mercredi 1 juin 2016

Projet Loïck 9 – phrases 98-107

Eran los empleados, los mozos de la estación y una pareja de la Guardia Civil, que coman en distintas direcciones, como cercando a alguien.
-¡Por aqui!... ¡Cortadle el paso! Dos por el otro lado, para que no escape... Ahora ha subido sobre el tren. ¡Seguidle!
Y, efectivamente, al poco rato las techumbres de los vagones tem­blaban bajo el galope loco de los que se perseguian en aquellas alturas.
Era, sin duda, el amigo, a quien habian sorprendido, y, viéndose cercado, se refugiaba en lo más alto del tren.
Estaba yo en una ventanilla de la parte opuesta al andén, y vi có­mo un hombre saltaba desde la techumbre de un vagón inmediato con la asombrosa ligereza que da el peligro. Cayó de bmces en un campo, gateó algunos instantes, como si la violencia del golpe no le permitiera incorporarse, y, al fin, huyó a todo correr, perdiéndose en la oscuridad la mancha blanca de sus pantalones.

Traduction en cours d'élaboration dans les commentaires
C'étaient les employés, les agents de la gare et deux hommes de la Guardia Civil, qui courraient dans plusieurs directions, comme s'ils encerclaient quelqu'un.
— Par ici !… Barrez-lui le passage ! Deux de l'autre côté, pour qu'il ne puisse pas s'échapper… Il est sur le toit à présent. Suivez-le ! Et, effectivement, en un rien de temps, les toitures des wagons se mirent à trembler sous les pas lourds précipités des assaillants qui se poursuivaient.C'était sans aucun doute l'ami que j'avais surpris, et qui, se voyant encerclé, se réfugiait dans la partie la plus haute du train. Moi, je me tenais à une fenêtre donnant sur la partie opposée au quai, et c'est ainsi que je vis un homme qui sauta immédiatement du toit du wagon avec la surprenante légèreté que procure le danger. Il tomba la tête la première dans un champ, marcha à quatre pattes quelques instants, comme si la violence du coup ne lui permettait pas de se relever, et, finalement, il s'enfuit à toutes jambes, la tache blanche de son pantalon s'évanouissant dans l'obscurité.

22 commentaires:

Loïck Ths a dit…
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Loïck Ths a dit…

C'étaient les employés, les gamins de la gare et deux hommes de la Guardia Civil, qui courraient dans plusieurs directions, comme s'ils étaient en train d'encercler quelqu'un.
- Par ici!… Barrez-lui le passage! Deux de l'autre côté, pour qu'il ne puisse pas s'échapper… Il est monté sur le toit à présent. Suivez-le! Et, effectivement, en peu de temps, les toitures des wagons se mirent à trembler sous le galop fou de ceux qui se poursuivaient en ces hauteurs.

Tradabordo a dit…

C'étaient les employés, les gamins [FS ici ? J'hésite ; cf le DRAE] de la gare et deux hommes de la Guardia Civil, qui courraient dans plusieurs directions, comme s'ils étaient en train d'encercler quelqu'un.
- Par ici[espace]!… Barrez-lui le passage[espace]! Deux de l'autre côté, pour qu'il ne puisse pas s'échapper… Il est monté [nécessaire ? J'hésite] sur le toit à présent. Suivez-le[espace]! Et, effectivement, en peu de temps [pas très naturel ici], les toitures des wagons se mirent à trembler sous le galop fou de ceux qui se poursuivaient en ces hauteurs [à partir de « fou », ça manque de naturel].

Faisons déjà cela.

Loïck Ths a dit…

C'étaient les employés, les agents de la gare et deux hommes de la Guardia Civil, qui courraient dans plusieurs directions, comme s'ils étaient en train d'encercler quelqu'un.
- Par ici !… Barrez-lui le passage ! Deux de l'autre côté, pour qu'il ne puisse pas s'échapper… Il est sur le toit à présent. Suivez-le ! Et, effectivement, en un rien de temps, les toitures des wagons se mirent à trembler sous le galop fou des assaillants qui se poursuivaient en ces hauteurs.

Tradabordo a dit…

C'étaient les employés, les agents de la gare et deux hommes de la Guardia Civil, qui courraient dans plusieurs directions, comme s'ils étaient en train [nécessaire, au fait ?] d'encercler quelqu'un.
— Par ici !… Barrez-lui le passage ! Deux de l'autre côté, pour qu'il ne puisse pas s'échapper… Il est sur le toit à présent. Suivez-le ! Et, effectivement, en un rien de temps, les toitures des wagons se mirent à trembler sous le galop fou [on le dirait ?] des assaillants qui se poursuivaient en [« sur » ?] ces hauteurs.

Loïck Ths a dit…

C'étaient les employés, les agents de la gare et deux hommes de la Guardia Civil, qui courraient dans plusieurs directions, comme s'ils encerclaient quelqu'un.
— Par ici !… Barrez-lui le passage ! Deux de l'autre côté, pour qu'il ne puisse pas s'échapper… Il est sur le toit à présent. Suivez-le ! Et, effectivement, en un rien de temps, les toitures des wagons se mirent à trembler sous le trépignement infernal des assaillants qui se poursuivaient sur ces hauteurs.

Tradabordo a dit…

C'étaient les employés, les agents de la gare et deux hommes de la Guardia Civil, qui courraient dans plusieurs directions, comme s'ils encerclaient quelqu'un.
— Par ici !… Barrez-lui le passage ! Deux de l'autre côté, pour qu'il ne puisse pas s'échapper… Il est sur le toit à présent. Suivez-le ! Et, effectivement, en un rien de temps, les toitures des wagons se mirent à trembler sous le trépignement [trépigner, c'est sur place, non ?] infernal des assaillants qui se poursuivaient sur ces hauteurs.

Loïck Ths a dit…

C'étaient les employés, les agents de la gare et deux hommes de la Guardia Civil, qui courraient dans plusieurs directions, comme s'ils encerclaient quelqu'un.
— Par ici !… Barrez-lui le passage ! Deux de l'autre côté, pour qu'il ne puisse pas s'échapper… Il est sur le toit à présent. Suivez-le ! Et, effectivement, en un rien de temps, les toitures des wagons se mirent à trembler sous les pas lourds des assaillants qui se poursuivaient sur ces hauteurs

Tradabordo a dit…

C'étaient les employés, les agents de la gare et deux hommes de la Guardia Civil, qui courraient dans plusieurs directions, comme s'ils encerclaient quelqu'un.
— Par ici !… Barrez-lui le passage ! Deux de l'autre côté, pour qu'il ne puisse pas s'échapper… Il est sur le toit à présent. Suivez-le ! Et, effectivement, en un rien de temps, les toitures des wagons se mirent à trembler sous les pas lourds [« précipités » ?] des assaillants qui se poursuivaient sur ces hauteurs [nécessaire ?].

Loïck Ths a dit…

C'étaient les employés, les agents de la gare et deux hommes de la Guardia Civil, qui courraient dans plusieurs directions, comme s'ils encerclaient quelqu'un.
— Par ici !… Barrez-lui le passage ! Deux de l'autre côté, pour qu'il ne puisse pas s'échapper… Il est sur le toit à présent. Suivez-le ! Et, effectivement, en un rien de temps, les toitures des wagons se mirent à trembler sous les pas lourds précipités des assaillants qui se poursuivaient.

Tradabordo a dit…

C'étaient les employés, les agents de la gare et deux hommes de la Guardia Civil, qui courraient dans plusieurs directions, comme s'ils encerclaient quelqu'un.
— Par ici !… Barrez-lui le passage ! Deux de l'autre côté, pour qu'il ne puisse pas s'échapper… Il est sur le toit à présent. Suivez-le ! Et, effectivement, en un rien de temps, les toitures des wagons se mirent à trembler sous les pas lourds précipités des assaillants qui se poursuivaient.

OK.

Tradabordo a dit…

Vous pouvez ajouter la suite.

Loïck Ths a dit…

C'était sans aucun doute l'ami que j'avais surpris, et, se voyant encerclé, il se réfugia dans la partie la plus haute du train. Moi, j'étais à une fenêtre qui donnait sur la partie opposée au quai, et je vis comme un homme qui sauta immédiatement du toit du wagon avec la surprenante légèreté que procure le danger.

PS: j'ai mis des verbes au passé simple plutôt qu'à l'imparfait dans certain cas puisque maintenir l'imparfait me semblait étrange par endroit, pourrez-vous me dire ce que vous en pensé ?

Tradabordo a dit…

Era, sin duda, el amigo, a quien habian sorprendido, y, viéndose cercado, se refugiaba en lo más alto del tren. Estaba yo en una ventanilla de la parte opuesta al andén, y vi có­mo un hombre saltaba desde la techumbre de un vagón inmediato con la asombrosa ligereza que da el peligro.

C'était sans aucun doute l'ami que j'avais surpris, et [cheville : « qui »], se voyant encerclé, il [supprimez] se réfugia [temps] dans la partie la plus haute du train. Moi, j'étais [« je me tenais » ?] à une fenêtre qui donnait [« donnant »] sur la partie opposée au quai, et je vis comme un [la construction est à revoir] homme qui sauta immédiatement du toit du wagon avec la surprenante légèreté que procure le danger.

Loïck Ths a dit…

C'était sans aucun doute l'ami que j'avais surpris, et qui, se voyant encerclé, se réfugiait dans la partie la plus haute du train. Moi, je me tenais à une fenêtre donnant sur la partie opposée au quai, et c'est ainsi que je vis un homme qui sauta immédiatement du toit du wagon avec la surprenante légèreté que procure le danger.

Tradabordo a dit…

C'était sans aucun doute l'ami que j'avais surpris, et qui, se voyant encerclé, se réfugiait dans la partie la plus haute du train. Moi, je me tenais à une fenêtre donnant sur la partie opposée au quai, et c'est ainsi que je vis un homme qui sauta immédiatement du toit du wagon avec la surprenante légèreté que procure le danger.

OK.

Tradabordo a dit…

Vous pouvez ajouter la fin.

Loïck Ths a dit…

Il tomba dans un champ, il marcha à quatre pattes quelques instants, comme si la violence du coup ne lui permettait pas de se relever, et, finalement, il s'enfuit à toutes jambes, la tâche blanche de son pantalon s'évanouissant dans l'obscurité.

Tradabordo a dit…

Au fait, c'est idiot : à partir de maintenant, ce sera « tu » ;-))))

Cayó de bmces en un campo, gateó algunos instantes, como si la violencia del golpe no le permitiera incorporarse, y, al fin, huyó a todo correr, perdiéndose en la oscuridad la mancha blanca de sus pantalones.

Il tomba [et le « de bruces » ?] dans un champ, il [nécessaire ?] marcha à quatre pattes quelques instants, comme si la violence du coup ne lui permettait pas de se relever, et, finalement, il s'enfuit à toutes jambes, la tâche [ortho] blanche de son pantalon s'évanouissant dans l'obscurité.

Loïck Ths a dit…

Il tomba la tête la première dans un champ, marcha à quatre pattes quelques instants, comme si la violence du coup ne lui permettait pas de se relever, et, finalement, il s'enfuit à toutes jambes, la tache blanche de son pantalon s'évanouissant dans l'obscurité.

Ok :>
Excuse-moi pour ces erreurs:
- je n'arrivais pas à lire "bruces", je voyais bmces :/
- Pour "tache", il faut dire qu'en ce moment je me coltine tellement la notion de tâche ... finale, tâche intermédiaire à l'espe que... :o así me ha salido la palabra =)

Tradabordo a dit…

Il tomba la tête la première dans un champ, marcha à quatre pattes quelques instants, comme si la violence du coup ne lui permettait pas de se relever, et, finalement, il s'enfuit à toutes jambes, la tache blanche de son pantalon s'évanouissant dans l'obscurité.

OK.

Tradabordo a dit…

OK, c'est terminé. Maintenant, tu peux aller dans « Travaux en cours » récupérer ton texte + tu relis bien + tu remets la mise en page de la V.O. et tu m'envoies ça quand c'est prêt (par mail).