—Es una ricura —decíamos entonces—, pero nosotros la vemos doblemente rica porque está llena de misterio.
Ella, en efecto, no hablaba con nadie, no tenía amigas ni ganas de tenerlas y, en las mañanas, cuando iba a tomar el sol a la playa, llevaba un libro del cual no despegaba los ojos.
Traduction temporaire :
— C’est un canon, disait-on alors, mais nous, on la considère doublement canon parce qu’elle est pleine de mystère. Elle, elle ne parlait à personne, n’avait pas d’amies et pas envie d’en avoir, et, le matin, quand elle allait prendre le soleil sur la plage, elle avait un livre dont elle ne levait pas les yeux.
— C’est un canon, disait-on alors, mais nous, on la considère doublement canon parce qu’elle est pleine de mystère. Elle, elle ne parlait à personne, n’avait pas d’amies et pas envie d’en avoir, et, le matin, quand elle allait prendre le soleil sur la plage, elle avait un livre dont elle ne levait pas les yeux.
10 commentaires:
— C’est un délice, disait-on alors, mais nous, on la considère doublement délicieuse parce qu’elle est pleine de mystère. Elle, en effet, elle ne parlait à personne, n’avait pas d’amies et aucune envie d’en avoir, et, le matin, quand elle allait prendre le soleil sur la plage, elle emmenait un livre qu’elle ne quittait pas des yeux.
— C’est un délice [crois-tu que ce soit le bon ton étant donné le contexte ?], disait-on [est-ce qu'on comprend bien que c'est le groupe des garçons ?] alors, mais nous, on la considère doublement délicieuse [idem] parce qu’elle est pleine de mystère. Elle, en effet, [pas sûre que la syntaxe soit très naturelle] elle ne parlait à personne, n’avait pas d’amies et aucune [pas en V.O.] envie d’en avoir, et, le matin, quand elle allait prendre le soleil sur la plage, elle emmenait [non] un livre qu’elle ne quittait pas des yeux.
« dont elle ne levait pas les yeux », pour la fin…
— C’est une beauté, disait-on [J'ai mis "on" car c'est ce qu'on a utilisé juste avant pour le groupe de garçons pour éviter le -âmes du au passé simple] alors, mais nous, on la considère doublement belle parce qu’elle est pleine de mystère. Elle, elle ne parlait à personne, n’avait pas d’amies et pas envie d’en avoir, et, le matin, quand elle allait prendre le soleil sur la plage, elle avait un livre dont elle ne levait pas les yeux.
Pour délice et délicieuse, je ne sais pas pour l'instant, il faut que j'aille prendre le tram...
Et l'utilisation de "nous" ou de "on", c'est pas évident non plus.
— C’est un délice, disions-nous alors, mais nous, nous la considérons doublement délicieuse parce qu’elle est pleine de mystère. En effet, elle ne parlait à personne, n’avait pas d’amies ni envie d’en avoir, et, le matin, quand elle allait prendre le soleil sur la plage, elle emportait un livre qu’elle ne quittait pas des yeux.
— C’est une beauté [ou « un canon » ?], disait-on alors, mais nous, on la considère doublement belle [j'hésite sur le registre] parce qu’elle est pleine de mystère. Elle, elle ne parlait à personne, n’avait pas d’amies et pas envie d’en avoir, et, le matin, quand elle allait prendre le soleil sur la plage, elle avait un livre dont elle ne levait pas les yeux.
— C’est une bombe, disait-on alors, mais nous, on la considère doublement explosive parce qu’elle est pleine de mystère. Elle, elle ne parlait à personne, n’avait pas d’amies et pas envie d’en avoir, et, le matin, quand elle allait prendre le soleil sur la plage, elle avait un livre dont elle ne levait pas les yeux.
— C’est un canon, disait-on alors, mais nous, on la considère doublement canon parce qu’elle est pleine de mystère. Elle, elle ne parlait à personne, n’avait pas d’amies et pas envie d’en avoir, et, le matin, quand elle allait prendre le soleil sur la plage, elle avait un livre dont elle ne levait pas les yeux.
Il me semble qu'il y a de l'argot plus loin et des vannes salaces sur La Zurda donc on peut commencer à utiliser un registre plus relâché à partir de cette phrase, je pense.
— C’est un canon, disait-on alors, mais nous, on la considère doublement canon parce qu’elle est pleine de mystère. Elle, elle ne parlait à personne, n’avait pas d’amies et pas envie d’en avoir, et, le matin, quand elle allait prendre le soleil sur la plage, elle avait un livre dont elle ne levait pas les yeux.
OK pour cette version.
Nadia ?
Élise, en attendant, je te mets la suite…
ok
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