jeudi 30 juin 2016

Projet Justine / Marion – phrases 268-274

La gente seguía llegando y se acomodaba como podía, porque el espacio era relativamente chico. Traían con ellos la humedad de la lluvia que se evaporaba y hacía chorrear a las paredes. Algunos de los recién llegados empezaron a cantar pero a Verónica le costaba verlos porque ya no quedaba espacio, la empujaban, y en un empujón demasiado fuerte perdió de vista a los Domínguez. Empezó a transpirar: se dio cuenta de que tenía miedo. El coro cantaba pero la melodía era extraña, nerviosa, y no podía entender una palabra de la letra. Estaba segura de que no era una de las canciones del día anterior. Era una música horrible, repetitiva, y se escuchaban gritos.

Traduction temporaire :
Les gens continuaient d’affluer et s’installaient tant bien que mal à cause de l’exiguïté de l’endroit. Ils apportaient avec eux l’humidité de la pluie qui s’évaporait, faisant ruisseler les murs. Une poignée des derniers arrivés se mit à chanter, mais Verónica avait du mal à les voir parce qu'il n’y avait plus de place, on la poussait et dans une trop forte bousculade, elle perdit les Domínguez de vue. Elle commença à transpirer : elle se rendit compte qu’elle avait peur. Le chœur chantait, mais la mélodie était étrange, nerveuse, elle ne comprenait pas un mot des paroles. Elle était certaine que ce n’était pas un des morceaux de la veille. Il s’agissait d’une musique horrible, répétitive, et on entendait des cris.

4 commentaires:

Justine a dit…

Les gens continuaient d’affluer et à cause de l’exiguïté de l’endroit, s’installaient tant bien que mal. Ils apportaient avec eux l’humidité de la pluie qui s’évaporait, faisant ruisseler les murs. Une poignée des derniers arrivés, se mit à chanter, mais Verónica avait du mal à les voir ; il n’y avait plus de place, on la poussait et dans une trop forte bousculade, elle perdit les Domínguez de vue. Elle commença à transpirer : elle se rendit compte qu’elle avait peur. Le chœur chantait, mais la mélodie était étrange, nerveuse, elle ne comprenait pas un mot des paroles. Elle était certaine que ce n’était pas une des chansons de la veille. Il s’agissait d’une musique horrible, répétitive, et plus qu'un chant, on entendait des cris.

Tradabordo a dit…

Les gens continuaient d’affluer et à cause de l’exiguïté de l’endroit [laisse la syntaxe comme en V.O. ; je pense que ce sera mieux], s’installaient tant bien que mal. Ils apportaient avec eux l’humidité de la pluie qui s’évaporait, faisant ruisseler les murs. Une poignée des derniers arrivés, [la virgule ?] se mit à chanter, mais Verónica avait du mal à les voir ; [là, tu supprimes quand même le lien de cause à effet] il n’y avait plus de place, on la poussait et dans une trop forte bousculade, elle perdit les Domínguez de vue. Elle commença à transpirer : elle se rendit compte qu’elle avait peur. Le chœur chantait [un moyen de ne pas répéter ? Pas facile, mais vois si tu as une solution…], mais la mélodie était étrange, nerveuse, elle ne comprenait pas un mot des paroles. Elle était certaine que ce n’était pas une des chansons de la veille. Il s’agissait d’une musique horrible, répétitive, et plus qu'un chant [?], on entendait des cris.

Justine a dit…

Les gens continuaient d’affluer et s’installaient tant bien que mal à cause de l’exiguïté de l’endroit. Ils apportaient avec eux l’humidité de la pluie qui s’évaporait, faisant ruisseler les murs. Une poignée des derniers arrivés se mit à chanter, mais Verónica avait du mal à les voir parce qu'il n’y avait plus de place, on la poussait et dans une trop forte bousculade, elle perdit les Domínguez de vue. Elle commença à transpirer : elle se rendit compte qu’elle avait peur. Le chœur chantait, mais la mélodie était étrange, nerveuse, elle ne comprenait pas un mot des paroles. Elle était certaine que ce n’était pas un des morceaux de la veille. Il s’agissait d’une musique horrible, répétitive, et on entendait des cris.

Tradabordo a dit…

Les gens continuaient d’affluer et s’installaient tant bien que mal à cause de l’exiguïté de l’endroit. Ils apportaient avec eux l’humidité de la pluie qui s’évaporait, faisant ruisseler les murs. Une poignée des derniers arrivés se mit à chanter, mais Verónica avait du mal à les voir parce qu'il n’y avait plus de place, on la poussait et dans une trop forte bousculade, elle perdit les Domínguez de vue. Elle commença à transpirer : elle se rendit compte qu’elle avait peur. Le chœur chantait, mais la mélodie était étrange, nerveuse, elle ne comprenait pas un mot des paroles. Elle était certaine que ce n’était pas un des morceaux de la veille. Il s’agissait d’une musique horrible, répétitive, et on entendait des cris.

OK.