vendredi 24 juin 2016

Projet Sabrina 4 – phrases 256-264

A mí que tampoco te podía ofrecer nada más que mi adoración bajo el agua. Alma, Alga. Arribados a una plataforma rocosa, camuflada por tupidos arbustos, a corta distancia del que fue nuestro altar, ató a mi tronco un costal de arena y me empujó para que terminase de morir como había vivido gran parte mis años, hundido en las tinieblas. ¿Cuál es el sentido de las cosas, Alga? No lo encuentro. Aquí yazco yo, sumergido, sin hallar sentido al rumbo que trastornó mi vida, a la sucesión de he chos que me condujeron hasta aquí por segunda vez, hasta ti, Alma, para siempre. ¿Cuál sería el sentido de la vida para mi asesino? Después de arrastrarme hasta esa plataforma; y atarme a las espaldas un costal de arena para arrojarme con la cara bien apuntada al fondo, resbala; sí, resbala y a su vez mi cuerpo se le escapa de las manos de tal modo que caí al agua con la mirada fija en el cielo. Así terminé yo mis días, Alga, con los ojos abiertos en el fondo de este lago que es tu lago.

Traduction temporaire :
, moi qui n'étais pas capable non plus de t'offrir autre chose que mon adoration sous l'eau. Alma, Algue. Parvenus à une plateforme rocheuse, masquée par des arbustes touffus, non loin de notre autel, il a attaché un sac de sable à mon buste et m'a poussé pour que ma mort se termine comme s'est passée une grande partie mon existence : dans les ténèbres. Quel sens ont donc les choses, Algue ? Je ne le vois pas. Je gis ici, immergé, sans trouver de signification au chemin qui a bouleversé ma vie, à l'enchaînement des faits qui m'ont conduit jusqu'ici pour la seconde fois, jusqu'à toi, Alma, pour toujours. Quel sens peut bien avoir la vie pour mon assassin ? Après m'avoir traîné à cette plateforme et m'avoir attaché un sac de sable dans le dos pour me jeter dans le lac, la tête la première vers le fond, il glisse ; oui, il glisse, et mon corps lui échappe des mains, de sorte que je suis tombé à l'eau le regard fixé vers le ciel. Voici comment j'ai fini mes jours, Algue, les yeux ouverts au fond de ce lac, ton lac.

7 commentaires:

Sabrina a dit…

, moi qui ne pouvais pas t'offrir non plus autre chose chose que mon adoration sous l'eau. Alma, Algue. Parvenus à une plateforme rocheuse masquée par des arbustes touffus, non loin de notre autel, il a attaché un sac de sable à mon tronc et m'a poussé pour que je termine de mourir comme j'avais passé une grande partie mon existence : plongé dans les ténèbres. Quel est le sens des choses, Algue ? Je ne le vois pas. Je gis ici, immergé, sans trouver de sens au chemin qui a bouleversé ma vie, à l'enchaînement des faits qui m'ont conduit jusqu'ici pour la seconde fois, jusqu'à toi, Alma, pour toujours. Quel devait être le sens de la vie pour mon assassin ? Après m'avoir traîné à cette plateforme et m'avoir attaché un sac de sable dans le dos pour me jeter dans le lac, mon visage bien dirigé vers le fond, il glisse ; oui, il glisse ; mon corps lui échappe des mains de sorte que je suis tombé à l'eau, le regard fixé au ciel. Voici comment j'ai fini mes jours, Algue, les yeux ouverts au fond de ce lac, ton lac.

Tradabordo a dit…

, moi [tu m'indiques que tu relies avec la phrase d'avant, c'est ça ?] qui ne pouvais pas t'offrir non plus autre chose chose que [tout cela est un peu lourd / manque de fluidité ; vois ce que tu peux faire…] mon adoration sous l'eau. Alma [il faudra sans doute que tu traduises au moment de la relecture], Algue. Parvenus à une plateforme rocheuse [virgule comme en V.O. ?] masquée par des arbustes touffus, non loin de notre autel, il a attaché un sac de sable à mon tronc [« buste » ?] et m'a poussé pour que je termine de mourir [naturel ?] comme j'avais passé une grande partie mon existence : plongé dans les ténèbres. Quel est le sens des choses [ou : « Quel sont ont donc les choses » ? Comme tu préfères…], Algue ? Je ne le vois pas. Je gis ici, immergé, sans trouver de sens [pas de répétition en V.O., donc pas de répétition en français] au chemin qui a bouleversé ma vie, à l'enchaînement des faits qui m'ont conduit jusqu'ici pour la seconde fois, jusqu'à toi, Alma, pour toujours. Quel devait [temps ?] être le sens de la vie pour mon assassin ? Après m'avoir traîné à cette plateforme et m'avoir attaché un sac de sable dans le dos pour me jeter dans le lac, mon visage bien dirigé [pas dans le sens de « la tête la première » ?] vers le fond, il glisse ; oui, il glisse ; [le point-virgule ?] mon corps lui échappe des mains [ponctuation manquante ici] de sorte que je suis tombé à l'eau, [la virgule ?] le regard fixé au [?] ciel. Voici comment j'ai fini mes jours, Algue, les yeux ouverts au fond de ce lac, ton lac.

Sabrina a dit…

Oui :)
Pourquoi veux-tu qu'on traduise Alma ? Ce ne serait pas mieux de garder la 1ère syllabe commune, comme en VO, pour encore mieux faire le rapprochement ?
Je l'avais enlevée exprès la virgule, mais je crois que tu me suggères qu'il vaut mieux la remettre :p !
"Buste", "quel sens ont donc les choses ?", c'est bien mieux ! Merci :)
"La tête la 1ère", mais oui !! Merci :)
Je reprends le reste.

, moi qui n'étais pas capable non plus de t'offrir autre chose chose que mon adoration sous l'eau. Alma, Algue. Parvenus à une plateforme rocheuse, masquée par des arbustes touffus, non loin de notre autel, il a attaché un sac de sable à mon buste et m'a poussé pour que ma mort se termine comme s'est passée une grande partie mon existence : dans les ténèbres. Quel sens ont donc les choses, Algue ? Je ne le vois pas. Je gis ici, immergé, sans trouver de signification au chemin qui a bouleversé ma vie, à l'enchaînement des faits qui m'ont conduit jusqu'ici pour la seconde fois, jusqu'à toi, Alma, pour toujours. Quel sens a donc dû avoir la vie pour mon assassin ? Après m'avoir traîné à cette plateforme et m'avoir attaché un sac de sable dans le dos pour me jeter dans le lac, la tête la première vers le fond, il glisse ; oui, il glisse, mon corps lui échappe des mains, de sorte que je suis tombé à l'eau le regard fixé vers le ciel. Voici comment j'ai fini mes jours, Algue, les yeux ouverts au fond de ce lac, ton lac.

Tradabordo a dit…

Parce que c'est bizarre d'avoir traduit le premier et pas le second.

, moi qui n'étais pas capable non plus de t'offrir autre chose que mon adoration sous l'eau. Alma, Algue. Parvenus à une plateforme rocheuse, masquée par des arbustes touffus, non loin de notre autel, il a attaché un sac de sable à mon buste et m'a poussé pour que ma mort se termine comme s'est passée une grande partie mon existence : dans les ténèbres. Quel sens ont donc les choses, Algue ? Je ne le vois pas. Je gis ici, immergé, sans trouver de signification au chemin qui a bouleversé ma vie, à l'enchaînement des faits qui m'ont conduit jusqu'ici pour la seconde fois, jusqu'à toi, Alma, pour toujours. Quel sens a donc dû avoir [je pense que c'est juste l'hypothèse : doit avoir… / peut bien avoir] la vie pour mon assassin ? Après m'avoir traîné à cette plateforme et m'avoir attaché un sac de sable dans le dos pour me jeter dans le lac, la tête la première vers le fond, il glisse ; oui, il glisse, et mon corps lui échappe des mains, de sorte que je suis tombé à l'eau le regard fixé vers le ciel. Voici comment j'ai fini mes jours, Algue, les yeux ouverts au fond de ce lac, ton lac.

Sabrina a dit…

Et si on en traduit aucune des 2 :p ? Et si on mettait une note de bas de page à la 1ère occurrence de chacun d'eux ? Parce qu'en français, Alma peut être aussi un prénom alors que Ame, c'est bizarre, non ?

Je n'avais pas bien compris, merci :). J'opte alors pour "peut bien avoir", c'est très bien !

, moi qui n'étais pas capable non plus de t'offrir autre chose que mon adoration sous l'eau. Alma, Algue. Parvenus à une plateforme rocheuse, masquée par des arbustes touffus, non loin de notre autel, il a attaché un sac de sable à mon buste et m'a poussé pour que ma mort se termine comme s'est passée une grande partie mon existence : dans les ténèbres. Quel sens ont donc les choses, Algue ? Je ne le vois pas. Je gis ici, immergé, sans trouver de signification au chemin qui a bouleversé ma vie, à l'enchaînement des faits qui m'ont conduit jusqu'ici pour la seconde fois, jusqu'à toi, Alma, pour toujours. Quel sens peut bien avoir la vie pour mon assassin ? Après m'avoir traîné à cette plateforme et m'avoir attaché un sac de sable dans le dos pour me jeter dans le lac, la tête la première vers le fond, il glisse ; oui, il glisse, et mon corps lui échappe des mains, de sorte que je suis tombé à l'eau le regard fixé vers le ciel. Voici comment j'ai fini mes jours, Algue, les yeux ouverts au fond de ce lac, ton lac.

Tradabordo a dit…

On verra quand tu en seras aux relectures, mais il faudra y penser.

, moi qui n'étais pas capable non plus de t'offrir autre chose que mon adoration sous l'eau. Alma, Algue. Parvenus à une plateforme rocheuse, masquée par des arbustes touffus, non loin de notre autel, il a attaché un sac de sable à mon buste et m'a poussé pour que ma mort se termine comme s'est passée une grande partie mon existence : dans les ténèbres. Quel sens ont donc les choses, Algue ? Je ne le vois pas. Je gis ici, immergé, sans trouver de signification au chemin qui a bouleversé ma vie, à l'enchaînement des faits qui m'ont conduit jusqu'ici pour la seconde fois, jusqu'à toi, Alma, pour toujours. Quel sens peut bien avoir la vie pour mon assassin ? Après m'avoir traîné à cette plateforme et m'avoir attaché un sac de sable dans le dos pour me jeter dans le lac, la tête la première vers le fond, il glisse ; oui, il glisse, et mon corps lui échappe des mains, de sorte que je suis tombé à l'eau le regard fixé vers le ciel. Voici comment j'ai fini mes jours, Algue, les yeux ouverts au fond de ce lac, ton lac.

OK.

Sabrina a dit…

J'ajoute ce point aux "mais" et "lac/lagune" ;)