La muerte, el suicidio, era demasiado corto, la guerrillera, la necesidad de matar a los que no dejan vivir, le parecía una acción fabuloso y eminentemente religiosa, pero él no tenía condiciones para ello, incluso, a veces pensaba, y ahora estaba seguro, no se había suicidado en momentos que no quería recordar porque finalmente llegaba la conclusión de que no habría disparado el revolver o la pistola de una manera definitivamente eficaz, no le habría gustado quedar malherido, mutilado, desfigurado y, especialmente, mutilado moralmente, incapacitado para vivir, pero si hubiera sido un buen campeón internacional de tiro al blanco, de tiro al pichón, probablemente no se hubiera suicidado, antes de matar a su mujer ¿y por qué habría tenido él que matar a su mujer cuando ella ya se estaba muriendo sin ruido?, se habría hecho guerrillero, pero ahora ya había escogido su manera de irse, no la muerte por suicidio, no la guerra de guerrillas, tan fabulosa y tan certera, pero los guerrilleros se van solo para regresar, en realidad estaba seguro de que sólo regresaban, él, por el contrario, se había ido más lejos, por lo menos esperaba que así fuera, que los que abandonaban voluntariamente el mundo, que los que salen del mundo para hacerlo pedazos y empezar de nuevo, no borrándose ellos para borrar el mundo.
Traduction temporaire :
La mort, le suicide, c’était trop court ; la guérilla, la nécessité de tuer ceux qui ne laissent pas vivre, lui semblait une action fabuleuse et éminemment religieuse, mais il n’avait pas les capacités pour cela, parfois même il pensait – et maintenant il en était sûr – qu’il ne s’était pas suicidé à des moments dont il ne voulait pas se rappeler parce que finalement, s’imposait la conclusion qu’il n’aurait pas tiré avec le révolver ou le pistolet d’une manière définitivement efficace, il n’aurait pas aimé se retrouver gravement blessé, mutilé, défiguré et, plus particulièrement, mutilé moralement, incapable de vivre ; cependant, s’il avait été un grand champion international de tir à la cible, de tir aux pigeons, il ne se serait probablement pas suicidé avant de tuer sa femme. Pourquoi aurait-il dû tuer sa femme alors qu’elle était déjà en train de mourir sans bruit ? Il serait devenu guérillero, or à présent, il avait vraiment choisi sa manière de partir : pas la mort par suicide, pas la guerre des guérillas, si fabuleuse et juste, parce que les guérilléros ne partent que pour revenir – en réalité, il était certain qu’ils ne faisaient que revenir – ; lui, il était parti plus loin – du moins, c’est ce qu’il espérait – que ceux qui abandonnaient volontairement le monde, qui sortent du monde pour le réduire en miettes et recommencer, sans s’effacer pour effacer le monde.
La mort, le suicide, c’était trop court ; la guérilla, la nécessité de tuer ceux qui ne laissent pas vivre, lui semblait une action fabuleuse et éminemment religieuse, mais il n’avait pas les capacités pour cela, parfois même il pensait – et maintenant il en était sûr – qu’il ne s’était pas suicidé à des moments dont il ne voulait pas se rappeler parce que finalement, s’imposait la conclusion qu’il n’aurait pas tiré avec le révolver ou le pistolet d’une manière définitivement efficace, il n’aurait pas aimé se retrouver gravement blessé, mutilé, défiguré et, plus particulièrement, mutilé moralement, incapable de vivre ; cependant, s’il avait été un grand champion international de tir à la cible, de tir aux pigeons, il ne se serait probablement pas suicidé avant de tuer sa femme. Pourquoi aurait-il dû tuer sa femme alors qu’elle était déjà en train de mourir sans bruit ? Il serait devenu guérillero, or à présent, il avait vraiment choisi sa manière de partir : pas la mort par suicide, pas la guerre des guérillas, si fabuleuse et juste, parce que les guérilléros ne partent que pour revenir – en réalité, il était certain qu’ils ne faisaient que revenir – ; lui, il était parti plus loin – du moins, c’est ce qu’il espérait – que ceux qui abandonnaient volontairement le monde, qui sortent du monde pour le réduire en miettes et recommencer, sans s’effacer pour effacer le monde.
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La mort, le suicide, c’était trop court ; la guérilla, la nécessité de tuer ceux qui ne laissent pas vivre, lui semblait être une action fabuleuse et éminemment religieuse, mais il n’avait pas les capacités pour cela, et même parfois il pensait, et maintenant il en était sûr, qu’il ne s’était pas suicidé à des moments dont il ne voulait pas se rappeler parce que finalement, s’imposait la conclusion qu’il n’aurait pas tiré avec le révolver ou le pistolet d’une manière définitivement efficace, il n’aurait pas aimé se retrouver gravement blessé, mutilé, défiguré et, plus particulièrement, mutilé moralement, incapable de vivre ; mais s’il avait été un grand champion international de tir à la cible, de tir aux pigeons, il ne se serait probablement pas suicidé, avant de tuer sa femme. Pourquoi aurait-il dû tuer sa femme alors qu’elle était déjà en train de mourir sans bruit ? Il serait devenu guérillero, mais à présent, il avait bien choisi sa manière de partir, pas la mort par suicide, pas la guerre des guérillas, si fabuleuse et juste, les guérilléros ne partent que pour revenir, en réalité, il était certain qu’ils ne faisaient que revenir ; lui, en revanche, il était parti plus loin, du moins c’est ce qu’il espérait, que ceux qui abandonnaient volontairement le monde, qui sortent du monde pour le réduire en miettes et commencer de nouveau, sans s’effacer pour effacer le monde.
La mort, le suicide, c’était trop court ; la guérilla, la nécessité de tuer ceux qui ne laissent pas vivre, lui semblait être [on peut supprimer ?] une action fabuleuse et éminemment religieuse,
mais il n’avait pas les capacités pour cela, et même [pas en V.O. ?] parfois il pensait, et maintenant il en était sûr [entre crochets, cette précision ?], qu’il ne s’était pas suicidé à des moments dont il ne voulait pas se rappeler parce que finalement,
La mort, le suicide, c’était trop court ; la guérilla, la nécessité de tuer ceux qui ne laissent pas vivre, lui semblait une action fabuleuse et éminemment religieuse, mais il n’avait pas les capacités pour cela, parfois même il pensait [et maintenant il en était sûr] qu’il ne s’était pas suicidé à des moments dont il ne voulait pas se rappeler parce que finalement, s’imposait la conclusion qu’il n’aurait pas tiré avec le révolver ou le pistolet d’une manière définitivement efficace, il n’aurait pas aimé se retrouver gravement blessé, mutilé, défiguré et, plus particulièrement, mutilé moralement, incapable de vivre ; mais s’il avait été un grand champion international de tir à la cible, de tir aux pigeons, il ne se serait probablement pas suicidé, avant de tuer sa femme. Pourquoi aurait-il dû tuer sa femme alors qu’elle était déjà en train de mourir sans bruit ? Il serait devenu guérillero, mais à présent, il avait bien choisi sa manière de partir, pas la mort par suicide, pas la guerre des guérillas, si fabuleuse et juste, les guérilléros ne partent que pour revenir, en réalité, il était certain qu’ils ne faisaient que revenir ; lui, en revanche, il était parti plus loin, du moins c’est ce qu’il espérait, que ceux qui abandonnaient volontairement le monde, que ceux qui sortent du monde pour le réduire en miettes et commencer de nouveau, sans s’effacer pour effacer le monde.
La mort, le suicide, c’était trop court ; la guérilla, la nécessité de tuer ceux qui ne laissent pas vivre, lui semblait une action fabuleuse et éminemment religieuse, mais il n’avait pas les capacités pour cela, parfois même il pensait – et maintenant il en était sûr – qu’il ne s’était pas suicidé à des moments dont il ne voulait pas se rappeler parce que finalement, s’imposait la conclusion qu’il n’aurait pas tiré avec le révolver ou le pistolet d’une manière définitivement efficace,
OK
il n’aurait pas aimé se retrouver gravement blessé, mutilé, défiguré et, plus particulièrement, mutilé moralement, incapable de vivre ;
OK
mais s’il avait été un grand champion international de tir à la cible, de tir aux pigeons, il ne se serait probablement pas suicidé, avant de tuer sa femme.
OK
Pourquoi aurait-il dû tuer sa femme alors qu’elle était déjà en train de mourir sans bruit ? Il serait devenu guérillero, mais [ou « ; or, » ? JTLT] à présent, il avait bien [FS] choisi sa manière de partir, [ou deux points ?] pas la mort par suicide, pas la guerre des guérillas, si fabuleuse et juste, les guérilléros ne partent que pour revenir, en réalité, il était certain qu’ils ne faisaient que revenir [ce bout entre tirets ?] ;
La mort, le suicide, c’était trop court ; la guérilla, la nécessité de tuer ceux qui ne laissent pas vivre, lui semblait une action fabuleuse et éminemment religieuse, mais il n’avait pas les capacités pour cela, parfois même il pensait – et maintenant il en était sûr – qu’il ne s’était pas suicidé à des moments dont il ne voulait pas se rappeler parce que finalement, s’imposait la conclusion qu’il n’aurait pas tiré avec le révolver ou le pistolet d’une manière définitivement efficace, il n’aurait pas aimé se retrouver gravement blessé, mutilé, défiguré et, plus particulièrement, mutilé moralement, incapable de vivre ; mais s’il avait été un grand champion international de tir à la cible, de tir aux pigeons, il ne se serait probablement pas suicidé, avant de tuer sa femme. Pourquoi aurait-il dû tuer sa femme alors qu’elle était déjà en train de mourir sans bruit ? Il serait devenu guérillero, or à présent, il avait vraiment choisi sa manière de partir : pas la mort par suicide, pas la guerre des guérillas, si fabuleuse et juste, les guérilléros ne partent que pour revenir, en réalité, il était certain qu’ils ne faisaient que revenir ; lui, en revanche, était parti plus loin – du moins, c’est ce qu’il espérait – que ceux qui abandonnaient volontairement le monde, qui sortent du monde pour le réduire en miettes et recommencer, sans s’effacer pour effacer le monde.
La mort, le suicide, c’était trop court ; la guérilla, la nécessité de tuer ceux qui ne laissent pas vivre, lui semblait une action fabuleuse et éminemment religieuse, mais il n’avait pas les capacités pour cela, parfois même il pensait – et maintenant il en était sûr – qu’il ne s’était pas suicidé à des moments dont il ne voulait pas se rappeler parce que finalement, s’imposait la conclusion qu’il n’aurait pas tiré avec le révolver ou le pistolet d’une manière définitivement efficace, il n’aurait pas aimé se retrouver gravement blessé, mutilé, défiguré et, plus particulièrement, mutilé moralement, incapable de vivre ; mais [« cependant » ?] s’il avait été un grand champion international de tir à la cible, de tir aux pigeons, il ne se serait probablement pas suicidé, [j'hésite pour cette virgule ; est-ce que tu ne crois pas qu'on devrait la supprimer ?] avant de tuer sa femme. Pourquoi aurait-il dû tuer sa femme alors qu’elle était déjà en train de mourir sans bruit ? Il serait devenu guérillero, or à présent, il avait vraiment choisi sa manière de partir : pas la mort par suicide, pas la guerre des guérillas, si fabuleuse et juste, les guérilléros ne partent que pour revenir, en réalité, il était certain qu’ils ne faisaient que revenir [je crois vraiment qu'il y a là une forme de parenthèse…] ; lui, en revanche [on supprime ?], était parti plus loin – du moins, c’est ce qu’il espérait – que ceux qui abandonnaient volontairement le monde, qui sortent du monde pour le réduire en miettes et recommencer, sans s’effacer pour effacer le monde.
La mort, le suicide, c’était trop court ; la guérilla, la nécessité de tuer ceux qui ne laissent pas vivre, lui semblait une action fabuleuse et éminemment religieuse, mais il n’avait pas les capacités pour cela, parfois même il pensait – et maintenant il en était sûr – qu’il ne s’était pas suicidé à des moments dont il ne voulait pas se rappeler parce que finalement, s’imposait la conclusion qu’il n’aurait pas tiré avec le révolver ou le pistolet d’une manière définitivement efficace, il n’aurait pas aimé se retrouver gravement blessé, mutilé, défiguré et, plus particulièrement, mutilé moralement, incapable de vivre ; cependant, s’il avait été un grand champion international de tir à la cible, de tir aux pigeons, il ne se serait probablement pas suicidé avant de tuer sa femme. Pourquoi aurait-il dû tuer sa femme alors qu’elle était déjà en train de mourir sans bruit ? Il serait devenu guérillero, or à présent, il avait vraiment choisi sa manière de partir : pas la mort par suicide, pas la guerre des guérillas, si fabuleuse et juste, les guérilléros ne partent que pour revenir – en réalité, il était certain qu’ils ne faisaient que revenir – ; lui, il était parti plus loin – du moins, c’est ce qu’il espérait – que ceux qui abandonnaient volontairement le monde, qui sortent du monde pour le réduire en miettes et recommencer, sans s’effacer pour effacer le monde.
La mort, le suicide, c’était trop court ; la guérilla, la nécessité de tuer ceux qui ne laissent pas vivre, lui semblait une action fabuleuse et éminemment religieuse, mais il n’avait pas les capacités pour cela, parfois même il pensait – et maintenant il en était sûr – qu’il ne s’était pas suicidé à des moments dont il ne voulait pas se rappeler parce que finalement, s’imposait la conclusion qu’il n’aurait pas tiré avec le révolver ou le pistolet d’une manière définitivement efficace, il n’aurait pas aimé se retrouver gravement blessé, mutilé, défiguré et, plus particulièrement, mutilé moralement, incapable de vivre ; cependant, s’il avait été un grand champion international de tir à la cible, de tir aux pigeons, il ne se serait probablement pas suicidé avant de tuer sa femme. Pourquoi aurait-il dû tuer sa femme alors qu’elle était déjà en train de mourir sans bruit ? Il serait devenu guérillero, or à présent, il avait vraiment choisi sa manière de partir : pas la mort par suicide, pas la guerre des guérillas, si fabuleuse et juste, [je crois qu'il manque une cheville argumentative, style « parce que » ; regarde et dis-moi ce que tu en penses] les guérilléros ne partent que pour revenir – en réalité, il était certain qu’ils ne faisaient que revenir – ; lui, il était parti plus loin – du moins, c’est ce qu’il espérait – que ceux qui abandonnaient volontairement le monde, qui sortent du monde pour le réduire en miettes et recommencer, sans s’effacer pour effacer le monde.
La mort, le suicide, c’était trop court ; la guérilla, la nécessité de tuer ceux qui ne laissent pas vivre, lui semblait une action fabuleuse et éminemment religieuse, mais il n’avait pas les capacités pour cela, parfois même il pensait – et maintenant il en était sûr – qu’il ne s’était pas suicidé à des moments dont il ne voulait pas se rappeler parce que finalement, s’imposait la conclusion qu’il n’aurait pas tiré avec le révolver ou le pistolet d’une manière définitivement efficace, il n’aurait pas aimé se retrouver gravement blessé, mutilé, défiguré et, plus particulièrement, mutilé moralement, incapable de vivre ; cependant, s’il avait été un grand champion international de tir à la cible, de tir aux pigeons, il ne se serait probablement pas suicidé avant de tuer sa femme. Pourquoi aurait-il dû tuer sa femme alors qu’elle était déjà en train de mourir sans bruit ? Il serait devenu guérillero, or à présent, il avait vraiment choisi sa manière de partir : pas la mort par suicide, pas la guerre des guérillas, si fabuleuse et juste, parce que les guérilléros ne partent que pour revenir – en réalité, il était certain qu’ils ne faisaient que revenir – ; lui, il était parti plus loin – du moins, c’est ce qu’il espérait – que ceux qui abandonnaient volontairement le monde, qui sortent du monde pour le réduire en miettes et recommencer, sans s’effacer pour effacer le monde.
La mort, le suicide, c’était trop court ; la guérilla, la nécessité de tuer ceux qui ne laissent pas vivre, lui semblait une action fabuleuse et éminemment religieuse, mais il n’avait pas les capacités pour cela, parfois même il pensait – et maintenant il en était sûr – qu’il ne s’était pas suicidé à des moments dont il ne voulait pas se rappeler parce que finalement, s’imposait la conclusion qu’il n’aurait pas tiré avec le révolver ou le pistolet d’une manière définitivement efficace, il n’aurait pas aimé se retrouver gravement blessé, mutilé, défiguré et, plus particulièrement, mutilé moralement, incapable de vivre ; cependant, s’il avait été un grand champion international de tir à la cible, de tir aux pigeons, il ne se serait probablement pas suicidé avant de tuer sa femme. Pourquoi aurait-il dû tuer sa femme alors qu’elle était déjà en train de mourir sans bruit ? Il serait devenu guérillero, or à présent, il avait vraiment choisi sa manière de partir : pas la mort par suicide, pas la guerre des guérillas, si fabuleuse et juste, parce que les guérilléros ne partent que pour revenir – en réalité, il était certain qu’ils ne faisaient que revenir – ; lui, il était parti plus loin – du moins, c’est ce qu’il espérait – que ceux qui abandonnaient volontairement le monde, qui sortent du monde pour le réduire en miettes et recommencer, sans s’effacer pour effacer le monde.
OK.
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