samedi 25 juin 2016

Projet Justine / Marion – phrases 223-234

Su hermano se llevó uno de sus largos dedos azulados a la boca, para indicarle que no gritara. Verónica lo intentó, para despertarse de la pesadilla, pero no pudo. Como solía pasar en las pesadillas, estaba muda.
—Vení, Vero, dijo Martín. Hablaba bajo, pero ella le entendía perfectamente. Tengo algo que decirte.
Es un sueño, pensó Verónica. Y se dejó llevar. Era su hermano. Lo extrañaba, quería volver a hablar con él. Trató de mirarlo a la cara, que era casi la de siempre; no se parecía a la del funeral, tan delgada y gris.
(Pero el pecho, y la sangre, esa herida)

Traduction temporaire :
Son frère posa un long doigt bleuté sur sa bouche, lui indiquant de ne pas crier. Cherchant à sortir de son cauchemar, Verónica essaya quand même, en vain. Comme d’habitude dans ses cauchemars , elle était muette.
— Viens, Vero, la pressa Martín. Il s'exprimait à voix basse, mais elle l’entendait parfaitement. Faut que je te parle.
C’est un rêve, se dit Verónica. Et elle se laissa emmener. Il s’agissait de son frère. Il lui manquait, elle souhaitait discuter de nouveau avec lui. Elle tenta de regarder son visage, il n'avait quasiment pas changé ; il ne ressemblait en rien à celui de ses funérailles, tellement émacié et gris.
(Par contre, sa poitrine, et son sang, cette blessure).

6 commentaires:

Justine a dit…

Son frère lui posa l’un de ses longs doigts bleutés sur la bouche, lui intimant de ne pas crier. Pourtant, pour sortir de son cauchemar, Verónica essaya, en vain. Comme d’habitude dans les cauchemars, elle était muette.
— Viens, Vero, la pressa Martín. Il parlait à voix basse, mais elle l’entendait parfaitement. Faut que je te parle.
C’est un rêve, se persuada Verónica. Et elle se laissa emmener. Il s’agissait de son frère. Il lui manquait, elle souhaitait discuter de nouveau avec lui. Elle tenta de le regarder en face, son visage était presque le même que d’ordinaire ; il ne ressemblait en rien à celui de ses funérailles, tellement fin et gris.
(En revanche, sa poitrine, et son sang, cette blessure).

Tradabordo a dit…

Son frère lui [CS ?] posa l’un de ses [nécessair ?] longs doigts bleutés sur la bouche, lui intimant [texte ?] de ne pas crier. Pourtant, pour [pas génial Pour + « pour »] sortir de son cauchemar, Verónica essaya, en vain. Comme d’habitude dans les [possessif ?] cauchemars , elle était muette.
— Viens, Vero, la pressa Martín. Il parlait à voix basse, mais elle l’entendait parfaitement. Faut que je te parle [tu l'as déjà].
C’est un rêve, se persuada Verónica. Et elle se laissa emmener. Il s’agissait de son frère. Il lui manquait, elle souhaitait discuter de nouveau avec lui. Elle tenta de le regarder en face, son visage [du coup, ne fais qu'avec « visage »] était presque le même que d’ordinaire [est-ce vraiment l'idée ?] ; il ne ressemblait en rien à celui de ses funérailles, tellement fin [texte ?] et gris.
(En revanche [naturel ?], sa poitrine, et son sang, cette blessure).

Justine a dit…

Son frère posa un long doigt bleuté sur sa bouche, lui indiquant de ne pas crier. Pourtant, cherchant à sortir de son cauchemar, Verónica essaya, en vain. Comme d’habitude dans ses cauchemars , elle était muette.
— Viens, Vero, la pressa Martín. Il s'exprimait à voix basse, mais elle l’entendait parfaitement. Faut que je te parle.
C’est un rêve, se dit Verónica. Et elle se laissa emmener. Il s’agissait de son frère. Il lui manquait, elle souhaitait discuter de nouveau avec lui. Elle tenta de regarder son visage, il n'avait quasiment pas changé ; il ne ressemblait en rien à celui de ses funérailles, tellement émacié et gris.
(Par contre, sa poitrine, et son sang, cette blessure).

Tradabordo a dit…

Son frère posa un long doigt bleuté sur sa bouche, lui indiquant de ne pas crier. Pourtant, cherchant [pas génial « pourTANT » + cherchant… //// ce que je t'ai dit des gérondifs et des participes !!!!!!!!!] à sortir de son cauchemar, Verónica essaya, en vain. Comme d’habitude dans ses cauchemars , elle était muette.
— Viens, Vero, la pressa Martín. Il s'exprimait à voix basse, mais elle l’entendait parfaitement. Faut que je te parle.
C’est un rêve, se dit Verónica. Et elle se laissa emmener. Il s’agissait de son frère. Il lui manquait, elle souhaitait discuter de nouveau avec lui. Elle tenta de regarder son visage, il n'avait quasiment pas changé ; il ne ressemblait en rien à celui de ses funérailles, tellement émacié et gris.
(Par contre, sa poitrine, et son sang, cette blessure).

Justine a dit…

Son frère posa un long doigt bleuté sur sa bouche, lui indiquant de ne pas crier. Cherchant à sortir de son cauchemar, Verónica essaya quand même, en vain. Comme d’habitude dans ses cauchemars , elle était muette.
— Viens, Vero, la pressa Martín. Il s'exprimait à voix basse, mais elle l’entendait parfaitement. Faut que je te parle.
C’est un rêve, se dit Verónica. Et elle se laissa emmener. Il s’agissait de son frère. Il lui manquait, elle souhaitait discuter de nouveau avec lui. Elle tenta de regarder son visage, il n'avait quasiment pas changé ; il ne ressemblait en rien à celui de ses funérailles, tellement émacié et gris.
(Par contre, sa poitrine, et son sang, cette blessure).

Tradabordo a dit…

Son frère posa un long doigt bleuté sur sa bouche, lui indiquant de ne pas crier. Cherchant à sortir de son cauchemar, Verónica essaya quand même, en vain. Comme d’habitude dans ses cauchemars , elle était muette.
— Viens, Vero, la pressa Martín. Il s'exprimait à voix basse, mais elle l’entendait parfaitement. Faut que je te parle.
C’est un rêve, se dit Verónica. Et elle se laissa emmener. Il s’agissait de son frère. Il lui manquait, elle souhaitait discuter de nouveau avec lui. Elle tenta de regarder son visage, il n'avait quasiment pas changé ; il ne ressemblait en rien à celui de ses funérailles, tellement émacié et gris.
(Par contre, sa poitrine, et son sang, cette blessure).

OK.