Su expresión cabizbaja que apuntaba al vaso era la de la vergüenza. Cuando levantó su rostro para mirarnos notamos que se había sonrojado. Bebió lo que quedaba de trago y dudando, luego de posar su mirada en cada uno de nosotros, en una frase entrecortada, dijo:
–Puta, sentí rico, como si me la hubiese tirado.
Traduction temporaire :
Sa posture, tête baissée dans son verre, était celle de la honte. Quand il releva le visage pour nous regarder, nous remarquâmes qu'il était tout rouge. Il but ce qu'il restait de sa boisson d'un trait et, après avoir détaillé chacun de nous, il lâcha une phrase entrecoupée, hésitant :
— Putain, c’était bon, comme si je me l’étais tirée.
Sa posture, tête baissée dans son verre, était celle de la honte. Quand il releva le visage pour nous regarder, nous remarquâmes qu'il était tout rouge. Il but ce qu'il restait de sa boisson d'un trait et, après avoir détaillé chacun de nous, il lâcha une phrase entrecoupée, hésitant :
— Putain, c’était bon, comme si je me l’étais tirée.
9 commentaires:
Son expression, tête baissée, regardant son verre, était celle de la honte. Quand il leva le visage pour nous regarder, nous remarquâmes qu'il avait rougi. Il but ce qu'il restait d'un trait et hésitant, après avoir posé son regard sur chacun de nous, d'une phrase entrecoupée, il lâcha :
— Putain, c’était bon, comme si je me l’étais faite.
Son expression, tête baissée, regardant [ou « la tête dans son » ?] son verre, était celle de la honte. Quand il leva [ou « releva »] le visage pour nous regarder, nous remarquâmes qu'il avait rougi [ou « était tout rouge » ?]. Il but ce qu'il restait [j'ai l'impression qu'il manque quelque chose ici] d'un trait et [virgulant] hésitant, après avoir posé son regard [il faut vraiment contourner… parce qu'il y en a 50 en deux out phrases ; « dévisager » ou quelque chose comme ça… Je sais que tu as « visage » avant ; mais vois ce que tu peux faire de l'ensemble] sur chacun de nous, d'une phrase entrecoupée, il lâcha [avance-le] :
— Putain, c’était bon, comme si je me l’étais faite [« tirée » – comme en V.O. ?].
Son expression, la tête baissée, dans son verre, était celle de la honte. Quand il releva le visage pour nous regarder, nous remarquâmes qu'il était tout rouge. Il but ce qu'il lui restait d'un trait et, hésitant, après avoir détaillé chacun de nous, il lâcha d'une phrase entrecoupée :
— Putain, c’était bon, comme si je me l’étais tirée.
Son expression, la tête baissée, [pourquoi cette virgule ? + un doute : bizarre de parler d' « expression » alors qu'il a la tête baissée… Est-ce que ça n'est plutôt quelque chose comme « position » ?] dans son verre, était celle de la honte. Quand il releva le visage pour nous regarder, nous remarquâmes qu'il était tout rouge. Il but ce qu'il lui restait [ou « le reste de sa boisson » ? Je vous laisse trancher] d'un trait et, hésitant, après avoir détaillé chacun de nous, il lâcha d' [?????] une phrase entrecoupée :
— Putain, c’était bon, comme si je me l’étais tirée.
Sa posture, la tête baissée dans son verre, était celle de la honte. Quand il releva le visage pour nous regarder, nous remarquâmes qu'il était tout rouge. Il but ce qu'il restait de sa boisson d'un trait et, hésitant, après avoir détaillé chacun de nous, il lâcha une phrase entrecoupée :
— Putain, c’était bon, comme si je me l’étais tirée.
Sa posture, la [je me demande si le « la » est utile… mais j'hésite ; je vous laisse trancher] tête baissée dans son verre, était celle de la honte. Quand il releva le visage pour nous regarder, nous remarquâmes qu'il était tout rouge. Il but ce qu'il restait de sa boisson d'un trait et, hésitant [ça ne va pas ici… mets-le à la fin], après avoir détaillé chacun de nous, il lâcha une phrase entrecoupée :
— Putain, c’était bon, comme si je me l’étais tirée.
Sa posture, tête baissée dans son verre, était celle de la honte. Quand il releva le visage pour nous regarder, nous remarquâmes qu'il était tout rouge. Il but ce qu'il restait de sa boisson d'un trait et, après avoir détaillé chacun de nous, il lâcha une phrase entrecoupée, hésitant :
— Putain, c’était bon, comme si je me l’étais tirée.
Sa posture, tête baissée dans son verre, était celle de la honte. Quand il releva le visage pour nous regarder, nous remarquâmes qu'il était tout rouge. Il but ce qu'il restait de sa boisson d'un trait et, après avoir détaillé chacun de nous, il lâcha une phrase entrecoupée, hésitant :
— Putain, c’était bon, comme si je me l’étais tirée.
OK.
Manon ?
Sa posture, tête baissée dans son verre, était celle de la honte. Quand il releva le visage pour nous regarder, nous remarquâmes qu'il était tout rouge. Il but ce qu'il restait de sa boisson d'un trait et, après avoir détaillé chacun de nous, il lâcha une phrase entrecoupée, hésitant :
— Putain, c’était bon, comme si je me l’étais tirée.
OK !
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