vendredi 21 novembre 2014

Projet Émilie 5 – phrases 251-263

Diez: las marcas del viaje. Caminaban entre jaulas desiertas y animales dormidos. Duilio conducía a la señora Ema hacia la salida de servicio, la orientaba en la oscuridad, le advertía sobre raíces o escalones con los que podía tropezar. Justo antes de llegar, la señora Ema comenzó a rascarse. Sentía un fuerte ardor. Le picaba el brazo y la axila y el cuello y el pecho. Duilio le preguntó qué le pasaba. La señora Ema se lo explicó.
Ya estaban cerca de la verja y Duilio la arrastró hacia una zona de luz. Un foco de la vía blanca formaba un cono brillante e iluminado en los confines del jardín zoológico.
A ver, muéstreme, dijo Duilio.
Avergonzada, la señora Ema se abrió el escote de la camisa. Duilio la observó muy de cerca.

Traduction temporaire :

Dix : les marques du voyage. Ils avançaient au milieu des cages désertes et des animaux endormis. Duilio guidait madame Ema vers la sortie de service, dans le noir, l’avertissait quand elle risquait de trébucher sur des racines ou des marches. Juste avant d’arriver, madame Ema commença à se gratter, ressentant une vive brûlure. Son bras, son aisselle, son cou et sa poitrine la démangeaient. Duilio lui demanda ce qui lui arrivait. Madame Ema le lui expliqua.
Ils se trouvaient près de la grille et Duilio l’entraîna jusqu’à une zone éclairée. Un réverbère sur la route formait un cône de lumière brillante aux limites du parc zoologique.
Voyons voir, montrez-moi ça, lui ordonna-t-il.
Honteuse, madame Ema ouvrit l’échancrure de sa chemise. Duilio l’observa de très près.

7 commentaires:

Emilie a dit…

Dix : les marques du voyage. Ils avançaient entre des cages désertes et des animaux endormis. Duilio guidait madame Ema vers la sortie de service, il l’orientait dans le noir, l’avertissait quand elle risquait de trébucher sur des racines ou des marches. Juste avant d’arriver, madame Ema commença à se gratter. Elle sentait une vive brûlure. Son bras, son aisselle, son cou et sa poitrine la démangeaient. Duilio lui demanda ce qui lui arrivait. Madame Ema lui expliqua.
Ils se trouvaient près de la grille et Duilio l'entraîna jusqu’à une zone éclairée. Un lampadaire de la route formait un cône de lumière brillante aux limites du jardin zoologique.
Voyons voir, montrez-moi ça, ordonna Duilio.
Honteuse, madame Ema ouvrit l’échancrure de sa chemise. Duilio l’observa de très près.

Emilie a dit…

(je ne sais plus si j'ai déjà posté ce commentaire - mes excuses pour le probable doublon !)

Dix : les marques du voyage. Ils avançaient entre des cages désertes et des animaux endormis. Duilio guidait madame Ema vers la sortie de service, il l’orientait dans le noir, l’avertissait quand elle risquait de trébucher sur des racines ou des marches. Juste avant d’arriver, madame Ema commença à se gratter. Elle sentait une vive brûlure. Son bras, son aisselle, son cou et sa poitrine la démangeaient. Duilio lui demanda ce qui lui arrivait. Madame Ema lui expliqua.
Ils se trouvaient près de la grille et Duilio l’entraîna jusqu’à une zone éclairée. Un lampadaire de la route formait un cône de lumière brillante aux limites du jardin zoologique.
Voyons voir, montrez-moi ça, ordonna Duilio.
Honteuse, madame Ema ouvrit l’échancrure de sa chemise. Duilio l’observa de très près.

Tradabordo a dit…

Pas grave, t'inquiète.

Dix : les marques du voyage. Ils avançaient entre [« au milieu de » ? Comme tu veux…] des cages désertes et des animaux endormis. Duilio guidait madame Ema vers la sortie de service, il [nécessaire ?] l’orientait dans le noir, l’avertissait quand elle risquait de trébucher sur des racines ou des marches. Juste avant d’arriver, madame Ema commença à se gratter. Elle sentait [« , ressentant »] une vive brûlure. Son bras, son aisselle, son cou et sa poitrine la démangeaient. Duilio lui demanda ce qui lui arrivait. Madame Ema [« le » ?] lui expliqua.
Ils se trouvaient près de la grille et Duilio l’entraîna jusqu’à une zone éclairée. Un lampadaire [« réverbère » ?] de [« sur » ?] la route formait un cône de lumière brillante aux limites du jardin [« parc » ?] zoologique.
Voyons voir, montrez-moi ça, ordonna Duilio [« lui ordonna-t-il » ?].
Honteuse, madame Ema ouvrit l’échancrure de sa chemise. Duilio l’observa de très près.

Emilie a dit…

Dix : les marques du voyage. Ils avançaient au milieu des cages désertes et des animaux endormis. Duilio guidait madame Ema vers la sortie de service, l’orientait dans le noir, l’avertissait quand elle risquait de trébucher sur des racines ou des marches. Juste avant d’arriver, madame Ema commença à se gratter, ressentant une vive brûlure. Son bras, son aisselle, son cou et sa poitrine la démangeaient. Duilio lui demanda ce qui lui arrivait. Madame Ema le lui expliqua.
Ils se trouvaient près de la grille et Duilio l’entraîna jusqu’à une zone éclairée. Un réverbère sur la route formait un cône de lumière brillante aux limites du parc zoologique.
Voyons voir, montrez-moi ça, lui ordonna-t-il.
Honteuse, madame Ema ouvrit l’échancrure de sa chemise. Duilio l’observa de très près.

Tradabordo a dit…

Dix : les marques du voyage. Ils avançaient au milieu des cages désertes et des animaux endormis. Duilio guidait madame Ema vers la sortie de service, l’orientait [nécessaire ?] dans le noir, l’avertissait quand elle risquait de trébucher sur des racines ou des marches. Juste avant d’arriver, madame Ema commença à se gratter, ressentant une vive brûlure. Son bras, son aisselle, son cou et sa poitrine la démangeaient. Duilio lui demanda ce qui lui arrivait. Madame Ema le lui expliqua.
Ils se trouvaient près de la grille et Duilio l’entraîna jusqu’à une zone éclairée. Un réverbère sur la route formait un cône de lumière brillante aux limites du parc zoologique.
Voyons voir, montrez-moi ça, lui ordonna-t-il.
Honteuse, madame Ema ouvrit l’échancrure de sa chemise. Duilio l’observa de très près.

Emilie a dit…

Dix : les marques du voyage. Ils avançaient au milieu des cages désertes et des animaux endormis. Duilio guidait madame Ema vers la sortie de service, dans le noir, l’avertissait quand elle risquait de trébucher sur des racines ou des marches. Juste avant d’arriver, madame Ema commença à se gratter, ressentant une vive brûlure. Son bras, son aisselle, son cou et sa poitrine la démangeaient. Duilio lui demanda ce qui lui arrivait. Madame Ema le lui expliqua.
Ils se trouvaient près de la grille et Duilio l’entraîna jusqu’à une zone éclairée. Un réverbère sur la route formait un cône de lumière brillante aux limites du parc zoologique.
Voyons voir, montrez-moi ça, lui ordonna-t-il.
Honteuse, madame Ema ouvrit l’échancrure de sa chemise. Duilio l’observa de très près.

Tradabordo a dit…

Dix : les marques du voyage. Ils avançaient au milieu des cages désertes et des animaux endormis. Duilio guidait madame Ema vers la sortie de service, dans le noir, l’avertissait quand elle risquait de trébucher sur des racines ou des marches. Juste avant d’arriver, madame Ema commença à se gratter, ressentant une vive brûlure. Son bras, son aisselle, son cou et sa poitrine la démangeaient. Duilio lui demanda ce qui lui arrivait. Madame Ema le lui expliqua.
Ils se trouvaient près de la grille et Duilio l’entraîna jusqu’à une zone éclairée. Un réverbère sur la route formait un cône de lumière brillante aux limites du parc zoologique.
Voyons voir, montrez-moi ça, lui ordonna-t-il.
Honteuse, madame Ema ouvrit l’échancrure de sa chemise. Duilio l’observa de très près.

OK.