samedi 18 juin 2016

Projet Sabrina 4 – phrases 248-255

Al día siguiente volví a levantarme de madrugada para gozar de la esperanza de en breve tenerte de nuevo. Ya estaba yo llegando a nuestro lugar, y allí acabó todo.
En ese momento no supe qué pasó. Después lo vi a él, a quien nunca había visto, limpiando la sangre del fierro con el que me había atacado, con el que había rajado todo el lado izquierdo de mi cabeza. En la oscuridad, se detu vo a cerciorarse de que en mi muñeca no subsistiera nin gún pulso, pero no se percató de que mis ojos permanecían abiertos. Y así, lo vi arrastrándome a la luz de la luna, aún refulgente; arrastrándome, agotándose. El hombre que te había parecido un dios de la buena fortuna había asesinado tus sueños, pero no había logrado asesinar tu pasión. Y me asesinó a mí.

Traduction temporaire :
Le lendemain, je me suis de nouveau levé aux aurores pour jouir de l'espoir de t'avoir brièvement encore à mes côtés. J'arrivais presque sur notre lieu habituel, là où tout a fini. Sur le coup, je n'ai pas compris. Après, je l'ai vu, lui, lui que je n'avais jamais vu, nettoyant le sang du couteau avec lequel il m'avait attaqué, avec lequel il avait entièrement tailladé la partie gauche de ma tête. Dans l'obscurité, il s'est arrêté pour s'assurer qu'il ne sentait plus mon pouls à mon poignet. Or, il n'a pas remarqué que mes yeux restaient ouverts. De sorte que je l'ai vu me traîner sous la lumière de la lune, encore resplendissante ; me traîner à s'en épuiser. L'homme que tu avais pris pour un dieu de la chance avait assassiné tes rêves sans pour autant réussir à assassiner ta passion. Et il m'a assassiné moi.

6 commentaires:

Sabrina a dit…

Le lendemain, je me suis relevé aux aurores pour jouir de l'espoir de t'avoir brièvement une nouvelle fois à mes côtés. J'arrivais à notre lieu habituel, et c'est là que tout s'est terminé. Sur le coup, je n'ai pas compris ce qui s'est passé. Après, je l'ai vu lui, lui que je n'avais jamais vu, nettoyant le sang du couteau avec lequel il m'avait attaqué, avec lequel il avait entièrement balafré le côté gauche de ma tête. Dans l'obscurité, il s'est arrêté pour s'assurer qu'à mon poignet, il ne sentait plus mon pouls. Or, il n'a pas remarqué que mes yeux étaient restés ouverts. De sorte que je l'ai vu me traîner à la lumière de la lune, encore resplendissante ; me traîner à s'en épuiser. L'homme que tu avais pris pour un dieu de la chance avait assassiné tes rêves sans réussir à assassiner ta passion. Mais il m'a assassiné moi.

Tradabordo a dit…

Le lendemain, je me suis relevé [mal dit / plutôt « de nouveau » ici, non ?] aux aurores pour jouir de l'espoir de t'avoir brièvement une nouvelle fois à mes côtés. J'arrivais [et le « ya » ?] à notre lieu habituel, et c'est là que tout s'est terminé [ou avec « achevé » ? J'hésite. Vois ce qui est mieux]. Sur le coup, je n'ai pas compris ce qui s'est passé [nécessaire ?]. Après, je l'ai vu [virgule ?] lui, lui que je n'avais jamais vu, nettoyant le sang du couteau avec lequel il m'avait attaqué, avec lequel il avait entièrement balafré [« entaillé » ? / « tailladé » ?] le côté [tu as déjà « côtés » avant ;-)] gauche de ma tête. Dans l'obscurité, il s'est arrêté pour [« pris le temps de » ? Comme tu veux…] s'assurer qu'à mon poignet, il ne sentait plus mon pouls [la syntaxe n'est pas géniale]. Or, il n'a pas [on relie les deux phrases avec une simple virgule + « sans » ?] remarqué que mes yeux étaient restés [temps] ouverts. De sorte que je l'ai vu me traîner à la lumière de la lune [bof / l'idée est-elle : « grâce à », à ton avis ?], encore resplendissante ; me traîner à s'en épuiser. L'homme que tu avais pris pour un dieu de la chance avait assassiné tes rêves sans [cheville : « pour autant » ? Comme tu veux…] réussir à assassiner ta passion. Mais [?] il m'a assassiné moi.

Sabrina a dit…

Je vais essayer d'être bien organisée ;):
- j'avais mis au départ "je me suis de nouveau levé", mais après j'ai "nouvelle". Je vais essayer de trouver autre chose.
- ok pour "achevé" et qu'on enlève "ce qui s'est passé"
- bien mieux avec la virgule, merci :)
- top "tailladé" !! Merci :)
- pour "pris le temps", j'y avais pensé aussi. Mais comme après j'ai mis "pris pour un dieu", j'ai changé ;)
- j'aime beaucoup avec "sans", mais je l'utilise après ;)
- alors je l'avais compris ainsi : je l'ai vu me traîner, cette action se passant sous la lumière de la lune. J'ai compris qu'il indiquait ce détail pour expliquer qu'il avait tout vu malgré l'obscurité.
- oui à la cheville, j'aime bcp ! merci :)
- "y" a parfois le sens de "mais", non ? Et comme je trouvais qu'ici, ça allait bien, bah j'ai mis ;)!

Le lendemain, je me suis de nouveau levé aux aurores pour jouir de l'espoir de t'avoir brièvement encore à mes côtés. J'arrivais bien sur notre lieu habituel, et c'est là que tout s'est achevé. Sur le coup, je n'ai pas compris. Après, je l'ai vu, lui, lui que je n'avais jamais vu, nettoyant le sang du couteau avec lequel il m'avait attaqué, avec lequel il avait entièrement tailladé la partie gauche de ma tête. Dans l'obscurité, il s'est arrêté pour s'assurer qu'il ne sentait plus mon pouls à mon poignet. Or, il n'a pas remarqué que mes yeux restaient ouverts. De sorte que je l'ai vu me traîner sous la lumière de la lune, encore resplendissante ; me traîner à s'en épuiser. L'homme que tu avais pris pour un dieu de la chance avait assassiné tes rêves sans pour autant réussir à assassiner ta passion. Et il m'a assassiné moi.

Tradabordo a dit…

Le lendemain, je me suis de nouveau levé aux aurores pour jouir de l'espoir de t'avoir brièvement encore à mes côtés. J'arrivais bien [CS… L'idée, à mon avis, c'est que ça y est, il était en train d'arriver quand………] sur notre lieu habituel, et c'est là que tout s'est achevé [ou, au fait : « prendre fin » ? Choisis celui que tu préfères…]. Sur le coup, je n'ai pas compris. Après, je l'ai vu, lui, lui que je n'avais jamais vu, nettoyant le sang du couteau avec lequel il m'avait attaqué, avec lequel il avait entièrement tailladé la partie gauche de ma tête. Dans l'obscurité, il s'est arrêté pour s'assurer qu'il ne sentait plus mon pouls à mon poignet. Or, il n'a pas remarqué que mes yeux restaient ouverts. De sorte que je l'ai vu me traîner sous la lumière de la lune, encore resplendissante ; me traîner à s'en épuiser. L'homme que tu avais pris pour un dieu de la chance avait assassiné tes rêves sans pour autant réussir à assassiner ta passion. Et il m'a assassiné moi.

Sabrina a dit…

Ah ok, merci :).
On a prendre "pris" plus loin ;).
Je tente autre chose alors.

Le lendemain, je me suis de nouveau levé aux aurores pour jouir de l'espoir de t'avoir brièvement encore à mes côtés. J'arrivais presque sur notre lieu habituel, là où tout a fini. Sur le coup, je n'ai pas compris. Après, je l'ai vu, lui, lui que je n'avais jamais vu, nettoyant le sang du couteau avec lequel il m'avait attaqué, avec lequel il avait entièrement tailladé la partie gauche de ma tête. Dans l'obscurité, il s'est arrêté pour s'assurer qu'il ne sentait plus mon pouls à mon poignet. Or, il n'a pas remarqué que mes yeux restaient ouverts. De sorte que je l'ai vu me traîner sous la lumière de la lune, encore resplendissante ; me traîner à s'en épuiser. L'homme que tu avais pris pour un dieu de la chance avait assassiné tes rêves sans pour autant réussir à assassiner ta passion. Et il m'a assassiné moi.

Tradabordo a dit…

Le lendemain, je me suis de nouveau levé aux aurores pour jouir de l'espoir de t'avoir brièvement encore à mes côtés. J'arrivais presque sur notre lieu habituel, là où tout a fini. Sur le coup, je n'ai pas compris. Après, je l'ai vu, lui, lui que je n'avais jamais vu, nettoyant le sang du couteau avec lequel il m'avait attaqué, avec lequel il avait entièrement tailladé la partie gauche de ma tête. Dans l'obscurité, il s'est arrêté pour s'assurer qu'il ne sentait plus mon pouls à mon poignet. Or, il n'a pas remarqué que mes yeux restaient ouverts. De sorte que je l'ai vu me traîner sous la lumière de la lune, encore resplendissante ; me traîner à s'en épuiser. L'homme que tu avais pris pour un dieu de la chance avait assassiné tes rêves sans pour autant réussir à assassiner ta passion. Et il m'a assassiné moi.

OK.