cousin Mario, [point] c'est ça [bof], Fernando. C'est plus qu'évident.
— Oui, répondis-je anéanti. Je sais.

Justine a dit…

— Le domicile de Pat est en feu ! cria-t-il. Des pompiers, des torrents d'eau, une foule de gens en pyjama et chemise de nuit. La maison de Pat – à moins d'un pâté de maison de la nôtre – était une confusion de fumée et de langues de feu sortant par les fenêtres. Debout sur la chaussée, livides, ses parents et lui étaient saisis d'effroi devant la lueur des flammes ; ils donnaient l'impression de ne pas croire ce qu'ils voyaient.
— C'est la vengeance de la Gauchère, murmura mon cousin Mario. Sans aucun doute, Fernando. C'est plus qu'évident.
— Oui, répondis-je anéanti. Je sais.

Tradabordo a dit…

— Le domicile [pas très naturel dans la bouche d'un gamin ; remets « maison »] de Pat est en feu ! cria-t-il. Des pompiers, des torrents d'eau, une foule de gens en pyjama et chemise de nuit. La maison de Pat [avec un simple « C'était », ça devrait suffire] – à moins d'un pâté de maison de la nôtre [« juste à côté de chez nous »] – était une confusion de fumée et de langues de feu sortant par les fenêtres. Debout sur la chaussée, livides, ses parents et lui étaient saisis d'effroi devant la lueur des flammes ; ils donnaient l'impression de ne pas croire ce qu'ils voyaient.
— C'est la vengeance de la Gauchère, murmura mon cousin Mario. Sans aucun [« Pas de »] doute, Fernando. C'est plus qu'évident.
— Oui, répondis-je anéanti. Je sais.

Justine a dit…

— La maison de Pat est en feu ! cria-t-il. Des pompiers, des torrents d'eau, une foule de gens en pyjama et chemise de nuit. C'était juste à côté de chez nous – une confusion de fumée et de langues de feu sortant par les fenêtres. Debout sur la chaussée, livides, ses parents et lui étaient saisis d'effroi devant la lueur des flammes ; ils donnaient l'impression de ne pas croire ce qu'ils voyaient.
— C'est la vengeance de la Gauchère, murmura mon cousin Mario. Pas de doute, Fernando. C'est plus qu'évident.
— Oui, répondis-je anéanti. Je sais.

Tradabordo a dit…

— La maison de Pat est en feu ! cria-t-il. Des pompiers, des torrents d'eau, une foule de gens en pyjama et chemise de nuit. C'était juste à côté de chez nous – une confusion de fumée et de langues de feu sortant par les fenêtres. Debout sur la chaussée, livides, ses parents et lui étaient saisis d'effroi devant la lueur des flammes ; ils donnaient l'impression de ne pas croire ce qu'ils voyaient.
— C'est la vengeance de la Gauchère, murmura mon cousin Mario. Pas de doute, Fernando. C'est plus qu'évident.
— Oui, répondis-je anéanti. Je sais.

OK.