mercredi 1 juin 2016

Projet Justine / Marion – phrases 214-222

—Bueno, dijo Verónica, y no preguntó más. Estaba segura de que se trataría de otra ceremonia llena de gente que gritaba.
***

Algo la despertó y, cuando miró a su alrededor, no supo dónde estaba. En la oscuridad reconoció la habitación de Mariela y, enseguida, la vio durmiendo en la cama de enfrente, con una pierna destapada y la almohada sobre la cabeza.
También reconoció rápidamente qué la había despertado. Unos golpes en la ventana, secos, claros. Verónica se sentó en la cama y vio, a través del vidrio, a su hermano. Allí estaba, con una camisa abierta desprendida y el pecho abierto, el esternón partido y el corazón al aire, completamente quieto.
El corazón muerto.

Traduction temporaire :
— Entendu, acquiesça Verónica, sans plus poser de questions. Elle était persuadée qu’il s'agissait encore d’un rite rassemblant une foule hurlante.

***

Quelque chose la réveilla, et quand elle balaya les alentours du regard, elle se demanda où elle était. Dans l’obscurité, elle reconnut la chambre de Mariela, et aussitôt, elle la vit, endormie dans le lit d’en face, une jambe découverte et son oreiller sur la tête. Rapidement, elle identifia aussi ce qui l’avait tirée de son sommeil : des coups frappés contre la fenêtre, secs, nets. Verónica s’assit sur son lit et aperçut son frère à travers le carreau. Il était là, portant une chemise généreusement ouverte, la poitrine ouverte, le sternum fêlé et le cœur à l’air, complètement tranquille. Le cœur mort.

5 commentaires:

Justine a dit…

— Entendu, acquiesça Verónica, sans poser plus de questions. Elle était persuadée qu’il s’agirait encore d’un rite rassemblant plein de monde qui criait.
***
Quelque chose la réveilla, et quand elle balaya les alentours du regard, elle ignora où elle était. Dans l’obscurité, elle reconnut la chambre de Mariela, et ensuite, elle la vit, endormie dans le lit d’en face, une jambe découverte et l’oreiller sur la tête.
Rapidement, elle identifia aussi ce qui l’avait tirée de son sommeil. Des coups frappés à la fenêtre, secs, précis. Verónica s’assit sur son lit et aperçut son frère à travers le carreau. Il était là, arborant une chemise généreusement ouverte, la poitrine ouverte, le sternum fêlé et le cœur à l’air, complètement tranquille.
Le cœur mort.

Justine a dit…

— Entendu, acquiesça Verónica, sans poser plus de questions. Elle était persuadée qu’il s’agirait encore d’un rite rassemblant plein de monde qui criait.
***
Quelque chose la réveilla, et quand elle balaya les alentours du regard, elle ignora où elle était. Dans l’obscurité, elle reconnut la chambre de Mariela, et ensuite, elle la vit, endormie dans le lit d’en face, une jambe découverte et l’oreiller sur la tête.
Rapidement, elle identifia aussi ce qui l’avait tirée de son sommeil. Des coups frappés à la fenêtre, secs, précis. Verónica s’assit sur son lit et aperçut son frère à travers le carreau. Il était là, arborant une chemise généreusement ouverte, la poitrine ouverte, le sternum fêlé et le cœur à l’air, complètement tranquille.
Le cœur mort.

Tradabordo a dit…

— Entendu, acquiesça Verónica, sans poser plus [ou : « sans plus poser » ?] de questions. Elle était persuadée qu’il s’agirait [« s'agissait » ?] encore d’un rite rassemblant plein de monde qui criait [bof le « qu'il » + « qui »].

***

Quelque chose la réveilla, et quand elle balaya les alentours du regard, elle ignora [pas très naturel…] où elle était. Dans l’obscurité, elle reconnut la chambre de Mariela, et ensuite [FS], elle la vit, endormie dans le lit d’en face, une jambe découverte et l’[possessif ? Je te laisse réfléchir]oreiller sur la tête.
Rapidement, elle identifia aussi ce qui l’avait tirée de son sommeil. [deux points ?] Des coups frappés à [« contre » ?] la fenêtre, secs, précis [« nets » ? Je te laisse réfléchir…]. Verónica s’assit sur son lit et aperçut son frère à travers le carreau. Il était là, arborant [ça devient un tic… cf l'autre texte – attention] une chemise généreusement ouverte, la poitrine ouverte, le sternum fêlé et le cœur à l’air, complètement tranquille.
Le cœur mort.

Justine a dit…

— Entendu, acquiesça Verónica, sans plus poser de questions. Elle était persuadée qu’il s'agissait encore d’un rite rassemblant une foule hurlante.

***

Quelque chose la réveilla, et quand elle balaya les alentours du regard, elle se demanda où elle était. Dans l’obscurité, elle reconnut la chambre de Mariela, et aussitôt, elle la vit, endormie dans le lit d’en face, une jambe découverte et son oreiller sur la tête.
Rapidement, elle identifia aussi ce qui l’avait tirée de son sommeil : des coups frappés contre la fenêtre, secs, nets. Verónica s’assit sur son lit et aperçut son frère à travers le carreau. Il était là, portant une chemise généreusement ouverte, la poitrine ouverte, le sternum fêlé et le cœur à l’air, complètement tranquille.
Le cœur mort.

Tradabordo a dit…

— Entendu, acquiesça Verónica, sans plus poser de questions. Elle était persuadée qu’il s'agissait encore d’un rite rassemblant une foule hurlante.

***

Quelque chose la réveilla, et quand elle balaya les alentours du regard, elle se demanda où elle était. Dans l’obscurité, elle reconnut la chambre de Mariela, et aussitôt, elle la vit, endormie dans le lit d’en face, une jambe découverte et son oreiller sur la tête.
Rapidement, elle identifia aussi ce qui l’avait tirée de son sommeil : des coups frappés contre la fenêtre, secs, nets. Verónica s’assit sur son lit et aperçut son frère à travers le carreau. Il était là, portant une chemise généreusement ouverte, la poitrine ouverte, le sternum fêlé et le cœur à l’air, complètement tranquille.
Le cœur mort.

OK.

Attention aux gérondifs et participes.