jeudi 7 mars 2013

Projet Élise 2 – phrases 45-47

No me importa, yo no quise ensuciarme más las manos. Preferí pasar hambre. Me llevó siglos perfeccionar el entendimiento gracias al cual realizo este trabajo de concientización, como se dice ahora.

Traduction temporaire :
Peu m'importe, je n'ai pas voulu me salir les mains. J'ai préféré encore souffrir de la faim. Ça m'a pris des siècles pour aiguiser le discernement grâce auquel j’effectue ce travail de conscientisation, comme on dit aujourd’hui.

6 commentaires:

Unknown a dit…

Peu importe, je ne voulais pas me salir les mains. Je préférais encore souffrir de la faim. Ça fait des siècles que je perfectionne le discernement grâce auquel j’effectue ce travail de conscientisation, comme on dit aujourd’hui.

Tradabordo a dit…

Peu importe [et le « me » ?], je ne voulais pas me salir les mains. Je préférais [temps !!!!!! Prends le temps de bien regarder ces choses-là] encore souffrir de la faim. Ça fait [CS / corrige ça ; on verra la suite après] des siècles que je perfectionne le discernement grâce auquel j’effectue ce travail de conscientisation, comme on dit aujourd’hui.

Unknown a dit…

Peu m'importe, je n'ai pas voulu me salir les mains. J'ai préféré encore souffrir de la faim. Ça m'a pris des siècles de perfectionner le discernement grâce auquel j’effectue ce travail de conscientisation, comme on dit aujourd’hui.

J'ai remis au passé composé, j'avais bien vu que c'était du passé simple en VO mais je trouvais ça plus naturel à l'imparfait.

Tradabordo a dit…

Peu m'importe, je n'ai pas voulu me salir les mains. J'ai préféré encore souffrir de la faim. Ça m'a pris des siècles de [ou « pour » ?] perfectionner [« aiguiser » ?] le discernement grâce auquel j’effectue ce travail de conscientisation, comme on dit aujourd’hui [ou « pour reprendre un terme à la mode » ? j'hésite. Comme tu veux].

Unknown a dit…

Peu m'importe, je n'ai pas voulu me salir les mains. J'ai préféré encore souffrir de la faim. Ça m'a pris des siècles pour aiguiser le discernement grâce auquel j’effectue ce travail de conscientisation, comme on dit aujourd’hui [j'avais pensé à "prise de conscience" qui est plus à la mode, mais ce terme est très spécifique donc je préfère le garder tel quel].

Tradabordo a dit…

Peu m'importe, je n'ai pas voulu me salir les mains. J'ai préféré encore souffrir de la faim. Ça m'a pris des siècles pour aiguiser le discernement grâce auquel j’effectue ce travail de conscientisation, comme on dit aujourd’hui.

OK.