vendredi 20 juillet 2012

Les Hanaq Pacha – phrases 23-24

Miró nuevamente a Julián. Apenas parecía haber envejecido y continuaba siendo ese hombre duro y alto, de cara ennegrecida por el sol y pelo tupido y negro, que en esa época, como muchos otros, se ganaba en parte la vida vistiéndose para los turistas y yendo a las islas flotantes de paja a vender souvenirs, dejarse llamar uros y tomarse fotos.

Traduction temporaire :
Il regarda de nouveau Julián. Il n'avait presque pas changé : il demeurait cet homme dur et grand,  au visage bruni par le soleil et aux cheveux épais et noirs, qui, comme beaucoup d'autres à cette époque,  gagnait en partie sa vie en enfilant la tenue traditionnelle pour les touristes et en allant sur les îles flottantes de paille vendre des souvenirs, se faire appeler Uro et prendre en photo.

10 commentaires:

Cloé a dit…

Il regarda de nouveau Julián. Il semblait à peine avoir vieilli et était toujours cet homme dur et grand, au visage noirci par le soleil et aux cheveux touffus et noirs, qui à cette époque, comme beaucoup d'autres, gagnait en partie sa vie en s'habillant pour les touristes et en allant sur les îles flottantes de paille pour vendre des souvenirs, se laisser appeler Uros et prendre en photos.

Vanessa a dit…

1) Je me demande si "s'habiller pour les touristes" est assez clair. Peut-être devrions-nous mettre "se déguiser" ?

2) J'ai un peu changé la fin en ajoutant un verbe à la structure finale ("pour vendre des souvenirs, se faire appeler Uro et se laisser prendre en photos").


Il regarda de nouveau Julián. Il semblait à peine avoir vieilli et était toujours cet homme dur et grand, au visage noirci par le soleil et aux cheveux touffus et noirs, qui, à cette époque, comme beaucoup d'autres, gagnait en partie sa vie en se déguisant pour les touristes et en se rendant sur les îles flottantes de paille pour vendre des souvenirs, se faire appeler Uro et se laisser prendre en photos.

Tradabordo a dit…

1) « Il semblait à peine avoir vieilli » ; il y a un moyen plus naturel de le dire.

2) « était toujours » ou « demeurait » ?

3) « noirci », c'est bizarre… Je ne pense pas qu'il faille traduire littéralement.

4) Ça se dit, « les cheveux touffus » ? Je ne trouve pas d'autre solution, mais je me demande s'il n'y a pas autre chose. Réfléchissez-y davantage.

5) Effectivement, « en s'habillant pour les touristes » n'est pas très clair… Mais je me demande si on résout la question avec « déguiser ». Peut-être faut-il expliciter un peu. Je ne sais pas… Dites-moi ce que vous en pensez.

6) « en allant sur les îles flottantes de paille » ; avez-vous compris de quoi il s'agissait – par-delà la stricte traduction littérale ?

7) « Uro » ; de quoi s'agit-il ?

8) Pourquoi un « s » à « photo » ?

Vanessa a dit…

Il regarda de nouveau Julián. Il n'avait presque pas changé et demeurait cet homme dur et grand, au visage bruni par le soleil et aux cheveux denses et noirs, qui, à cette époque, comme beaucoup d'autres, gagnait en partie sa vie en revêtant l'habit traditionnel pour les touristes et en allant sur les îles flottantes de paille vendre des souvenirs, se faire appeler "Uro" et prendre en photo.


1) "Il n'avait presque pas changé" ?

2) "demeurait"

3) "visage bruni"

4) "cheveux denses et noirs"

5),6) Ce que nous devons dire, c'est que Julián se rend sur les îles flottantes typiques du Titicaca où vivaient autrefois les Uros pour appâter les touristes en leur donnant à voir du "traditionnel", de par sa tenue notamment.
Justement, le terme d'"habit traditionnel" ne serait-il pas une manière d'expliciter ?

7) Les Uros sont un peuple vivant autrefois sur des "îles flottantes" construites sur le lac Titicaca.
Que pensez-vous de mettre des guillemets avant et après "Uro" ?

Tradabordo a dit…

Il regarda de nouveau Julián. Il n'avait presque pas changé et (à mon avis, on peut supprimer ce « et ») demeurait cet homme dur et grand, au visage bruni par le soleil et aux cheveux denses et noirs, qui, à cette époque (est-ce qu'on ne devrait pas le mettre après (« beaucoup d'autres » ; voyons ce que ça donne), comme beaucoup d'autres, gagnait en partie sa vie en revêtant l'habit (j'ai l'impression qu'il entre dans les ordres…) traditionnel pour les touristes et en allant sur les îles flottantes de paille vendre des souvenirs, se faire appeler "Uro" (je pense que les guillemets peuvent être jugés péjoratifs) et prendre en photo.

Cloé a dit…

1) Je pense qu'on peut supprimer le « et » en passant par les deux points.

2) Ok pour déplacer le « à cette époque »

3) Peut-être qu'on devrait remplacer le terme « habit » par « tenue » ou « costume », mais je trouve ce dernier un peu péjoratif.

4) Je pense aussi que les guillemets n'iront pas, que pensez-vous d'une note de bas de page ?

Il regarda de nouveau Julián. Il n'avait presque pas changé : il demeurait cet homme dur et grand, au visage bruni par le soleil et aux cheveux denses et noirs, qui, comme beaucoup d'autres à cette époque, gagnait en partie sa vie en revêtant la tenue traditionnelle pour les touristes et en allant sur les îles flottantes de paille vendre des souvenirs, se faire appeler Uro et prendre en photo.

Tradabordo a dit…

Il regarda de nouveau Julián. Il n'avait presque pas changé : il demeurait cet homme dur et grand, au visage bruni par le soleil et aux cheveux denses et noirs, qui, comme beaucoup d'autres à cette époque, gagnait en partie sa vie en revêtant la tenue traditionnelle pour les touristes et en allant sur les îles flottantes de paille vendre des souvenirs, se faire appeler Uro et prendre en photo.

1) « cheveux denses » ou « cheveux épais » ?
2) Je n'aime pas beaucoup « en revêtant » ; que pensez-vous de « en enfilant » ?

Cloé a dit…

1) « cheveux épais » est plus approprié

2) Je préfère « en enfilant »

Il regarda de nouveau Julián. Il n'avait presque pas changé : il demeurait cet homme dur et grand, au visage bruni par le soleil et aux cheveux épais et noirs, qui, comme beaucoup d'autres à cette époque, gagnait en partie sa vie en enfilant la tenue traditionnelle pour les touristes et en allant sur les îles flottantes de paille vendre des souvenirs, se faire appeler Uro et prendre en photo.

Tradabordo a dit…

Il regarda de nouveau Julián. Il n'avait presque pas changé : il demeurait cet homme dur et grand, au visage bruni par le soleil et aux cheveux épais et noirs, qui, comme beaucoup d'autres à cette époque, gagnait en partie sa vie en enfilant la tenue traditionnelle pour les touristes et en allant sur les îles flottantes de paille vendre des souvenirs, se faire appeler Uro et prendre en photo.

OK.

Vanessa.

Je mets la suite.

Vanessa a dit…

Ok pour moi !